RSCA • René Weiler

Weiler: "Tu donnes le ballon et tu cours"

ROMAIN VAN DER PLUYM Publié le vendredi 15 juillet 2016 à 10h46 - Mis à jour le vendredi 15 juillet 2016 à 11h03

ANDERLECHT La DH a passé la méthode René Weiler au crible depuis le début du stage.
Appelez-le The Boss. Aucun qualificatif ne définit mieux René Weiler. En quelques semaines, le coach suisse a déjà laissé son empreinte sur son groupe.

Durant les premières minutes de l’entraînement, il n’intervient pas. L’échauffement est donné par ses assistants. Weiler, lui, jete un œil distrait à ses gars et de loin la plupart du temps. Ce n’est qu’une fois les exercices tactiques lancés qu’il montre son vrai visage. Celui d’un patron. Au centre de son groupe, il donne ses consignes. C’est clair, limpide et les joueurs ont intérêt à avoir compris.

On ne rigole pas avec René Weiler. Quand il veut quelque chose, il vaut mieux que ce soit fait.

Parfois sec avec son staff qu’il mène avec une poigne de fer (Nicolas Frutos n’a d’ailleurs pas eu voix au chapitre durant la séance de jeudi), il est encore plus bouillant quand il s’adresse à ses joueurs.

Les noms , il s’en fiche. Mercredi, il disait à Praet qu’il ne bougeait pas assez. Jeudi, il n’a pas hésité à bousculer Tielemans ou à se moquer de Nuytinck qui se lançait dans des gestes techniques. "Allez, il est à 50 % et il te passe sans souci", a-t-il balancé à la face d’un Vancamp dribblé par Obradovic avant de dire à Heylen de ne pas s’emballer. "Tu es défenseur, hein !"

René Weiler mêle subtilement critiques et humour piquant. Il passe parfois un temps considérable sur un exercice en le stoppant régulièrement pour corriger ses joueurs de manière individuelle. "S’il a un problème, il le dit entre quatre yeux", résumait Dennis Appiah. Une méthode qui tire les gars vers le haut mais qui en fait grimacer certains.

Le screening de la reprise est donc terminé et la construction lancée. Mardi, les sorties de défense ont été travaillées alors que ce jeudi, c’était au tour de la transmission de balle via l’entrejeu. Des sessions qui ont laissé transparaître cinq grands principes footballistiques auxquels René Weiler ne compte pas déroger.

1. Courir sans cesse

"Tu passes et tu cours."

C’est simple et c’est tout ce qu’espère voir René Weiler de son équipe. Lors de chaque exercice, il ne cesse de répéter ce principe fondamental de son football. "Parfois, tu fais cinq appels dans le vide mais c’est comme ça", dit-il pour appuyer ce principe. "Et ce n’est pas parce que le ballon est en défense et que tu joues devant que tu dois t’arrêter."

La condition physique des joueurs est cruciale. Avec lui, "tout le monde doit bosser", où qu’il se trouve. Il n’hésiste d’ailleurs pas à montrer l’exemple en se projetant au plus vite vers l’espace en criant une ènième fois : "bougez !"

2. Jouer simple et vers l’avant

S’il insiste tant sur l’aspect physique, c’est parce qu’il compte jouer de l’avant. Et pas en faisant tourner le ballon. Il ne s’en cache pas : il préfère un simple crochet tout en vitesse à des passements de jambes.

"Tout débute de la défense", soulignait-il lundi avant de transformer les mots en actes dès le lendemain. Sa base est simple : Nuytinck ou De Maio doivent remonter le ballon et jouer verticalement. Pareil pour l’entrejeu dont l’un des membres doit s’infiltrer alors que Hanni fonce dans l’intervalle et que les ailiers filent chercher la profondeur pour cueillir une longue transversale et centrer.

3. Forcer un pressing constant

Comparer son approche à celle de Jürgen Klopp est loin d’être une faute de jugement car en plus de certains principes offensifs proches de ceux du technicien allemand, il partage avec lui un certain amour pour le pressing.

De l’avant-centre qui coupe les passes au défenseur central, tous doivent travailler en perte de balle. Il demande de ses joueurs une récupération haute avec l’un des deux médians défensifs qui sort lancer le pressing alors que l’autre reste devant la défense.

4. Toujours rester calme et concentré

René Weiler n’aime pas les surprises. Pour les éviter, il n’hésite pas à piéger ses joueurs en balançant un ballon rapidement dans le jeu après une frappe loupée afin de garder ses joueurs sur le qui-vive. "Toujours concentrés. Je veux vous voir prêts à démarrer dans la seconde."

Et quand il s’agit de relancer, la consigne est de rester calme. Au moindre signe de panique de sa défense, Weiler stoppe l’exercice et recommence jusqu’à ce qu’il soit satisfait.

5. Beaucoup parler

Jamais les joueurs n’ont autant communiqué sur la pelouse. Le coach n’a d’ailleurs pas hésité à appeler Boeckx pour prendre la place d’un Roef beaucoup trop taiseux durant un exercice. Un message fort envers le jeune portier : il faut parler.

Pour guider l’équipe, il a déjà fait son choix. "De Maio, tu dois diriger", a-t-il lancé à son nouveau défenseur avec qui il communique beaucoup et qu’il utilise comme relais sur le terrain. Pas de problème pour le Franco-Italien qui, à l’instar de son entraîneur, est en passe de devenir un patron.

Tout cela m'a l'air positif pour l'instant, reste plus qu'a voir ce que cela va donner sur le terrain pendant un match ( je ne sais pas s'il en a un de prévu pendant le stage, on avait parlé de Feyenoord, mais je ne sais pas si cela se fera) mercredi 20 juillet nous jouerons contre Heerenveen, à 19 h au "Parc Astrid", entré gratuite pour les abonnés et place à 5€ pour les autres, attention certaines tribunes seront toutefois fermé

Cale a écrit: je ne sais pas s'il en a un de prévu pendant le stage, on avait parlé de Feyenoord, mais je ne sais pas si cela se fera

Oui oui cale, c'est aujourd'hui à 13 heures en Autriche. Peut-être quelques enseignements intéressants à tirer même si, bien entendu, il est encore un peu tôt. On verra.

Sinon Weiler à l'air de bien les faire bosser là-bas.

don_vitto a écrit:

Cale a écrit: je ne sais pas s'il en a un de prévu pendant le stage, on avait parlé de Feyenoord, mais je ne sais pas si cela se fera

Oui oui cale, c'est aujourd'hui à 13 heures en Autriche. Peut-être quelques enseignements intéressants à tirer même si, bien entendu, il est encore un peu tôt. On verra.

Sinon Weiler à l'air de bien les faire bosser là-bas.

Je n'arrive pas à voir tes vidéos il y a un message sur ma page qui dit "adobe flash obsolète" et mon fils me dit que adobe à supprimé adobe flash, peux tu ( ou quelqu'un d'autre ) m'aidé

Oui j'ai vu pour Feyenoord, sur Livescore quelqu'un a t'il un lien pour suivre le match ???

Van Holsbeeck: "Notre équipe n’est pas encore prête et ça se voit."

VAN DER PLUYM ROMAIN Publié le lundi 18 juillet 2016 à 06h17 - Mis à jour le lundi 18 juillet 2016 à 06h19


ANDERLECHT Herman Van Holsbeeck fait le point sur les arrivées et les départs.
"Je viens de vivre de longues journées et ce n’est pas fini."

La fatigue se lit sur le visage d’Herman Van Holsbeeck. Au fil des jours, ses cernes se creusent. Depuis l’entame du mercato, le manager général a déjà conclu trois gros deals avec la venue de Sofiane Hanni, de Dennis Appiah et de Sébastien De Maio. Des recrues dont se satisfaisait l’homme fort du Sporting qui compte bien redonner de sa superbe à son club.

Herman, le chrono tourne avec une rencontre clé dans huit jours à Rostov…

"Déjà, le FK Rostov était le pire tirage possible. Le match arrive trop tôt pour nous, c’est loin et donc fatigant. Mais c’est ainsi et nous devons passer outre."

Il faudra des transferts entrants endéans la semaine !

"Notre équipe n’est pas encore prête et ça se voit."

Il y aura donc des arrivées cette semaine ?

"Nous allons faire quelque chose avant la Ligue des Champions . Il devrait y avoir des renforts. Mais, je le répète, ce match arrive bien trop tôt pour nous. Mais bon, c’est le football et comme on veut vraiment cette qualification, on est obligé d’agir. Je suis persuadé que nous aurons une bonne équipe."

Transférer aussi tôt, cela coûte cher…

"C’est évident que nous devons davantage payer que si nous attendions jusqu’à la fin de l’été. C’est très ennuyant pour moi."

Vous ne vous en doutiez pas ?

"Nous le savions et nous étions prêts à mettre le prix. Vous verrez bien dans les jours à venir. Nous allons attirer un ou deux joueurs. Et peut-être même trois ou quatre."

Votre mercato estival aurait pu être tout autre avec la vente de Stefano Okaka en Chine ?

"Oui, cela change peut-être un peu la donne. Mais nous sommes prêts à investir pour nous renforcer avec de nouveaux joueurs."

Comment expliquez-vous que cette vente ait capoté ?

"Les Chinois ont décidé de ne pas le prendre. C’est aussi simple que ça. Parfois tu as des opportunités et au final cela ne fonctionne pas. Ce fut le cas ce coup-ci."

On a également beaucoup évoqué les départs possibles, dont celui de Dennis Praet…

"Il est toujours un joueur du RSCA. Il y a des clubs intéressés mais aucun ne veut mettre le prix que nous réclamons. Y a-t-il des offres concrètes ? Disons que les clubs se sont informés et ont demandé combien nous réclamions pour Dennis. Mais aucun ne s’est montré prêt à répondre à nos exigences financières."

Steven Defour nous a confié que vous aviez fixé ensemble un prix auquel il peut partir…

"Pour tous les joueurs, un prix est fixé et il y a donc des rendez-vous, c’est vrai. Mais nous n’allons pas commencer à laisser partir des joueurs alors que nous en sommes en pleine phase de reconstruction. Nous savons parfaitement ce que nous voulons et ce vers quoi nous allons."


"Je suis agréablement surpris"


Samedi après-midi, Anderlecht s’est rendu compte qu’il y avait encore beaucoup de boulot. René Weiler a posé les bases du jeu du RSCA version 2016-2017 mais le fond de jeu n’y est pas encore. La première mi-temps contre Feyenoord était pourtant plus que satisfaisante. Ce fut le constat d’Herman Van Holsbeeck mais également celui des joueurs.

"Nous avons fait une bonne première période" , lançait Sofiane Hanni. "Nous étions bien en place et nous avons bien exécuté les consignes de l’entraîneur. Il faudra retenir cela et travailler sur les erreurs qui ont amené deux buts malchanceux juste avant la pause."

Bien installé dans la seule tribune du stade qui accueillait la rencontre amicale de son équipe, Herman Van Holsbeeck se satisfaisait des débuts de son entraîneur dont il n’a eu que des échos positifs.

"Il a pourtant un challenge compliqué qui se dresse devant lui. Nous avons changé beaucoup de membres du staff et malgré le fait que l’équipe ne soit pas encore au complet (NdlR : il a cité l’absence de Praet et Defour et le retard d’Okaka), j’ai été agréablement surpris de l’envie et de la mentalité des gars. Son approche du football me plaît."

Il a également avoué apprécier la clarté du coach suisse.

"Il sait où il veut aller. Il est nécessaire de lui offrir du temps pour qu’il puisse construire et marquer le groupe de sa griffe. Mais je sais d’expérience qu’à Anderlecht, nous n’avons jamais beaucoup de temps. Nous ferons au mieux pour le lui offrir et pour qu’il puisse rendre son identité au club."

Cale a écrit:
Van Holsbeeck: "Notre équipe n’est pas encore prête et ça se voit."

VAN DER PLUYM ROMAIN Publié le lundi 18 juillet 2016 à 06h17 - Mis à jour le lundi 18 juillet 2016 à 06h19


ANDERLECHT Herman Van Holsbeeck fait le point sur les arrivées et les départs.
"Je viens de vivre de longues journées et ce n’est pas fini."

La fatigue se lit sur le visage d’Herman Van Holsbeeck. Au fil des jours, ses cernes se creusent. Depuis l’entame du mercato, le manager général a déjà conclu trois gros deals avec la venue de Sofiane Hanni, de Dennis Appiah et de Sébastien De Maio. Des recrues dont se satisfaisait l’homme fort du Sporting qui compte bien redonner de sa superbe à son club.

Herman, le chrono tourne avec une rencontre clé dans huit jours à Rostov…

"Déjà, le FK Rostov était le pire tirage possible. Le match arrive trop tôt pour nous, c’est loin et donc fatigant. Mais c’est ainsi et nous devons passer outre."

Il faudra des transferts entrants endéans la semaine !

"Notre équipe n’est pas encore prête et ça se voit."

Il y aura donc des arrivées cette semaine ?

"Nous allons faire quelque chose avant la Ligue des Champions . Il devrait y avoir des renforts. Mais, je le répète, ce match arrive bien trop tôt pour nous. Mais bon, c’est le football et comme on veut vraiment cette qualification, on est obligé d’agir. Je suis persuadé que nous aurons une bonne équipe."

Transférer aussi tôt, cela coûte cher…

"C’est évident que nous devons davantage payer que si nous attendions jusqu’à la fin de l’été. C’est très ennuyant pour moi."

Vous ne vous en doutiez pas ?

"Nous le savions et nous étions prêts à mettre le prix. Vous verrez bien dans les jours à venir. Nous allons attirer un ou deux joueurs. Et peut-être même trois ou quatre."

Votre mercato estival aurait pu être tout autre avec la vente de Stefano Okaka en Chine ?

"Oui, cela change peut-être un peu la donne. Mais nous sommes prêts à investir pour nous renforcer avec de nouveaux joueurs."

Comment expliquez-vous que cette vente ait capoté ?

"Les Chinois ont décidé de ne pas le prendre. C’est aussi simple que ça. Parfois tu as des opportunités et au final cela ne fonctionne pas. Ce fut le cas ce coup-ci."

On a également beaucoup évoqué les départs possibles, dont celui de Dennis Praet…

"Il est toujours un joueur du RSCA. Il y a des clubs intéressés mais aucun ne veut mettre le prix que nous réclamons. Y a-t-il des offres concrètes ? Disons que les clubs se sont informés et ont demandé combien nous réclamions pour Dennis. Mais aucun ne s’est montré prêt à répondre à nos exigences financières."

Steven Defour nous a confié que vous aviez fixé ensemble un prix auquel il peut partir…

"Pour tous les joueurs, un prix est fixé et il y a donc des rendez-vous, c’est vrai. Mais nous n’allons pas commencer à laisser partir des joueurs alors que nous en sommes en pleine phase de reconstruction. Nous savons parfaitement ce que nous voulons et ce vers quoi nous allons."


"Je suis agréablement surpris"


Samedi après-midi, Anderlecht s’est rendu compte qu’il y avait encore beaucoup de boulot. René Weiler a posé les bases du jeu du RSCA version 2016-2017 mais le fond de jeu n’y est pas encore. La première mi-temps contre Feyenoord était pourtant plus que satisfaisante. Ce fut le constat d’Herman Van Holsbeeck mais également celui des joueurs.

"Nous avons fait une bonne première période" , lançait Sofiane Hanni.  "Nous étions bien en place et nous avons bien exécuté les consignes de l’entraîneur. Il faudra retenir cela et travailler sur les erreurs qui ont amené deux buts malchanceux juste avant la pause."

Bien installé dans la seule tribune du stade qui accueillait la rencontre amicale de son équipe, Herman Van Holsbeeck se satisfaisait des débuts de son entraîneur dont il n’a eu que des échos positifs.

"Il a pourtant un challenge compliqué qui se dresse devant lui. Nous avons changé beaucoup de membres du staff et malgré le fait que l’équipe ne soit pas encore au complet (NdlR : il a cité l’absence de Praet et Defour et le retard d’Okaka),  j’ai été agréablement surpris de l’envie et de la mentalité des gars. Son approche du football me plaît."

Il a également avoué apprécier la clarté du coach suisse.

"Il sait où il veut aller. Il est nécessaire de lui offrir du temps pour qu’il puisse construire et marquer le groupe de sa griffe. Mais je sais d’expérience qu’à Anderlecht, nous n’avons jamais beaucoup de temps. Nous ferons au mieux pour le lui offrir et pour qu’il puisse rendre son identité au club."

Tout cela n'est pas très encourageant, à 10 jours d'un match de qualification pour la champion's league. J'ai l'impression qu'Anderlecht essaie de garder Praet jusque là, quitte à le vendre en cas d'élimination. Mais quel que soient les joueurs qu'Anderlecht peut encore recruter en 8 jours, ils ne seront jamais pour les matchs contre Rostov.

Le match est dans 8 jours et c'est en effet trop court pour que les derniers transferts entrant soient prêt, mais bon on jouera à 11 contre 11 et il y aura un match retour, le 2 août, maintenant il faut travailler ce qui n'a pas été bon contre Feyenoord afin de ne pas faire les mêmes erreurs et de faire un résultat qui nous permettait d'atteindre le tour suivant qui sera encore plus difficile mais qui en cas d'élimination nous permettrait d'aller directement en poule de l'EL, ce qui ne serait pas le cas face aux russes ou nous devrions la aussi passer encore un tour, mais sans doute moins compliqué qu'en CL

Cale a écrit:Le match est dans 8 jours et c'est en effet  trop court pour que les derniers transferts entrant soient prêt, mais bon on jouera à 11 contre 11 et il y aura un match retour, le 2 août, maintenant il faut travailler ce qui n'a pas été bon contre Feyenoord afin de ne pas faire les mêmes erreurs et de faire un résultat qui nous permettait d'atteindre le tour suivant qui sera encore plus difficile mais qui en cas d'élimination nous permettrait d'aller directement en poule de l'EL, ce qui ne serait pas le cas face aux russes ou nous devrions la aussi passer encore un tour, mais sans doute moins compliqué qu'en CL

Il ne faut pas trop se bercer d'illusions. Je ne vois pas très bien comment Weiler va pouvoir construire une équipe compétitive en si peu de temps.
Les matchs amicaux ne sont que des matchs amicaux et valent ce qu'on veut bien leur donner, mais le résultat de samedi contre Feijenoord est tout sauf encourageant à 8 jours des échéances Européennes qui se profilent à l'horizon. De nouveaux joueurs vont vraisemblablement encore arriver (Cipciu notamment) mais cela sera sans doute trop court.

Mon intervention ne vise nullement à critiquer, c'est juste une constatation ...

De nombreux joueurs commencent à déposer leurs valises au RSCA.
J'avoue sans gène et sans torture, que je ne les connais pas, mis-à-part Hanni.
Par conséquent je ne connais pas du tout leur potentiel.

Mais une question me turlupine (non, ce n'est pas un gros mot) :

Le RSCA n'avait-il pas dit, il y a deux ans (si ma mémoire est bonne) que le club ferait confiance aux jeunes et les intègrerait dans le noyau A.
Or, je constate qu'on va, à nouveau, chercher des joueurs hors frontières ce qui bloquera, à terme, de jeunes pousses (ou auriculaires ...). Mis à part Roef qui était déjà "chez les grands".
N'est-ce donc pas un désaveux par rapport à cette politique mais, surtout, envers ces jeunes joueurs ?
Pourtant, me semble t-il, il y a du talent.
Maintenant, il est possible qu'ils ne soient pas mûrs (ou groseilles ...)

Il est aussi fort possible que j'aie pas tout capté ... ce qui ne m'étonnerait pas ... je suis intellectuellement limité, un peu comme la vitesse en agglomération

SchuuultZ a écrit:Mon intervention ne vise nullement à critiquer, c'est juste une constatation ...

De nombreux joueurs commencent à déposer leurs valises au RSCA.
J'avoue sans gène et sans torture, que je ne les connais pas, mis-à-part Hanni.
Par conséquent je ne connais pas du tout leur potentiel.

Mais une question me turlupine (non, ce n'est pas un gros mot) :

Le RSCA n'avait-il pas dit, il y a deux ans (si ma mémoire est bonne) que le club ferait confiance aux jeunes et les intègrerait dans le noyau A.
Or, je constate qu'on va, à nouveau, chercher des joueurs hors frontières ce qui bloquera, à terme, de jeunes pousses (ou auriculaires ...). Mis à part Roef qui était déjà "chez les grands".
N'est-ce donc pas un désaveux par rapport à cette politique mais, surtout, envers ces jeunes joueurs ?
Pourtant, me semble t-il, il y a du talent.
Maintenant, il est possible qu'ils ne soient pas mûrs (ou groseilles ...)

Il est aussi fort possible que j'aie pas tout capté ... ce qui ne m'étonnerait pas ... je suis intellectuellement limité, un peu comme la vitesse en agglomération

ma lecture c'est que depuis le titre de Gand (en partie du a un gros manque de maturite de nos troupes, qui ont trop souvent vendange en fin de matches) a ramene le management mauve a la raison et rappele les vertus de l'experience. On peut remarquer que depuis ils engagent surtout des joueurs confirmes (voir par exemple Okaka vs Mitrovic, ou Kara vs Nuytinck). C'est accentue cette saison-ci ou Weiler a avoue son penchant pour les leaders ...

En fait pour bien faire on ne peut avoir que 2-3 jeunes au maximum dans le onze, s'ils restent 2 ou 3 saisons ca ne fait qu'un joueur lance par saison. OK il y a ceux auxquels on donne des minutes, mais bon.

Une question, quand meme ... quid de Lukebakio ?? Le slovaque est un ailier droit comme lui ...

Il ne peut pas faire de miracle en si peu de temps . Si il arrive à passer les Russes, perso je considèrerais ça comme un exploit ...

POur les jeunes, ont a eu tendance à trop vote tout leur donner sans que ceux ci ne soit prêt . J'ai bien l'impression qu'un gars comme Frutos va faire du bien dans la post-formation . Des garçon comme Lukebakio, Faes, De Medina ect ont du talent, mais ça ne suffit pas pour être titulaire à Anderlecht . tu te dois d'être un pro accomplit qui connait un minimum son métier et il y aussi l'aspect physique à ne pas négliger ..

SchuuultZ a écrit:Mon intervention ne vise nullement à critiquer, c'est juste une constatation ...

De nombreux joueurs commencent à déposer leurs valises au RSCA.
J'avoue sans gène et sans torture, que je ne les connais pas, mis-à-part Hanni.
Par conséquent je ne connais pas du tout leur potentiel.

Mais une question me turlupine (non, ce n'est pas un gros mot) :

Le RSCA n'avait-il pas dit, il y a deux ans (si ma mémoire est bonne) que le club ferait confiance aux jeunes et les intègrerait dans le noyau A.
Or, je constate qu'on va, à nouveau, chercher des joueurs hors frontières ce qui bloquera, à terme, de jeunes pousses (ou auriculaires ...). Mis à part Roef qui était déjà "chez les grands".
N'est-ce donc pas un désaveux par rapport à cette politique mais, surtout, envers ces jeunes joueurs ?
Pourtant, me semble t-il, il y a du talent.
Maintenant, il est possible qu'ils ne soient pas mûrs (ou groseilles ...)

Il est aussi fort possible que j'aie pas tout capté ... ce qui ne m'étonnerait pas ... je suis intellectuellement limité, un peu comme la vitesse en agglomération

Je veux bien suivre ton raisonnement (...puisque tu ne vas pas trop vite ), mais vouloir intégrer 4 ou 5 jeunes dans une équipe en pleine (re)construction, c'est à mon sens suicidaire. Si chaque année tu parviens à en faire percer (avec une Black & Dekker par exemple) 1 ou 2, c'est déjà un succès. Or, il semble que pour cette saison, le nouvel entraineur ait jeté son dévolu sur Van Camp + notre "jeune" gardien, Davy Roef. Si ces deux-là confirment ce ne sera déjà pas si mal.
Tu vois, intégrer des jeunes je veux bien, mais "à s'n'aise" et surtout en les encadrant par des joueurs expérimentés.

Anderlecht: La méthode Weiler en dix leçons

CHRISTOPHE FRANKEN Publié le jeudi 28 juillet 2016 à 08h43 - Mis à jour le jeudi 28 juillet 2016 à 08h45


ANDERLECHT Après avoir passé trois jours dans son sillage entre Bruxelles et Rostov, on peut déjà affirmer que le nouvel entraîneur a imprimé sa griffe sur un Sporting auquel il veut changer la mentalité et les mauvaises habitudes
René qui ? René wie ?

Des deux côtés de la frontière linguistique, les supporters anderlechtois se demandaient ce que la direction était allée chercher le 16 juin dernier quand l’arrivée du Suisse de 42 ans avait été officialisée. Un mois et demi plus tard et après une première rencontre imparfaite mais réussie à Rostov mardi, on comprend déjà mieux sa venue. René Weiler a une méthode claire qui ne peut faire que du bien à un Sporting qui s’était vu trop beau ces deux dernières saisons. On vous l’explique en dix règles auxquelles les joueurs n’ont pas intérêt à déroger…

1) Courir, courir et encore courir pour maigrir

Si vous avez pu voir le match à la télé mardi, vous l’aurez peut-être remarqué : Youri Tielemans a maigri. Il a précisément perdu cinq kilos. Énorme pour un joueur qui culmine à 176 centimètres. Le résultat s’est vu directement sur la pelouse : le petit prodige était beaucoup plus mobile et a été décisif (jolie feinte sur le premier but et il a inscrit le second). Tielemans n’est pas le seul dans ce cas : Weiler veut affûter son équipe. Comme il l’a appris dans le championnat allemand pendant deux ans, il faut courir, courir et encore courir dans le football moderne. Ça ne peut se faire qu’avec un poids de forme.

2) De la nourriture saine (sauf un jour par semaine)

Le poids de forme, ça s’obtient par le sport mais aussi par l’alimentation. René Weiler y veille personnellement. Il demande à ses joueurs de se nourrir sainement et, en collaboration avec le cuisinier du club, il propose des menus diététiques à ses joueurs. Il autorise cependant un écart par semaine car la notion de plaisir doit rester présente.

3) Les joueurs ne sont pas obligés de manger ensemble

Si René Weiler fait régner la discipline depuis son arrivée à Anderlecht, il ne veut pas donner l’impression à ses joueurs d’être au bagne. Contrairement aux saisons précédentes, les joueurs ne sont plus obligés de manger au club. Des repas (équilibrés) sont servis, mais ils sont libres d’y aller ou non. Et quand ils vont, ils ne sont pas tenus d’y aller au même moment et de commencer à manger quand le coach l’a décidé, comme c’était le cas auparavant.

4) Un système d’amendes revu largement à la baisse

Dans le même ordre d’idée, René Weiler ne veut pas diriger son vestiaire à coup d’amendes. Un retard ou un dérapage se paiera évidemment, mais il a supprimé toute une série de règles dans le fonctionnement interne. Une serviette oubliée dans le vestiaire n’obligera, par exemple, plus le coupable à aller chercher un billet de dix euros dans son portefeuille. Il veut traiter ses joueurs comme des adultes et les responsabiliser.

5) Pas de GSM à trois heures du coup d’envoi

Pour René Weiler, le plus important se passe sur le terrain. S’il veut laisser une certaine liberté à ses hommes en dehors des entraînements, il exige une concentration optimale au moment des entraînements et des matches. Avant une rencontre, il demande aux joueurs de ranger leur GSM à trois heures du coup d’envoi. Plus question de snapchater ou instagramer sa vie de footballeur jusqu’à quelques minutes avant la montée sur la pelouse. Et encore moins de chercher des Pokémon dans le stade…

6) Tenir à l’œil les jeunes talents dans leur vie privée

Le Sporting est réputé pour avoir l’une des meilleures cellules sociales du pays et René Weiler compte bien en profiter. Il a remarqué que le club comptait plusieurs jeunes promesses et il veut absolument les garder à l’œil. Le Suisse apprécie, par exemple, beaucoup les qualités d’Idrissa Doumbia et il a demandé à ce qu’on aide l’Ivoirien de dix-huit ans dans sa nouvelle vie en Europe. Il veut lui inculquer le professionnalisme à tous les étages pour éviter un éventuel gâchis.

7) Inculquer la mentalité allemande aux jeunes

René Weiler provient du côté germanophone de la Suisse et cela se voit. La Bundesliga est sa référence et il veut inculquer le modèle allemand au Sporting, particulièrement au centre de formation. Ces deux dernières saisons, les jeunes aux portes de l’équipe première n’ont plus ou pas assez progressé aux yeux de la direction. Une question de mentalité où se faire mal avait disparu du vocabulaire. L’ancien coach de Nuremberg veut changer cela rapidement et l’a bien fait comprendre à l’un des Espoirs du RSCA qui s’étonnait d’être convoqué à 14 h pour un entraînement. "Tu viens t’entraîner quand je te le dis. Si je te dis 14 h, tu viens à 14 h. Et je te dis 6 h du matin, tu viens à 6 h du matin", lui a rétorqué sèchement René Weiler. Selon lui, un jeune qui arrive en équipe pro doit se battre sur le terrain au point d’être freiné par le staff. Il ne doit pas être poussé au derrière pour transpirer un peu plus…

8) Courir deux fois de suite 60m avec le ballon = banc

L’un des mots clés dans le discours de René Weiler, c’est "collectif". Il revient dans toutes les interviews et conférence de presse. Pas un hasard : il veut mettre en place sur le terrain un bloc compact qui se reconvertit très vite, vers l’avant ou vers l’arrière selon la situation. Celui qui n’écoutera pas et tentera de réaliser un show individuel risque de l’apprendre rapidement à ses dépens. Durant l’Euro qu’il a suivi de près, il a expliqué à un dirigeant du Sporting qu’il aurait remplacé la star d’une des équipes après l’avoir vu faire consécutivement deux courses de 60 mètres avec le ballon alors qu’il avait d’autres solutions.

9) Répéter les phases arrêtées jusqu’à plus soif

"On avait travaillé cette phase à l’entraînement car le coach était convaincu que ça pouvait marcher contre Rostov." Youri Tielemans a bien résumé l’un des points importants du travail de René Weiler en évoquant le coup de coin victorieusement repris par Sofiane Hanni mardi en tout début de match. Pour le Suisse, la décision vient souvent des phases arrêtées dans le football d’aujourd’hui et il faut être prêt. Il n’hésite pas à accorder le temps nécessaire durant ses séances pour que cela rentre bien dans la tête des joueurs. Ce qui était le point faible du Sporting ces dernières années pourrait donc bien devenir l’une de ses forces.

10) Ouvert mais attentif avec les journalistes

René Weiler est un homme charmant, souriant et sympathique. Il sait que la communication fait partie de son métier et se montre ouvert, même s’il est souvent prudent dans ses déclarations. Il veut travailler dans une relation de confiance mutuelle avec les journalistes et se montrera le plus disponible possible pour rendre service. Sauf pour ceux qui auront déformé ses propos. Attentif, il veut que la presse fasse passer son message correctement. À Nuremberg, il avait blacklisté trois journalistes qui n’avaient, selon lui, pas bien répercuté ses dires. La conséquence était simple : il continuait à les saluer, mais il n’était plus question d’obtenir une seule interview en tête à tête avec lui…

Merci de partager l'article !!
On verra a l'usage comment il reussira a perpetuer ces bonnes intentions, mais effectivement, ca a l'air tres prometteur. J'ai surtout pu apprecier contre Rostov, les phases arretees, la mobilite et le jeu compact (encore a perfectionner, en reconversion defensive surtout).

C'est prometteur, mais il y a encore du taff, lui même le dit . Donc ne pas tomber dans nos travers de supporters mauve en sifflant si il y a des match o: on va passer au travers . Car offensivement ça à l'air d'aller beaucoup mieux, mais comme le dit loc défensivement c'est pas encore ça du tout . Surtout que le bloc heut et le jeu dominateur est de retour apparemment, les balle en profondeur et les contre attaque vont être légions et pour savoir gérer ça il faut beaucoup d'automatisme, ce qui prend du temps ..

J'ai hâte de voir comment on va jouer contre les équipes qui vont faire un double mur contre nous ?

J'espère qu'a domicile on gagnera tout nos matchs, ce serait déjà un plus.

Oui, il y a encore du travail et René le sait aussi, il sait donc ce qu'il faut travaillé et aussi ou il lui faut encore des transferts, j'aimerai vraiment bien que l'ont concrétise Lombaerts, on avait pas su le faire avec Van Buyten, j'espère que Nicolas acceptera

Le point faible risque encore d'être la défense. Lombaerts ferait beaucoup de bien.
Quant à la discipline, elle ne peut qu'être bénéfique pour un groupe jeune. Il manque quand même un ou deux pions (un attaquant qui pourrait rivaliser avec Okaka, et un défenseur central).

Cela ne semble vraiment pas s'apaiser entre les 2 hommes. Pour moi, il n'y a plus qu'une chose à faire:
Kara

Ce n’est pas le grand amour entre René Weiler et Kara Mbodj. L’entraîneur mauve a remis plusieurs fois à sa place le défenseur suite a des retards aux entraînements, ce que n’a pas vraiment apprécié le joueur.

Le caractère assez arrogant de Kara ne plait pas à René Weiler, en outre le Sénégalais montrerait peu d’estime pour le nouvel entraîneur suisse. Un départ vers le championnat anglais est toujours d’actualité mais Anderlecht ne bradera pas le joueur qui a toujours un contrat jusqu’en juin 2019. Besiktas est également intéressé mais le défenseur international veut absolument aller en Angleterre.

Il continue néanmoins à s’entraîner avec le groupe mais il sait qu’il n’entre pas dans les plans du nouveau coach mauve.

don_vitto a écrit:Cela ne semble vraiment pas s'apaiser entre les 2 hommes. Pour moi, il n'y a plus qu'une chose à faire:
Kara

Ce n’est pas le grand amour entre René Weiler et Kara Mbodj. L’entraîneur mauve a remis plusieurs fois à sa place le défenseur suite a des retards aux entraînements, ce que n’a pas vraiment apprécié le joueur.

Le caractère assez arrogant de Kara ne plait pas à René Weiler, en outre le Sénégalais montrerait peu d’estime pour le nouvel entraîneur suisse. Un départ vers le championnat anglais est toujours d’actualité mais Anderlecht ne bradera pas le joueur qui a toujours un contrat jusqu’en juin 2019. Besiktas est également intéressé mais le défenseur international veut absolument aller en Angleterre.

Il continue néanmoins à s’entraîner avec le groupe mais il sait qu’il n’entre pas dans les plans du nouveau coach mauve.

C'est embetant ca, quand on a achete un joueur tres cher et qu'on lui paie un gros salaire, c'est pas facile de s'en debarrasser ... et je comprends qu'Anderlecht veuille au minimum recuperer sa mise, ca fera toujours 4 mio a reinvestir ;)

Sinon, je sais bien que certains adooooorent taper sur Hasi, mais faut pas dire qu'il n'y avait pas de discipline avant, faut pas caricaturer, c'etait fait autrement c'est tout, apparemment Weiler a beaucoup allege le reglement interne et les amendes par exemple ...

S'il s'en prend plus aux noirs c'est sans doute qu'ils justifient leur reputation de plus cools et nonchalants. Pas tous bien sur, mais certains quand meme ... Sinon c'est amusant de voir comment certains peuvent etre cools dans la vie et durs sur le terrain ... pas forcement rigoureux et concentres, mais durs oui ...

Pour moi, Kara doit rester.
La discipline c'est bien mais il faut aussi travailler dans l'intérêt du club et certains auront peut-être besoin de plus de temps pour comprendre ce que veut les femmes le nouveau coach.

bidulski a écrit:Pour moi, Kara doit rester.
La discipline c'est bien mais il faut aussi travailler dans l'intérêt du club et certains auront peut-être besoin de plus de temps pour comprendre ce que veut les femmes le nouveau coach.

POur moi Kara DOIT partir . De toute façon, il a des proposition ailleurs , so ..

el loco a écrit:

bidulski a écrit:Pour moi, Kara doit rester.
La discipline c'est bien mais il faut aussi travailler dans l'intérêt du club et certains auront peut-être besoin de plus de temps pour comprendre ce que veut les femmes le nouveau coach.

POur moi Kara DOIT partir . De toute façon, il a des proposition ailleurs , so ..

Dieu t'entende, et certains managers de club aussi, tant qu'a faire ...

loc a écrit:Sinon, je sais bien que certains adooooorent taper sur Hasi, mais faut pas dire qu'il n'y avait pas de discipline avant, faut pas caricaturer, c'etait fait autrement c'est tout, apparemment Weiler a beaucoup allege le reglement interne et les amendes par exemple ...

Arrête de rire loc.
Suffit de lire les interview des joeurs dans tous les dédias. Weiler, c'est rigueur allemande, point barre.
Et comme le disait Vanden Stock après la rencontre contre Rostov: "Si vous ne respectez pas les consignes de Weiler, alors vous aurez un problème avec lui".
A un autre joueur qui s'étonnait d'être convoqué à 14 h pour un entraînement, le coach suisse lui a sèchement répondu: "si je te dis de venir à 14h, tu viens à 14h et si je te dis de venir à 6h du matin, tu viens à 6h du matin" avant de tourner les talons et de partir.
Dendoncker en parle dans un article je ne sais plus où.
La discipline est de retour au parc et il était plus que temps.

La discipline est de retour et je suis le premier à applaudir mais j'ai peur que le coach n'ai les 3/4 du noyau à dos et que d'ici Noel, la moyenne d'âge du onze de base ne soit plus que de 14 ans et'd'mi...