Hodimont - Un club à la recherche de joueurs
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Hodimont - Un club à la recherche de joueurs
DH - Cent buts encaissés en six matches: à la rencontre d'Hodimont, un club en mode survie
Hodimont va mal. Accablé par les attaquants adverses, le club verviétois est en train de vivre une saison cauchemardesque.
"Dites, si vous écrivez quelque chose sur nous, ce n'est pas pour vous moquer de nous, au moins ?" Tels sont les premiers mots qui sont prononcés au moment d'annoncer notre intérêt pour la Royale Union Hodimontoise. C'est dire si la situation de cette équipe de quatrième provinciale liégeoise est catastrophique. C'est d'ailleurs après une défaite 22-0 sur le terrain de Wegnez que le contact se noue avec les instances du club. Une défaite éprouvante pour la RUHFC, qui n'est pas pourtant pas la première, ni la dernière que celle-ci encaissera cette saison. Pire, le club "culmine" en tête du classement des défenses les plus poreuses de la série avec 101 buts encaissés en à peine six rencontres de championnat. Mais comment expliquer que cette équipe verviétoise d'un niveau plutôt honnête soit aujourd'hui le "souffre-douleur" de sa division, au point de subir les railleries de la Tribune "ertébéenne" ?
"En fin de saison dernière, tous les joueurs de l'équipe première sont partis" , explique Roland Xhrouet, le président de la RUHFC. "Résultat, on a dû reformer une nouvelle équipe réserve (NdlR: qui joue le dimanche matin), sachant que les joueurs des deux équipes étaient également d'accord de jouer en Première (NdlR: et donc l'après-midi)", ajoute-t-il. "Or, c'est très difficile comme situation, car jouer deux rencontres dans la même journée n'est pas à la portée de tout le monde."Mais c'est tenable physiquement, car les joueurs n'ont jamais cessé de s'entraîner, y compris pendant la trêve" , positive malgré tout Henri Larondelle, le coach d'Hodimont.
Avec un noyau composé au total d'une petite quarantaine d'éléments de Réserves, l'entraîneur doit développer des trésors d'organisation et jongler entre les absences des uns et des autres pour disposer chaque week-end de suffisamment de joueurs pour entrer sur le pelouse. A presque soixante-et-un ans, lui-même n'hésite pas à prendre place dans les buts. "Éprouvant" , de l'aveu même du joueur-coach... Mais nécessaire. "On doit être minimum sept et heureusement, on n'a jamais dû déclarer forfait" , explique de son côté Kevin Piron, défenseur central du club. "Certains parviennent à tenir deux matches, mais il arrive qu'on ne soit pas au complet. Le tout est d'éviter le forfait" . Le règlement prévoit en effet que si un club jette l'éponge à cinq reprises au cours de la saison, celui-ci est automatiquement exclu du championnat. Une petite catastrophe pour le matricule 89, l'un des plus anciens du pays.
L'amour du maillot, le vrai
"Pourquoi ces joueurs sont-ils partis ? Parfois, il ne faut pas vraiment chercher. L'un part, l'autre suit et ainsi de suite" , regrette le président. "Ces joueurs ne s'occupent plus du club. Cela ne compte pas pour eux, il n'y a plus de respect pour les bénévoles" . "Ils demandaient beaucoup pour finalement donner pas grand chose, ni argent à la buvette, ni cotisation" , nous dit-on. "Certains sont partis pour d'autres clubs, où il pouvaient espérer toucher quelque chose. Il est hors de question que ça soit le cas chez nous" , ajoute Henri Larondelle. Le club ne peut en effet pas se permettre ce genre d'"extras". "Il n'y a pas de sponsors et mises à part les épouses des joueurs, il n'y a que quelques irréductibles supporters" , indique pour sa part le président. "C'est insuffisant au niveau des recettes et les cotisations ne sont pas toujours payées (...) Nous n'avons pratiquement pas d'argent de la Ville, car nous ne sommes pas un club formateur au même titre qu'Heusy ou Verviers. Il faut donc se débrouiller... ", complète le coach.
De plus, Hodimont paye quelques errements administratifs. Passé d'une ASBL à une association de fait, le club est dans le viseur des contributions, qui ont même été jusqu'à réclamer des milliers d'euros à l'entité. Une somme qui condamnait quasiment Hodimont à la fin de son aventure footeuse sur les terrains liégeois . "La situation est moins grave que prévu" , rassure toutefois le président Xhrouet. "On doit remettre quelques petites choses en ordre, tout en espérant qu'on sera bienveillants vis-à-vis de nous, un petit club..."
Malgré ces chiffres sans pitié et les "emmerdes" dues à la paperasse, ceux qui sont restés afin qu'Hodimont survive n'ont aucun regret, comme Kevin Piron, qui poursuit son chemin à la RUHFC. "Si on ne se bat pas pour le club, qui le fera ?" , demande-t-il. "En tant que joueur, on se doit de le faire, même si ce n'est pas facile de se prendre vingt-deux buts. On est tous dans un bon état d'esprit. On essaye de faire quelque chose, on n'y va pas pour rien. (...) Et on se battra tous quoiqu'il arrive pour sauver le club et on prendra ce qui est à prendre."
Un attachement qui étonne, étant donné que la plupart des joueurs sont des nouveaux. "On est un bon groupe, on s'entend vraiment bien et on a ce plaisir de se retrouver tous ensemble le dimanche" , continue Kevin Piron. "On n'a pas forcément envie d'aller voir ailleurs..." Tout profit pour Roland Xhrouet, qui peut capitaliser sur cet engouement pour déjà penser à la saison prochaine. "Il y a des jours où on se décourage, mais j'ai joué ici dès 1954, ma famille aussi" , dit-il. "C'est ça qui me tient, c'est le matricule. (...) On est d'ailleurs déjà à la recherche de nouveaux joueurs". Et en dépit des "raclées" que se prennent les Hodimontois chaque semaine, des accords ont déjà été trouvés...
Entre louanges et foutage de gueule
Cette succession de défaites record amène inévitablement les moqueries. "Il y a en effet une ou deux personnes qui se foutent de nous, mais ce sont surtout des gens frustrés d'avoir été écartés pour l'une ou l'autre raison" , explique Kevin Piron. "Ce sont des réactions de gamins. (...) C'est comme ces commentaires entendus à La Tribune (NdlR: lors du rendez-vous hebdomadaire de la RTBF, Michel Lecomte et son équipe avaient ironisé sur la situation du club). Personnellement, je n'ai pas trop aimé qu'on se moque du club, sans même connaître la situation. Je ne trouve pas ça normal" , regrette-t-il.
Ces railleries atteignent les bénévoles du club, mais ceux-ci ne sont pourtant pas près de baisser les bras. "Il n'y a pas l'ombre d'un quelconque pessimisme de mon côté, ni de faux espoirs" , confirme Henri Larondelle. "Tous les clubs qui nous rendent visite se demandent comment on fait pour développer un tel enthousiasme et nous tirent leur chapeau" . Des coups de chapeau après les casquettes, suffisant pour booster des joueurs prêts à tout pour leur club. Plutôt sport.
Hodimont va mal. Accablé par les attaquants adverses, le club verviétois est en train de vivre une saison cauchemardesque.
"Dites, si vous écrivez quelque chose sur nous, ce n'est pas pour vous moquer de nous, au moins ?" Tels sont les premiers mots qui sont prononcés au moment d'annoncer notre intérêt pour la Royale Union Hodimontoise. C'est dire si la situation de cette équipe de quatrième provinciale liégeoise est catastrophique. C'est d'ailleurs après une défaite 22-0 sur le terrain de Wegnez que le contact se noue avec les instances du club. Une défaite éprouvante pour la RUHFC, qui n'est pas pourtant pas la première, ni la dernière que celle-ci encaissera cette saison. Pire, le club "culmine" en tête du classement des défenses les plus poreuses de la série avec 101 buts encaissés en à peine six rencontres de championnat. Mais comment expliquer que cette équipe verviétoise d'un niveau plutôt honnête soit aujourd'hui le "souffre-douleur" de sa division, au point de subir les railleries de la Tribune "ertébéenne" ?
"En fin de saison dernière, tous les joueurs de l'équipe première sont partis" , explique Roland Xhrouet, le président de la RUHFC. "Résultat, on a dû reformer une nouvelle équipe réserve (NdlR: qui joue le dimanche matin), sachant que les joueurs des deux équipes étaient également d'accord de jouer en Première (NdlR: et donc l'après-midi)", ajoute-t-il. "Or, c'est très difficile comme situation, car jouer deux rencontres dans la même journée n'est pas à la portée de tout le monde."Mais c'est tenable physiquement, car les joueurs n'ont jamais cessé de s'entraîner, y compris pendant la trêve" , positive malgré tout Henri Larondelle, le coach d'Hodimont.
Avec un noyau composé au total d'une petite quarantaine d'éléments de Réserves, l'entraîneur doit développer des trésors d'organisation et jongler entre les absences des uns et des autres pour disposer chaque week-end de suffisamment de joueurs pour entrer sur le pelouse. A presque soixante-et-un ans, lui-même n'hésite pas à prendre place dans les buts. "Éprouvant" , de l'aveu même du joueur-coach... Mais nécessaire. "On doit être minimum sept et heureusement, on n'a jamais dû déclarer forfait" , explique de son côté Kevin Piron, défenseur central du club. "Certains parviennent à tenir deux matches, mais il arrive qu'on ne soit pas au complet. Le tout est d'éviter le forfait" . Le règlement prévoit en effet que si un club jette l'éponge à cinq reprises au cours de la saison, celui-ci est automatiquement exclu du championnat. Une petite catastrophe pour le matricule 89, l'un des plus anciens du pays.
L'amour du maillot, le vrai
"Pourquoi ces joueurs sont-ils partis ? Parfois, il ne faut pas vraiment chercher. L'un part, l'autre suit et ainsi de suite" , regrette le président. "Ces joueurs ne s'occupent plus du club. Cela ne compte pas pour eux, il n'y a plus de respect pour les bénévoles" . "Ils demandaient beaucoup pour finalement donner pas grand chose, ni argent à la buvette, ni cotisation" , nous dit-on. "Certains sont partis pour d'autres clubs, où il pouvaient espérer toucher quelque chose. Il est hors de question que ça soit le cas chez nous" , ajoute Henri Larondelle. Le club ne peut en effet pas se permettre ce genre d'"extras". "Il n'y a pas de sponsors et mises à part les épouses des joueurs, il n'y a que quelques irréductibles supporters" , indique pour sa part le président. "C'est insuffisant au niveau des recettes et les cotisations ne sont pas toujours payées (...) Nous n'avons pratiquement pas d'argent de la Ville, car nous ne sommes pas un club formateur au même titre qu'Heusy ou Verviers. Il faut donc se débrouiller... ", complète le coach.
De plus, Hodimont paye quelques errements administratifs. Passé d'une ASBL à une association de fait, le club est dans le viseur des contributions, qui ont même été jusqu'à réclamer des milliers d'euros à l'entité. Une somme qui condamnait quasiment Hodimont à la fin de son aventure footeuse sur les terrains liégeois . "La situation est moins grave que prévu" , rassure toutefois le président Xhrouet. "On doit remettre quelques petites choses en ordre, tout en espérant qu'on sera bienveillants vis-à-vis de nous, un petit club..."
Malgré ces chiffres sans pitié et les "emmerdes" dues à la paperasse, ceux qui sont restés afin qu'Hodimont survive n'ont aucun regret, comme Kevin Piron, qui poursuit son chemin à la RUHFC. "Si on ne se bat pas pour le club, qui le fera ?" , demande-t-il. "En tant que joueur, on se doit de le faire, même si ce n'est pas facile de se prendre vingt-deux buts. On est tous dans un bon état d'esprit. On essaye de faire quelque chose, on n'y va pas pour rien. (...) Et on se battra tous quoiqu'il arrive pour sauver le club et on prendra ce qui est à prendre."
Un attachement qui étonne, étant donné que la plupart des joueurs sont des nouveaux. "On est un bon groupe, on s'entend vraiment bien et on a ce plaisir de se retrouver tous ensemble le dimanche" , continue Kevin Piron. "On n'a pas forcément envie d'aller voir ailleurs..." Tout profit pour Roland Xhrouet, qui peut capitaliser sur cet engouement pour déjà penser à la saison prochaine. "Il y a des jours où on se décourage, mais j'ai joué ici dès 1954, ma famille aussi" , dit-il. "C'est ça qui me tient, c'est le matricule. (...) On est d'ailleurs déjà à la recherche de nouveaux joueurs". Et en dépit des "raclées" que se prennent les Hodimontois chaque semaine, des accords ont déjà été trouvés...
Entre louanges et foutage de gueule
Cette succession de défaites record amène inévitablement les moqueries. "Il y a en effet une ou deux personnes qui se foutent de nous, mais ce sont surtout des gens frustrés d'avoir été écartés pour l'une ou l'autre raison" , explique Kevin Piron. "Ce sont des réactions de gamins. (...) C'est comme ces commentaires entendus à La Tribune (NdlR: lors du rendez-vous hebdomadaire de la RTBF, Michel Lecomte et son équipe avaient ironisé sur la situation du club). Personnellement, je n'ai pas trop aimé qu'on se moque du club, sans même connaître la situation. Je ne trouve pas ça normal" , regrette-t-il.
Ces railleries atteignent les bénévoles du club, mais ceux-ci ne sont pourtant pas près de baisser les bras. "Il n'y a pas l'ombre d'un quelconque pessimisme de mon côté, ni de faux espoirs" , confirme Henri Larondelle. "Tous les clubs qui nous rendent visite se demandent comment on fait pour développer un tel enthousiasme et nous tirent leur chapeau" . Des coups de chapeau après les casquettes, suffisant pour booster des joueurs prêts à tout pour leur club. Plutôt sport.
Re: Hodimont - Un club à la recherche de joueurs
Y a t-il parmi les forumeurs des courageux de la région pour aider ce club à survivre?
Re: Hodimont - Un club à la recherche de joueurs
Le problème est que le quartier de Hodimont est un des quartiers comportant le plus grand pourcentage de personnes d'origine étrangère en Belgique (Il me semble même avoir lu quelque part, le plus grand).
Il n'est donc pas évident de tenir un club déserté par la population belge. La situation est assez catastrophique là-bas.
Voici d'ailleurs quelques commentaires repris sur un site qui parle de ce problème:
http://www.rtbf.be/info/regions/detail_verviers-entre-eux-et-nous-d-une-rive-a-l-autre-de-la-vesdre?id=8245251
Un enseignant explique : "Il y a 20-30 ans, la rue d’Hodimont était remplie de magasins. Mais maintenant, tous les Belges sont partis. C’est devenu un ghetto d’étrangers. C’est ça le problème. On laisse des ghettos se former. C’est ça l’échec de l’intégration, du 'vivre ensemble'".
Le ton est donné. Verviers est divisé entre les "eux" et les "nous". Entre le quartier d’Hodimont, d’un côté de la Vesdre, et le reste de Verviers, de l’autre.
Une fois le pont sur la Vesdre passé, Verviers change de visage.
Ici viande halal, pains turcs et pâtisseries au miel s'exposent en vitrine. Les habitants qui conversent sur les trottoirs ne parlent pas qu'en français...
Pour Larbi Toubali, rencontré dans une boucherie halal, le principal problème pour les personnes étrangères, ce sont les discriminations à l’emploi. L'intégration ne marche pas, pour lui.
Un peu plus loin, l’ASBL CCES, Centre culturel éducatif somalien, donne des cours de français et d’alphabétisation et propose une école de devoirs. Ici, malgré le nom, des populations de toutes origines viennent chercher un appui pour s'intégrer dans leur pays d'adoption.
Muriel Darimont y travaille. Pour elle, ce ne sont pas les personnes étrangères qui ne veulent pas s’intégrer, mais plutôt la société belge qui ne les accueille pas vraiment. Elle explique que les "Belges" ne viennent jamais dans le quartier d'Hodimont. Mais aussi inversement, que les habitants d’Hodimont craignent parfois de sortir de leur quartier.
Elle et sa collègue Muna Yusuf-Ali dénoncent le climat qui règne à Verviers. Récemment, le président du CPAS de Verviers, le MR Freddy Breuwer, a annoncé qu’il souhaitait priver les personnes d'origine étrangère qui n'apprendraient pas le français de leur revenu d'intégration sociale.
Franchement, il faudrait être bien courageux pour aller entraîner là-bas. Mais il est vrai que s'il y avait des volontaires pour s'occuper de ces gamins abandonnés le plus souvent dans la rue, cela ne pourrait être que bénéfique pour l'image du quartier.
Il n'est donc pas évident de tenir un club déserté par la population belge. La situation est assez catastrophique là-bas.
Voici d'ailleurs quelques commentaires repris sur un site qui parle de ce problème:
http://www.rtbf.be/info/regions/detail_verviers-entre-eux-et-nous-d-une-rive-a-l-autre-de-la-vesdre?id=8245251
Un enseignant explique : "Il y a 20-30 ans, la rue d’Hodimont était remplie de magasins. Mais maintenant, tous les Belges sont partis. C’est devenu un ghetto d’étrangers. C’est ça le problème. On laisse des ghettos se former. C’est ça l’échec de l’intégration, du 'vivre ensemble'".
Le ton est donné. Verviers est divisé entre les "eux" et les "nous". Entre le quartier d’Hodimont, d’un côté de la Vesdre, et le reste de Verviers, de l’autre.
Une fois le pont sur la Vesdre passé, Verviers change de visage.
Ici viande halal, pains turcs et pâtisseries au miel s'exposent en vitrine. Les habitants qui conversent sur les trottoirs ne parlent pas qu'en français...
Pour Larbi Toubali, rencontré dans une boucherie halal, le principal problème pour les personnes étrangères, ce sont les discriminations à l’emploi. L'intégration ne marche pas, pour lui.
Un peu plus loin, l’ASBL CCES, Centre culturel éducatif somalien, donne des cours de français et d’alphabétisation et propose une école de devoirs. Ici, malgré le nom, des populations de toutes origines viennent chercher un appui pour s'intégrer dans leur pays d'adoption.
Muriel Darimont y travaille. Pour elle, ce ne sont pas les personnes étrangères qui ne veulent pas s’intégrer, mais plutôt la société belge qui ne les accueille pas vraiment. Elle explique que les "Belges" ne viennent jamais dans le quartier d'Hodimont. Mais aussi inversement, que les habitants d’Hodimont craignent parfois de sortir de leur quartier.
Elle et sa collègue Muna Yusuf-Ali dénoncent le climat qui règne à Verviers. Récemment, le président du CPAS de Verviers, le MR Freddy Breuwer, a annoncé qu’il souhaitait priver les personnes d'origine étrangère qui n'apprendraient pas le français de leur revenu d'intégration sociale.
Franchement, il faudrait être bien courageux pour aller entraîner là-bas. Mais il est vrai que s'il y avait des volontaires pour s'occuper de ces gamins abandonnés le plus souvent dans la rue, cela ne pourrait être que bénéfique pour l'image du quartier.
Old Red- • Footmaniaque Soulier D'Or •
- Messages : 1542
Date d'inscription : 03/06/2014
Age : 64
Localisation : Lîtche
Re: Hodimont - Un club à la recherche de joueurs
Le président Xhrouet, un ex joueur de D3, ne veut pas laisser tomber le club car c'est son père qui l'a créé dans les années 50. Il lui en faut, du courage!
Jean24- • Footmaniaque Soulier D'Or •
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