Ligue 1 • Analyses des matchs 2015/2016

Rtbf sports a écrit:

Batshuayi et l'OM trébuchent d'entrée face à Caen

Olympique Marseille-Caen : 0-1

But : 27' Delort (0-1)

Prestations de Belges :

Michy Batshuayi : a joué l’intégralité de la rencontre

Le résumé :

Pour cette première journée de Ligue 1, Michy Batshuayi est titularisé à la pointe de l’attaque phocéenne.

Les Marseillais de Marcelo Bielsa débutent timidement la rencontre. Les Caennais en profitent et mettent la pression sur les buts de Mandanda. Malgré une belle frappe de Mendy sur le poteau, l’OM n’est pas au mieux.

Caen prend d’ailleurs les commandes de la partie grâce à une frappe extraordinaire de Delort qui ne laisse aucune chance au portier olympien (27’).

Batshuayi se montre à son avantage dans cette première période mais l’attaquant des Diables Rouges manque de réussite (7’, 26’, 30’, 36’, 38’).

En seconde mi-temps, les Phocéens dominent les débats mais ne parviennent toujours pas à tromper la vigilance de Vercoutre. A l’heure de jeu, Batshuayi est tout proche de réaliser le geste du match mais le Belge manque sa tentative de retourné acrobatique (63’).

Rien n’y fait pour les Marseillais qui trouvent une nouvelle fois le poteau sur une frappe lointaine de Barrada en fin de match (88’).

Malgré une large domination et des possibilités franches, l’OM trébuche dès la première journée de Ligue 1 devant son public.

RTBF a écrit:Paris a fait respecter la logique sportive et financière face au petit promu Ajaccio (2-0) et s'est emparé de la tête de la Championnat de France, dimanche à l'issue de la 2e journée, alors que Marseille, défait à Reims (1-0), n'a pas digéré le départ de Marcelo Bielsa.

Le triple champion de France en titre ne s'est pas laissé distraire et a fait le métier contre le Gazélec. La multinationale parisienne propriété du Qatar, au budget de 500 millions d'euros (14 millions d'euros pour le club corse), n'a jamais tremblé et se retrouve déjà leader, à égalité avec Caen et Reims, grâce à une meilleure différence de buts.

Tout juste sorti d'un quadruplé historique sur le plan national, Paris a démarré la saison sur les mêmes bases, enchaînant une 15e victoire consécutive sur la scène domestique, toutes compétitions confondues. Et le meilleur reste peut-être à venir puisque Zlatan Ibrahimovic, blessé à un genou, et la recrue phare Angel Di Maria, vice-champion du monde argentin acheté 63 millions d'euros à Manchester United, n'ont toujours pas été alignés en Ligue 1.



L'après-Bielsa a débuté de la pire des manières pour Marseille avec un revers à Reims (1-0) avec en prime un carton rouge adressé à Alaixys Romao à la 73e minute. Le malheureux Franck Passi, chargé d'assurer l'intérim depuis le départ de l'entraîneur argentin, aura du pain sur la planche pour réveiller une équipe sonnée par la démission d'"El Loco" et très amoindrie par l'exode de ses cadres à l'intersaison (Gignac, Payet, Ayew, Imbula, Morel, Fanni).

Passi a réfuté tout "traumatisme" mais le capitaine et gardien international Steve Mandanda n'a pas eu peur d'évoquer un problème "mental".

Après deux défaites en autant de rencontres, Marseille est à l'aube d'une saison galère. La quête du successeur de Bielsa en devient plus urgente.



L'OL ronronne mais l'essentiel a été préservé avec un premier succès à Guingamp (1-0). Alexandre Lacazette, meilleur buteur du dernier championnat, est encore resté muet et Nabil Fekir s'est employé en vain mais la délivrance est venue tardivement d'une tête de Claudio Beauvue, l'ancien de Guingamp. De quoi sauver des Lyonnais quelconques, à l'image de leur phase de préparation ratée.

La performance de Beauvue a quelque peu éclipsé le retour en France de Mathieu Valbuena. Un an après avoir quitté le pays pour la Russie (Dynamo Moscou), l'ex-Marseillais a touché beaucoup de ballons mais n'a pas eu une grande influence sur l'animation lyonnaise. Son association avec Fekir et Lacazette est source de promesses mais il faudra attendre avant de voir ce trio tourner à plein régime.



Ce n'était qu'un penalty mais il a eu une saveur particulière pour Hatem Ben Arfa. En égalisant à Troyes (3-3), l'attaquant niçois a inscrit son premier but en L1 depuis le 15 mai 2010, soit il y a 1918 jours. L'enfant terrible du football français a sorti des gestes de classe et quelques dribbles dévastateurs mais il faudra le juger sur la durée puisqu'il est resté six mois sans jouer en raison du blocage de son transfert à Nice par la Fifa. Autre question de taille: s'est-il définitivement assagi après quatre ans et demi d'exil en Angleterre (à Newcastle et Hull)?

So Foot a écrit:Suspendu lors de la première journée, Rodéric Filippi a donc découvert la Ligue 1, dimanche soir, sur la pelouse du Parc des Princes. Une première un peu spéciale face à l'armada parisienne. Mais pas de quoi impressionner le capitaine du Gazélec.

Alors, ce premier match en Ligue 1, ça t'a impressionné ?

Franchement, toute la semaine, les journalistes m'ont demandé si j'avais la pression, si j'allais avoir le trac et tout ça. Et à chaque fois, je répondais : « Non, je pense pas, mais bon, on verra bien le moment venu, peut-être que ce ne sera pas la même. » Et bah honnêtement, pas du tout. Ça a été un match comme tous les autres, je n'ai rien ressenti de particulier.

Pas même au moment de rentrer sur la pelouse pour l'échauffement ?

Non, même pas. Alors que, pour le coup, je pensais vraiment que j'allais être surpris par l'ambiance du Parc des Princes. J'étais certain que ça allait être compliqué pour parler avec mes coéquipiers, pour qu'on se comprenne bien et tout, et en fait non, c'était plutôt tranquille pour ça. Ce qui m'a le plus impressionné, en revanche, c'est de voir tous les supporters aux abords du stade quand on est arrivés, ça, ça m'a beaucoup surpris.

À aucun moment, tu t'es dit : « Putain, ça y est, je suis en Ligue 1 » ?

Si, quand j'ai vu la pelouse pour la première fois (rires). Un vrai billard. Là, ok, j'ai réalisé qu'on avait changé de catégorie, rien à voir avec certains champs de patates que j'ai pu connaître dans ma carrière. Mais à part ça, rien de particulier, non.

« J'AI FOIRÉ DEUX RELANCES DU GAUCHE, MAIS EN OBSERVANT EN FACE, J'AI VU QUE DAVID LUIZ EN AVAIT FOIRÉ QUATRE DE SON CÔTÉ. »

Et le fait de côtoyer toutes ces stars ?

Bah non, pas plus que ça. J'ai toujours dit que ça restait des mecs comme nous, ce ne sont pas des dieux, hein. En plus, quand tu vois un mec à la télé, tu t'imagines toujours qu'il est grand, costaud, tu l'idéalises un peu, quoi. Mais je peux te dire que quand t'es en face de Thiago Silva qui fait 1m70, tu n'es pas du tout impressionné. Au moment de leur serrer la main, j'ai fait comme je fais tout le temps, quel que soit l'adversaire : je les ai tous regardés de travers (rires). Histoire de montrer qu'on n'est pas là pour rigoler.

Sur le terrain, comment ils se sont comportés avec vous ?

À la perfection ! Franchement, ils étaient super cools, personne ne nous a pris de haut, ils nous ont respectés en jouant leur jeu et en mettant le pied quand il fallait le mettre. À ce niveau, ça a été une bonne surprise, les gars se sont super bien comportés.

Et en matière de football, tu n'as pas été spécialement surpris par leurs qualités ?

La première question qu'on m'a posée hier, c'est « avez-vous senti un monde d'écart ? » Et clairement, je dirais que non. Alors certes, sûrement qu'ils n'ont pas fait le match de leur vie, peut-être qu'on les a un peu fait déjouer, mais il n'empêche que non, je n'ai pas l'impression que l'on ait été ridicules. En ce qui me concerne, j'ai foiré deux relances du gauche, et je me suis dit : « Putain, tu ne peux pas te le permettre », mais en observant en face, j'ai vu que David Luiz en avait foiré quatre de son côté. Alors voilà, on fait tous des erreurs, et de là à dire qu'il y a un monde d'écart, je n'ai pas trouvé.

Il y a bien un joueur qui t'a plus impressionné que les autres, non ?

Impressionné, c'est un bien grand mot. Mais disons qu'il y en a un que j'ai particulièrement apprécié, c'est Thiago Silva. Le mec joue simple, il n'hésite jamais à dégager s'il faut dégager. Je trouve qu'il y a très peu de déchet dans son jeu, il m'a bien plu.

« SUR L'ACTION OÙ JE RETIENS LUCAS PAR LE COL, J'AI L'IMPRESSION QU'IL EST MONTÉ SUR SON SCOOTER ET QU'IL ME DIT "CIAO" »

Bon, tu n'auras pas attendu longtemps avant de prendre ton premier carton ?
(rires) Eh non, malheureusement. En même temps, il va beaucoup trop vite, lui (Lucas, ndlr). Sur l'action où je le retiens par le col, j'ai l'impression qu'il est monté sur son scooter et qu'il m'a dit « ciao ». Et puis il fallait bien que je lui montre comment on joue en CFA (rires).

Il y a eu une image marquante, c'est lorsque vous vous êtes tous regroupés juste avant le coup d'envoi de la seconde période. Pourquoi avoir fait ça à ce moment-là ?

Pour montrer qu'on n'avait pas l'intention d'abandonner. On voulait montrer qu'on était encore concentrés et solidaires. Peu importe que l'on avait deux buts de retard, on comptait bien jouer le coup à fond. Voilà ce que l'on voulait faire passer comme message.

Rétrospectivement, tu es quand même content de cette prestation ?

Oui et non. Certes, on est contents d'avoir tenu le coup au maximum contre le PSG sans prendre le bouillon. Après, on n'est jamais content de perdre, quel que soit l'adversaire. Une défaite, ça reste une défaite, contre le PSG ou n'importe qui, tu ne peux pas t'en contenter.

Est-ce que le fait d'avoir tenu le coup contre la meilleure équipe du championnat vous donne de l'espoir pour la suite du championnat ?

Ça ne veut pas dire grand-chose. Ok, là, on n'a pas pris une branlée et on a plutôt tenu le coup, mais ça ne veut pas pour autant dire qu'on va gagner tous nos matchs contre des équipes plus faibles qu'eux. Pour vraiment se faire une idée de notre niveau, il faudra attendre que l'on ait disputé une quinzaine de matchs. À ce moment-là, on pourra juger notre véritable valeur dans ce championnat.

RTBF a écrit:Un nouveau but de Blaise Matuidi a permis au Paris SG de gagner vendredi à Montpellier (1-0) et de poursuivre sa série vertueuse en tête du championnat de France: trois journées, trois victoires et aucun but encaissé.

Rtbf sports a écrit:

Doublé de Batshuayi avec l'OM qui pulvérise Troyes 6-0 !

L'Olympique de Marseille a remporté dimanche, avec la manière, son match contre Troyes lors de la dernière rencontre de la troisième journée de championnat (6-0). Après deux défaites et l'arrivée de Michel sur le banc olympien, l'OM a rassuré ses supporters en montrant un football de qualité. Michy Batshuayi a marqué le troisième but (56e) de son équipe sur une chevauchée solitaire ponctuée d'une frappe hors de portée du gardien troyen. Il a ensuite clôturé la marque d'une reprise du genou sur un centre de Romain Alessandrini (90e).

Arrivé en cours de semaine pour succéder à Marcelo Bielsa sur le banc de l'OM, Michel a redonné des couleurs aux Marseillais. Avec une large victoire dans les chiffres et la manière contre Troyes, Marseille a remporté le premier match de sa saison.

L'attaquant belge s'est directement illustré avec une tête sur la transversale. A l'affut, Abdelaziz Barrada a marqué dans un but vide (19e). En seconde période, le récital olympien s'est poursuivi avec une frappe magistrale de Lassana Diarra à l'entrée du grand rectangle (47e). Parti seul de son camp, Batshuayi a ensuite creusé l'écart (56e) avant que Lucas Ocampos, monté au jeu 4 minutes auparavant ne fasse 4-0 sur une bicyclette. Alessandrini a ensuite profité d'un dribble de Batshuayi sur le gardien de l'ESTAC Denis Petric pour faire 5-0. A la 90e, Alessandrini a rendu la pareille au Belge de 21 ans en centrant de l'extérieur du gauche. "Batsman" a repris le centre du genou dans les filets adverses pour faire 6-0. Peu en vue lors des deux premiers matches, l'ancien joueur du Standard de Liège a retrouvé la confiance.

Grâce à cette première victoire de la saison, Marseille est remonté à la 13e place avec trois points. Troyes est 17e avec 2 pts.

RTBF a écrit:L'Olympique de Marseille a perdu vendredi contre l'En Avant Guingamp lors du match inaugural de la 4e journée de Ligue 1 au stade du Roudourou (2-0). Michy Batshuayi a joué toute la rencontre à la pointe de l'attaque phocéenne.

Après une victoire étincelante face à Troyes (6-0) la semaine dernière pour le premier match de l'entraîneur espagnol Michel, l'Olympique de Marseille devait confirmer en déplacement. Guingamp se présentait en bien mauvaise forme avec la dernière place du classement, trois défaites et aucun but marqué.

Cependant, ce sont les locaux qui ont mis le feu à la rencontre. Dès la première minute, Jimmy Briand est accroché par Lassana Diarra dans la surface et a provoqué un pénalty. C'est Sloan Privat, ancien joueur de La Gantoise, qui a pris ses responsabilités mais a trouvé Steve Mandanda sur son chemin.

Malgré une tentative de Batshuayi en fin de première période, c'est l'En Avant qui va ouvrir la marque. Parti à la limite du hors-jeu, Jimmy Briand a trouvé Sloan Privat seul devant les cages de Mandanda (72e). Après une nouvelle occasion pour Batshuayi (75e), qui s'est présenté face à Lössl, c'est Guingamp qui va mettre fin aux espoirs marseillais grâce à une belle frappe de Nicolas Benezet au vingt-cinq mètres (89e). L'OM, peu inspiré, ne confirme donc pas son beau succès de la semaine dernière et stagne dans la colonne de droite.

A noter que Nill De Pauw, arrivé de Lokeren à Guingamp cet été, est rentré à la 90e+1.

Marseille (13e) et Guingamp (14e) comptent chacun 3 unités au classement.

DH.be a écrit:Le Paris SG a marqué les esprits en remportant le premier choc de la saison à Monaco (3-0) et reste solide leader du Championnat de France, dimanche à l'issue d'une rencontre illuminée par les premiers pas d'Angel Di Maria, déjà décisif.

Le PSG a dignement fêté le retour de blessure du boss Zlatan Ibrahimovic et sa recrue-phare Angel Di Maria, aligné pour la première fois. Avec une 4e victoire en autant de matches (3-0), le triple champion de France en titre a poursuivi à Monaco son sans-faute sur un doublé d'Edinson Cavani et un but d'Ezequiel Lavezzi, magistralement lancé par Di Maria.

Le vice-champion du monde, entré à la 65e minute, a pu roder son association avec Ibrahimovic, déjà en forme avec une passe décisive, et Cavani. Un trio plein de promesses qui risque de faire très mal dans les semaines à venir.

A ce niveau, Paris est intouchable et risque d'écraser le championnat. Le club de la capitale compte 3 points d'avance sur Reims et Rennes mais surtout déjà 5 et 7 longueurs sur Lyon et Monaco, deux sérieux candidats au podium.

Lyon n'a pas fait les choses à moitié à Caen, balayé 4-0. Des buts splendides, un triplé signé Nabil Fekir (meilleur artificier de L1 avec 4 réalisations) et une efficacité chirurgicale (4 réalisations sur 5 tirs cadrés) ont totalement relancé l'OL (5e) après un début de saison très mitigé.

En l'absence d'Alexandre Lacazette, touché au dos et au moral, Lyon n'a pas du tout paru démuni offensivement, avec notamment un Mathieu Valbuena de plus en plus à l'aise et auteur de sa première passe décisive sous les couleurs rhodaniennes.

S'il poursuit sur sa lancée, le club de Jean-Michel Aulas, dauphin du PSG en 2014-15, sera encore le principal poil à gratter des Parisiens.

L'entraîneur Hubert Fournier a lui préféré rester prudent: "On verra sur les prochaines rencontres. La victoire était importante parce que, quand on est l'Olympique Lyonnais, perdre deux fois c'est déjà le début d'une petite crise."

Il n'a fallu que cinq jours pour que l'"effet Michel" se dissipe. L'euphorie née du large succès face à Troyes (6-0, le 23 août) et de l'arrivée de l'entraîneur espagnol, vieille gloire du Real Madrid, ont de nouveau laissé la place au doute après un revers navrant à Guingamp (2-0).

Rien n'est donc réglé à Marseille, obligé de repartir de zéro après l'exode de ses meilleurs joueurs (Gignac, Payet, A. Ayew, Imbula, Fanni, Morel) et la démission fracassante de Marcelo Bielsa.

"Au cours de cette semaine nous avons rapidement pu voir ce dont nous sommes capables en bien comme en mal", n'a pu que reconnaître Michel, déjà fataliste.

Plus de peur que de mal pour l'attaquant de Saint-Etienne Jean-Christophe Bahebeck, transporté à l'hôpital à la pause du match contre Bastia (2-1), disputé sous une chaleur caniculaire (35 degrés).

L'un des deux co-présidents des Verts Bernard Caïazzo a d'abord expliqué que le joueur de 22 ans avait connu "une baisse de tension" et "pas d'arrêt cardiaque" avant qu'un communiqué du club n'évoque une "gêne thoracique". Le champion du monde U20 en 2013, prêté par le PSG, devra subir des examens complémentaires", a ajouté l'ASSE.

Mais le joueur a ensuite lui-même donné des nouvelles rassurantes. "Une petite peur mais tout va bien", a-t-il posté sur son compte Twitter. "Merci à tous pour vos messages de soutien. Très content de la victoire des Verts cet après-midi. (...) A bientôt sur les terrains", a-t-il ensuite promis.

Les malaises cardiaques de joueurs sur le terrain sont la hantise du monde du foot professionnel, qui reste traumatisé par la mort du Camerounais Marc-Vivien Foé en pleine Coupe des Confédérations 2003.

DH.be a écrit:L'Allemand ne va pas bien dormir cette nuit...

Le Paris-Saint-Germain a concédé le nul à domicile face à Bordeaux (2-2). Si les Parisiens ont perdu deux points ce vendredi soir, c'est en partie la faute de leur nouveau gardien Kevin Trapp...

Sur un corner, en première période, Trapp, a "boxé" dans son but la tête d'Henri Saivet.

L'Allemand a commis une seconde boulette sur une passe en retrait en seconde mi-temps. Wahbi Khazri n'en demandait pas tant pour égaliser à 12 minutes de la fin. Deux fautes qui, on l'espère pour lui, ne vont pas trop marquer le joueur parisien.

Vidéos -> LIEN

Alexlerouche a écrit:

DH.be a écrit:L'Allemand ne va pas bien dormir cette nuit...

Le Paris-Saint-Germain a concédé le nul à domicile face à Bordeaux (2-2). Si les Parisiens ont perdu deux points ce vendredi soir, c'est en partie la faute de leur nouveau gardien Kevin Trapp...

Sur un corner, en première période, Trapp, a "boxé" dans son but la tête d'Henri Saivet.

L'Allemand a commis une seconde boulette sur une passe en retrait en seconde mi-temps. Wahbi Khazri n'en demandait pas tant pour égaliser à 12 minutes de la fin. Deux fautes qui, on l'espère pour lui, ne vont pas trop marquer le joueur parisien.

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Sirigu aime ça ...

DH.be a écrit:Le Diable rouge a été touché par un fumigène lancé par les supporters marseillais, qui a provoqué la suspension de la rencontre pendant 10 minutes.

Dernier match de la 6e journée du championnat de France, "l'Olympico" s'est terminé par un partage entre Marseille et Lyon (1-1). Michy Batshuayi a disputé l'intégralité de la rencontre. Le Diable rouge a été touché par un fumigène lancé par les supporters marseillais, qui a provoqué la suspension de la rencontre pendant 10 minutes. L'Olympique Marseille, qui restait sur deux belles victoires au Vélodrome et un succès en Europa League à Groningue (0-3), a réussi un exploit: il a joué en infériorité numérique à partir de la 44e.

Michel a fait tourner son effectif par rapport au match de jeudi et a aligné le même onze que le dimanche précédent face à Bastia. Le coach phocéen a relancé le trident d'attaque Rémy Cabella - Michy Batshuayi - Romain Alessandrini.

Lyon a pris la direction de la rencontre et a ouvert la marque (25e) par Alexandre Lacazette sur penalty (0-1). Après ce but, Marseille s'est un peu mis en évidence par Benjamin Mendy et Batshuayi. Alors que Marseille commençait à poser son jeu, Alessandrini s'est fait exclure pour un tackle par derrière sur Mathieu Valbuena (44e).

A la reprise, les Lyonnais ont profité de leur supériorité numérique mais ne sont pas parvenus à surprendre Steve Mandanda. Par contre Anthony Lopes a eu chaud à plusieurs reprises. Après avoir réussi à effecaer un défenseur (51e), Batshuayi a frappé du gauche juste à côté. Par la suite, le Diable rouge s'est beaucoup battu dans le rectangle adverse (61e). Juste après (62e), le match a été interrompu pendant dix minutes après que des objets lancés vers Valbuena. Batshuayi a bien combiné dos au but et a lancé ses équipiers, qui ont harcelé Lopes. Le gardien lyonnais a quand même pris son premier but en déplacement (69e) de saison par Karim Rekik (1-1). Le suspense a régné en fin de rencontre avec deux équipes, qui ont poussé tant et plus.

Au classement, Lyon (9 points) est 7e et Marseille (7 points) 12e.

RTBF a écrit:L’Olympique de Marseille a été contraint au partage (1-1) ce mercredi soir pour le compte de la 7ème journée de Ligue 1 sur la pelouse de Toulouse.

Michy Batshuayi a débuté la rencontre sur le banc des remplaçants avant de monter au jeu à la 60ème minute et d’inscrire le but égalisateur en toute fin de rencontre d’une frappe puissante (90’). Grâce à ce but, le Diable Rouge sauve un point précieux pour l’OM.

La rencontre a été marquée par trois expulsions en 10 minutes. Mendy, à peine monté au jeu, a été le premier à être exclu (77’) avant les deux Toulousains Moubandje (83’) et Yago (86’).

L’OM, 11ème avec 8 points, est toujours coincé dans le ventre mou du classement et peine à remonter la pente.

DH.be a écrit:Absent de la sélection de Marc Wilmots, Batsman se rappelle au bon souvenir du sélectionneur national.

L'Olympique de Marseille a beau piétiné en ce début de saison, il y a un homme qui parvient malgré tout à conserver son rythme de croisière: Michy Batshuayi. Titulaire en pointe de l'attaque phocéenne depuis le départ d'André-Pierre Gignac, le Belge a déjà inscrit cinq buts cette saison. Ou plutôt six ! En effet, le Diable rouge a ouvert la marque peu après la demi-heure de jeu lors du Clasico disputé face au PSG. Et au Parc des Princes !

Un but important pour l'OM, qui a besoin d'un succès pour se rassurer après une défaite honteuse contre les promus d'Angers. Si en plus, le succès est au rendez-vous sur les terres les plus hostiles de France pour les Marseillais, la perf' n'en serait que plus belle. Non, Michy Batshuayi ne brille pas que pour ses sous-vêtements Bob l'Eponge.

Rtbf sports a écrit:

Marseille, avec Batshuayi buteur et passeur, se donne de l'air

Marseille s'est imposé dimanche soir à Saint-Etienne (0-2) dans le cadre de la 14e journée du championnat de France. Auteur du premier but (41e) et passeur sur celui de Kevin-George Nkoudou (51e), Michy Batshuayi, qui a été remplacé à la 90e+3, a permis à l'OM (18 points) de remonter à la 12e place. Alors qu'ils espéraient retrouver le podium en cas de victoire, les Verts (22 points) occupent la 7e position.

En début de rencontre, les Stéphanois ont repoussé les Marseillais dans leur camp. Aligné comme d'habitude seul en pointe, Batshuayi n'a eu qu'un seul ballon à négocier pendant cette période et il l'a bien cédé à Rémy Cabella (3e). Grâce à Brice Dja Djéjé, Lassana Diarra, Goerge-Kevin Nkoudou et Lucas Ocampos, Marseille est revenu dans le match. Mais les Marseillais n'ont pas inquiété Stéphane Ruffier et la tentative de tir de Batshuayi, en pivot dans les 16 mètres, a directement été contrée (24e). Après avoir tricoté sur un premier centre dans la surface (40e), le Diable rouge n'a pas failli lorsqu'il a reçu un ballon de Nkoudou (41e). Du gauche, Batshuayi a donné l'avance aux Phocéens (0-1).

Batshuayi a débuté la seconde période en force: il a frappé d'instinct du gauche un petit ballon en profondeur donné dans l'axe par Cabella (48e). Saint-Etienne l'a échappé belle mais les choses se sont compliquées pour les Verts quand, sur service de Batshuayi (51e), un tir de Nkoudou a été dévié dans son but par Loïc Perrin(0-2).