Liga BBVA - Analyse des rencontres
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Qui sera champion d'Espagne saison 2014/2015 ?
Liga - Duel Real-Barça? [SONDAGE]
Liga: est-on reparti pour un duel Real-Barça?
Grâce à son titre de champion d'Espagne et sa finale de Ligue des Champions, l'Atlético Madrid a prouvé que la Liga ne se résumait pas à un mano a mano entre son puissant voisin du Real et le FC Barcelone. Mais les Rojiblancos ont subi de plein fouet les conséquences de leur succès, sous la forme d'une purge lors du mercato. En quelques semaines, le club a perdu plusieurs éléments importants: le gardien Thibaut Courtois, le défenseur Filipe Luis et l'attaquant Diego Costa, tous trois partis à Chelsea. Sans oublier les départs de David Villa à New York et d'Adrian à Porto.
Ces trois transferts ont amputé l'équipe d'éléments qui ont rapporté pas mal de points. Entre les vingt clean-sheets rendues par Courtois et les vingt-sept buts inscrits par l'avant, l'Atléti a beaucoup compté sur ces éléments pour se parer des lauriers espagnols. Cette saison, le coach argentin va donc apprendre la vie sans eux. Et de l'aveu même d'El Cholo, prendre la succession d'un groupe qui a presque tout gagné en quelques saisons ne va pas être une mince affaire. "Je n'aime pas mentir aux gens et une chose est claire: nous n'avons pas les moyens de rivaliser avec le Real et le Barça", a expliqué l'ancien milieu de terrain dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport. "Nos rivaux seront Séville, Valence et l'Athletic Bilbao. Notre objectif est de terminer troisième. Nous avons une nouvelle équipe".
Une déclaration défaitiste plutôt étonnante dans le chef de ce fort en gueule, qui met l'accent sur l'engagement et une volonté de tous les instants. Une hargne que le public a pu retrouver lors des rencontres livrées par ses hommes, lorsque ceux-ci exerçaient un pressing d'enfer sur leurs adversaires. Un jeu âpre et direct sans être "détestable", agréable, sans pour autant tomber dans les fanfreluches "tiki-takesque" du Barça.
Pas les moyens de rivaliser
Quelques semaines après avoir brisé le co-règne du Barça et du Real, le discours a donc changé. Mais Simeone s'explique... "Je suis arrivé à l'Atléti à Noël en 2011 et dès la deuxième moitié de la saison, on a enrôlé Diego Costa", indique-t-il. "La deuxième année, on en avait encore engagé un nouveau: David Villa. Cette année, nous en avons signés quatre. Or, nous n'avons pas une structure qui nous permet de mettre quatre-vingt millions sur un seul homme. Nous en avons investi cent en tout. Messi, Neymar et Suarez sont trois des cinq meilleurs joueurs du monde. Et le Real a maintenant Kroos et James dans ses rangs. Bale s'est encore amélioré depuis la saison dernière. Je comprends qu'on souhaite nous voir réitérer notre exploit de l'an dernier, mais il ne faut pas oublier qu'on n'avait plus gagné la Liga depuis dix-huit ans. On ne peut pas viser la victoire chaque année".
Pour Simeone, les deux géants et son squad ne boxent plus dans la même catégorie, malgré les dépenses consenties par sa direction. En effet, les Colchoneros ont été très actifs sur le marché des transferts. Parmi les nouveaux arrivants, on retrouve entre autres le gardien slovène Jan Oblak, arrivé de Benfica, l'attaquant mexicain Raùl Jimenez, qui avait fait bonne impression durant le Mondial et surtout le duo offensif Mario Mandzukic - Antoine Griezmann. Madrid a également enrôlé le Brésilien Guilherme Siqueira, prêté par Grenade à Lisbonne la saison dernière. "Nous terminons de façonner le groupe", poursuit l'entraîneur dans un entretien accordé au quotidien rose. "Nous avons beaucoup changé, notamment sur le front de l'attaque. Je le vois comme un nouveau départ, car l'équipe est différente. Nous sommes parvenus à maintenir une structure solide, mais nous recherchons maintenant le style qui nous convient le mieux."
Vraiment déforcé, l'Atlético ?
Ce lundi vingt-cinq août, l'Atlético Madrid entamera la défense de son titre par un déplacement au Rayo Vallecano. El Cholo pourra-t-il déjouer jusqu'à ses propres pronostics et damer le pion aux armadas castillane et catalane ? Et pourquoi pas ? Certes, le Real et le Barça impressionnent, avec deux tridents offensifs exceptionnels, composés de Bale, Ronaldo et Benzema d'un côté, et de Neymar, Messi et Suarez de l'autre. Sans oublier la présence de Kroos et Rodriguez dans le XI de Carlo Ancelotti. Mais en recrutant Griezmann et Mandzukic, l'Atlético a misé sur deux attaquants capables de claquer plus d'un but tous les deux matches, ce qui lui permet donc d'être moins dépendant d'un seul et même homme.
De plus, la direction a trouvé un remplaçant de poids à Courtois. En mettant seize millions sur la table pour Oblak, les dirigeants madrilènes n'ont pas qu'acheté le gardien le plus cher de l'Histoire de la Liga. Ils ont également offert un dernier rempart aux stats convaincantes à Simeone. En effet, le Slovène est considéré comme un véritable petit prodige. Agé de vingt-et-un ans seulement, il n'a concédé que cinq buts en seize rencontres de championnat, pour treize clean-sheets rendues. Énorme. Le portier est arrivé avec un titre de champion du Portugal et de meilleur gardien de la Liga Zon Sagres en poche. De quoi rassurer les supporters rojiblancos, qui ont dû dire adieu au double-mètre belge. Mais le jeune homme doit encore retrouver la forme. Celui-ci n'aura pas à trouver d'automatismes avec Siqueira, qu'il a déjà côtoyé la saison dernière dans la capitale portugaise et qui est censé pallier le départ de Filipe à Chelsea au poste de latéral gauche.
L'autre grande réussite de l'Atléti est également d'avoir réussi à conserver des éléments importants tels que Koke ou Diego Godin. Le premier était le pourvoyeur officiel de Costa, avec un total de treize passes décisives en championnat. Sa vivacité sur le flanc peut se révéler idéale dans le schéma proposé par Simeone. Quant au second, il est le taulier de l'arrière-garde, grâce à son aura et sa présence physique. Enfin, l'ossature composée de Tiago, Gabi ou encore Arda Turan est toujours bel et bien présente au Vicente Calderon. Bref, si le Real et le Barça sont parés pour mordre la Liga à pleines dents, l'Atlético pourrait encore une fois doubler tout le monde, avec un effectif remanié cette fois. L'exploit n'en serait que plus beau.
Grâce à son titre de champion d'Espagne et sa finale de Ligue des Champions, l'Atlético Madrid a prouvé que la Liga ne se résumait pas à un mano a mano entre son puissant voisin du Real et le FC Barcelone. Mais les Rojiblancos ont subi de plein fouet les conséquences de leur succès, sous la forme d'une purge lors du mercato. En quelques semaines, le club a perdu plusieurs éléments importants: le gardien Thibaut Courtois, le défenseur Filipe Luis et l'attaquant Diego Costa, tous trois partis à Chelsea. Sans oublier les départs de David Villa à New York et d'Adrian à Porto.
Ces trois transferts ont amputé l'équipe d'éléments qui ont rapporté pas mal de points. Entre les vingt clean-sheets rendues par Courtois et les vingt-sept buts inscrits par l'avant, l'Atléti a beaucoup compté sur ces éléments pour se parer des lauriers espagnols. Cette saison, le coach argentin va donc apprendre la vie sans eux. Et de l'aveu même d'El Cholo, prendre la succession d'un groupe qui a presque tout gagné en quelques saisons ne va pas être une mince affaire. "Je n'aime pas mentir aux gens et une chose est claire: nous n'avons pas les moyens de rivaliser avec le Real et le Barça", a expliqué l'ancien milieu de terrain dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport. "Nos rivaux seront Séville, Valence et l'Athletic Bilbao. Notre objectif est de terminer troisième. Nous avons une nouvelle équipe".
Une déclaration défaitiste plutôt étonnante dans le chef de ce fort en gueule, qui met l'accent sur l'engagement et une volonté de tous les instants. Une hargne que le public a pu retrouver lors des rencontres livrées par ses hommes, lorsque ceux-ci exerçaient un pressing d'enfer sur leurs adversaires. Un jeu âpre et direct sans être "détestable", agréable, sans pour autant tomber dans les fanfreluches "tiki-takesque" du Barça.
Pas les moyens de rivaliser
Quelques semaines après avoir brisé le co-règne du Barça et du Real, le discours a donc changé. Mais Simeone s'explique... "Je suis arrivé à l'Atléti à Noël en 2011 et dès la deuxième moitié de la saison, on a enrôlé Diego Costa", indique-t-il. "La deuxième année, on en avait encore engagé un nouveau: David Villa. Cette année, nous en avons signés quatre. Or, nous n'avons pas une structure qui nous permet de mettre quatre-vingt millions sur un seul homme. Nous en avons investi cent en tout. Messi, Neymar et Suarez sont trois des cinq meilleurs joueurs du monde. Et le Real a maintenant Kroos et James dans ses rangs. Bale s'est encore amélioré depuis la saison dernière. Je comprends qu'on souhaite nous voir réitérer notre exploit de l'an dernier, mais il ne faut pas oublier qu'on n'avait plus gagné la Liga depuis dix-huit ans. On ne peut pas viser la victoire chaque année".
Pour Simeone, les deux géants et son squad ne boxent plus dans la même catégorie, malgré les dépenses consenties par sa direction. En effet, les Colchoneros ont été très actifs sur le marché des transferts. Parmi les nouveaux arrivants, on retrouve entre autres le gardien slovène Jan Oblak, arrivé de Benfica, l'attaquant mexicain Raùl Jimenez, qui avait fait bonne impression durant le Mondial et surtout le duo offensif Mario Mandzukic - Antoine Griezmann. Madrid a également enrôlé le Brésilien Guilherme Siqueira, prêté par Grenade à Lisbonne la saison dernière. "Nous terminons de façonner le groupe", poursuit l'entraîneur dans un entretien accordé au quotidien rose. "Nous avons beaucoup changé, notamment sur le front de l'attaque. Je le vois comme un nouveau départ, car l'équipe est différente. Nous sommes parvenus à maintenir une structure solide, mais nous recherchons maintenant le style qui nous convient le mieux."
Vraiment déforcé, l'Atlético ?
Ce lundi vingt-cinq août, l'Atlético Madrid entamera la défense de son titre par un déplacement au Rayo Vallecano. El Cholo pourra-t-il déjouer jusqu'à ses propres pronostics et damer le pion aux armadas castillane et catalane ? Et pourquoi pas ? Certes, le Real et le Barça impressionnent, avec deux tridents offensifs exceptionnels, composés de Bale, Ronaldo et Benzema d'un côté, et de Neymar, Messi et Suarez de l'autre. Sans oublier la présence de Kroos et Rodriguez dans le XI de Carlo Ancelotti. Mais en recrutant Griezmann et Mandzukic, l'Atlético a misé sur deux attaquants capables de claquer plus d'un but tous les deux matches, ce qui lui permet donc d'être moins dépendant d'un seul et même homme.
De plus, la direction a trouvé un remplaçant de poids à Courtois. En mettant seize millions sur la table pour Oblak, les dirigeants madrilènes n'ont pas qu'acheté le gardien le plus cher de l'Histoire de la Liga. Ils ont également offert un dernier rempart aux stats convaincantes à Simeone. En effet, le Slovène est considéré comme un véritable petit prodige. Agé de vingt-et-un ans seulement, il n'a concédé que cinq buts en seize rencontres de championnat, pour treize clean-sheets rendues. Énorme. Le portier est arrivé avec un titre de champion du Portugal et de meilleur gardien de la Liga Zon Sagres en poche. De quoi rassurer les supporters rojiblancos, qui ont dû dire adieu au double-mètre belge. Mais le jeune homme doit encore retrouver la forme. Celui-ci n'aura pas à trouver d'automatismes avec Siqueira, qu'il a déjà côtoyé la saison dernière dans la capitale portugaise et qui est censé pallier le départ de Filipe à Chelsea au poste de latéral gauche.
L'autre grande réussite de l'Atléti est également d'avoir réussi à conserver des éléments importants tels que Koke ou Diego Godin. Le premier était le pourvoyeur officiel de Costa, avec un total de treize passes décisives en championnat. Sa vivacité sur le flanc peut se révéler idéale dans le schéma proposé par Simeone. Quant au second, il est le taulier de l'arrière-garde, grâce à son aura et sa présence physique. Enfin, l'ossature composée de Tiago, Gabi ou encore Arda Turan est toujours bel et bien présente au Vicente Calderon. Bref, si le Real et le Barça sont parés pour mordre la Liga à pleines dents, l'Atlético pourrait encore une fois doubler tout le monde, avec un effectif remanié cette fois. L'exploit n'en serait que plus beau.
Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
Je vote le Real .. Le Barça a subi trop de changements et entre dans une nouvelle ère , ça va lui prendre un peu de temps avant que la machine soit bien huilée (comme le Standard quoi .. ) ..
Curieux aussi de voir comment l'Atléti va se comporter .. Des gros départs également dans leurs rangs , certes , mais ça fait plusieurs saisons que la direction des Colchoneros réalise des prouesses et se montre très efficace sur le marché des transferts , avec bien moins de moyens que les 2 mastodontes Merengues et Blaugranas ..
Curieux aussi de voir comment l'Atléti va se comporter .. Des gros départs également dans leurs rangs , certes , mais ça fait plusieurs saisons que la direction des Colchoneros réalise des prouesses et se montre très efficace sur le marché des transferts , avec bien moins de moyens que les 2 mastodontes Merengues et Blaugranas ..
Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
Bien que supporter du Barça, j'ai voté "Réal" car quand ces joueurs là récupèrent un ballon, en deux ou trois passes maximum et une course, ils sont devant le but adverse. Avec Kroos et Rodriguez en plus, cela va faire très très mal.
Le Barça est pour moi en fin de cycle bien que devant, il y a encore du très "lourd": Messi, Neymar et les dents de la mer, c'est pas de la petite bière (Jupiler). Quand Suarez pourra rejouer, cette équipe fera mal aussi mais cela va tout de même bien plus vite au but adverse dans l'autre grosse cylindrée.
Ce que j'espère, c'est que notre Diable fasse son trou dans la défense et ne soit pas trop souvent blessé.
Le Barça est pour moi en fin de cycle bien que devant, il y a encore du très "lourd": Messi, Neymar et les dents de la mer, c'est pas de la petite bière (Jupiler). Quand Suarez pourra rejouer, cette équipe fera mal aussi mais cela va tout de même bien plus vite au but adverse dans l'autre grosse cylindrée.
Ce que j'espère, c'est que notre Diable fasse son trou dans la défense et ne soit pas trop souvent blessé.
Polle Gazon- • Staff •
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Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
J'ai voté le Barça juste parce que je suis un supporter inconditionnel et que je n'envisage pas de saison sans me dire qu'ils seront champions.
Quoi qu'il en soit, ce sera serré. Le Real a sans aucun doute une équipe qui fait rêver mais la super coupe d'Espagne a déjà confirmé qu'il faudra compter sur l'Atletico aussi et que le fait d'avoir une dream team n'est pas toujours gage de victoire.
Le Barça est en reconstruction certes mais il faudra compter avec eux, j'en suis certain. Et il faudra compter avec l'Atletico aussi, j'en ai bien l'impression! Ce diable de Simeone a l'art de tirer le meilleur de ses joueurs et il en a encore de très bons à sa disposition.
Quoi qu'il en soit, ce sera serré. Le Real a sans aucun doute une équipe qui fait rêver mais la super coupe d'Espagne a déjà confirmé qu'il faudra compter sur l'Atletico aussi et que le fait d'avoir une dream team n'est pas toujours gage de victoire.
Le Barça est en reconstruction certes mais il faudra compter avec eux, j'en suis certain. Et il faudra compter avec l'Atletico aussi, j'en ai bien l'impression! Ce diable de Simeone a l'art de tirer le meilleur de ses joueurs et il en a encore de très bons à sa disposition.
Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
le Barça et de loin,les égos du Réal vont cette fois lui couté le titre et la C1,et puis j'éprouve toujours un plaisir à voir cette équipe surendetté et surprotégé,même par sa monarchie,tombé de son piédestal
Cale- • Footmaniaque Expert •
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Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
Atlético car j'adore vraiment cette équipe et, déforcés oui pas, ils peuvent vraiment faire de grandes choses!
Young Red- • Staff •
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Liga - Barça - Elche : 3-0
DH - Liga: à 10 contre 11, le Barça écrase quand même Elche (3-0)
Lionel Messi, malheureux en Coupe du monde, a repris dimanche ses bonnes habitudes en Championnat d'Espagne, inscrivant un doublé pour offrir au FC Barcelone une victoire contre Elche (3-0) et un début idéal lors de la 1re journée.
La "Puce" est de retour dans son jardin: au Camp Nou, l'Argentin a marqué d'une magnifique frappe croisée entre cinq défenseurs (42), puis d'un plat du pied chirurgical (63), et rejeté derrière lui la déception de la finale du Mondial, perdue face à l'Allemagne le mois dernier (1-0 a.p.).
Malgré l'expulsion de Javier Mascherano juste avant le repos (43), Barcelone avait entretemps accentué son avance sur un but du jeune Munir El Haddadi (46), âgé de 18 ans, qui a marqué pour son tout premier match de Liga!
Ce large succès permet au nouveau Barça version Luis Enrique de prendre provisoirement la tête à la veille de l'entrée en lice lundi du Real Madrid, champion d'Europe, contre Cordoue (18h00 GMT) et celle de l'Atletico, champion d'Espagne en titre, face au Rayo Vallecano (20h00 GMT).
Après une saison 2013-2014 très noire, entre absence de titre majeur et scandales extrasportifs, les Catalans veulent croire leur chance revenue.
Scène insolite, dès les premières secondes de la rencontre, un chat noir s'est longuement promené sur le terrain avant que les stadiers ne parviennent à l'en faire déguerpir.
Mais même si Munir (22) puis Andres Iniesta (32) ont trouvé tour à tour la barre transversale dans une première période à sens unique, ce félin n'a pas été de si mauvais augure: Messi, débordant d'énergie et de vista, a livré une belle prestation, inventant des gestes improbables dans des trous de souris.
C'est la quatrième année consécutive que le quadruple Ballon d'Or inscrit un doublé lors de la 1re journée.
Tout n'est néanmoins pas parfait côté catalan puisque la défense, privée de Gerard Piqué (suspendu), a été victime d'un relâchement coupable juste avant la pause. Alors que Jonathas filait au but, Mascherano l'a accroché en position de dernier défenseur, récoltant un carton rouge logique.
Mais le Barça a aussitôt relevé la tête en seconde période puisque, après seulement une minute de jeu, Ivan Rakitic a alerté dans la surface Munir, qui a marqué d'un joli extérieur du pied (46).
Au passage, le jeune attaquant hispano-marocain, issu du centre de formation catalan, a donné raison à Luis Enrique de lui faire confiance. Privé de Neymar (cheville) et de Luis Suarez (suspension), le technicien a préféré ménager Pedro (gastroentérite), remplaçant au coup d'envoi, au profit de Munir, qui est ensuite sorti sous les applaudissements pour ses débuts en Liga.
C'était aussi la première fois du Français Jérémy Mathieu en match officiel avec le Barça après son transfert cet été de Valence pour 20 millions d'euros. Titulaire dans l'axe, le défenseur de 30 ans a livré une copie très propre, alternant relances simples et interventions tranchantes.
Enfin, comme c'était décidément la soirée des grandes premières, le promu Eibar a pour sa part créé la plus grosse surprise du week-end: pour sa découverte de l'élite espagnole, le petit club basque a dompté à domicile la Real Sociedad (1-0), son grand voisin de Saint-Sébastien, sur un magnifique coup franc à angle fermé de Javi Lara (45).
Luis Enrique "enchanté" de son début avec le Barça
Luis Enrique, nouvel entraîneur du FC Barcelone, s'est dit dimanche "plus qu'enchanté" par la victoire contre Elche dimanche (3-0) en Championnat d'Espagne pour ses grands débuts en match officiel sur le banc catalan à l'occasion de la 1re journée de Liga.
Ancien joueur emblématique du club blaugrana (1996-2004), le technicien asturien a pris cet été la succession de l'Argentin Gerardo "Tata" Martino. Sa poigne doit permettre d'initier un nouveau cycle victorieux après une saison 2013-2014 conclue sans trophée majeure, une première pour le Barça depuis 2008.
"Les socios seront contents de ce qu'ils ont vu", s'est réjoui Luis Enrique. "Avec la qualité que nous avons en attaque, avec avec un +Leo+ (Messi) en état de grâce, nous sommes très contents. C'est un premier pas, il faut désormais faire le deuxième."
Lors de ce match, l'Argentin Lionel Messi s'est particulièrement mis en évidence, inscrivant un doublé et rejetant derrière lui la déception de la finale du Mondial, perdue face à l'Allemagne le mois dernier (1-0 a.p.).
Avec un total de 245 buts en Liga, le quadruple Ballon d'Or s'est en outre encore rapproché du record (251 buts) du mythique attaquant de l'Athletic Bilbao Telmo Zarra (1940-1955).
"J'ai toujours déclaré que Messi était le meilleur joueur du monde. Il le sera tant qu'il souhaitera l'être, en marquant des buts, en délivrant des passes décisives", a poursuivi Luis Enrique, qui a aussi salué la performance du jeune Munir (18 ans), auteur d'un but pour son tout premier match de Liga.
"Munir brûle les étapes avec une vitesse difficile à gérer mais il nous offre beaucoup d'options. Il a de la personnalité et il nous aide, comme nous aideront d'autres joueurs de la réserve", a conclu le technicien barcelonais.
Lionel Messi, malheureux en Coupe du monde, a repris dimanche ses bonnes habitudes en Championnat d'Espagne, inscrivant un doublé pour offrir au FC Barcelone une victoire contre Elche (3-0) et un début idéal lors de la 1re journée.
La "Puce" est de retour dans son jardin: au Camp Nou, l'Argentin a marqué d'une magnifique frappe croisée entre cinq défenseurs (42), puis d'un plat du pied chirurgical (63), et rejeté derrière lui la déception de la finale du Mondial, perdue face à l'Allemagne le mois dernier (1-0 a.p.).
Malgré l'expulsion de Javier Mascherano juste avant le repos (43), Barcelone avait entretemps accentué son avance sur un but du jeune Munir El Haddadi (46), âgé de 18 ans, qui a marqué pour son tout premier match de Liga!
Ce large succès permet au nouveau Barça version Luis Enrique de prendre provisoirement la tête à la veille de l'entrée en lice lundi du Real Madrid, champion d'Europe, contre Cordoue (18h00 GMT) et celle de l'Atletico, champion d'Espagne en titre, face au Rayo Vallecano (20h00 GMT).
Après une saison 2013-2014 très noire, entre absence de titre majeur et scandales extrasportifs, les Catalans veulent croire leur chance revenue.
Scène insolite, dès les premières secondes de la rencontre, un chat noir s'est longuement promené sur le terrain avant que les stadiers ne parviennent à l'en faire déguerpir.
Mais même si Munir (22) puis Andres Iniesta (32) ont trouvé tour à tour la barre transversale dans une première période à sens unique, ce félin n'a pas été de si mauvais augure: Messi, débordant d'énergie et de vista, a livré une belle prestation, inventant des gestes improbables dans des trous de souris.
C'est la quatrième année consécutive que le quadruple Ballon d'Or inscrit un doublé lors de la 1re journée.
Tout n'est néanmoins pas parfait côté catalan puisque la défense, privée de Gerard Piqué (suspendu), a été victime d'un relâchement coupable juste avant la pause. Alors que Jonathas filait au but, Mascherano l'a accroché en position de dernier défenseur, récoltant un carton rouge logique.
Mais le Barça a aussitôt relevé la tête en seconde période puisque, après seulement une minute de jeu, Ivan Rakitic a alerté dans la surface Munir, qui a marqué d'un joli extérieur du pied (46).
Au passage, le jeune attaquant hispano-marocain, issu du centre de formation catalan, a donné raison à Luis Enrique de lui faire confiance. Privé de Neymar (cheville) et de Luis Suarez (suspension), le technicien a préféré ménager Pedro (gastroentérite), remplaçant au coup d'envoi, au profit de Munir, qui est ensuite sorti sous les applaudissements pour ses débuts en Liga.
C'était aussi la première fois du Français Jérémy Mathieu en match officiel avec le Barça après son transfert cet été de Valence pour 20 millions d'euros. Titulaire dans l'axe, le défenseur de 30 ans a livré une copie très propre, alternant relances simples et interventions tranchantes.
Enfin, comme c'était décidément la soirée des grandes premières, le promu Eibar a pour sa part créé la plus grosse surprise du week-end: pour sa découverte de l'élite espagnole, le petit club basque a dompté à domicile la Real Sociedad (1-0), son grand voisin de Saint-Sébastien, sur un magnifique coup franc à angle fermé de Javi Lara (45).
Luis Enrique "enchanté" de son début avec le Barça
Luis Enrique, nouvel entraîneur du FC Barcelone, s'est dit dimanche "plus qu'enchanté" par la victoire contre Elche dimanche (3-0) en Championnat d'Espagne pour ses grands débuts en match officiel sur le banc catalan à l'occasion de la 1re journée de Liga.
Ancien joueur emblématique du club blaugrana (1996-2004), le technicien asturien a pris cet été la succession de l'Argentin Gerardo "Tata" Martino. Sa poigne doit permettre d'initier un nouveau cycle victorieux après une saison 2013-2014 conclue sans trophée majeure, une première pour le Barça depuis 2008.
"Les socios seront contents de ce qu'ils ont vu", s'est réjoui Luis Enrique. "Avec la qualité que nous avons en attaque, avec avec un +Leo+ (Messi) en état de grâce, nous sommes très contents. C'est un premier pas, il faut désormais faire le deuxième."
Lors de ce match, l'Argentin Lionel Messi s'est particulièrement mis en évidence, inscrivant un doublé et rejetant derrière lui la déception de la finale du Mondial, perdue face à l'Allemagne le mois dernier (1-0 a.p.).
Avec un total de 245 buts en Liga, le quadruple Ballon d'Or s'est en outre encore rapproché du record (251 buts) du mythique attaquant de l'Athletic Bilbao Telmo Zarra (1940-1955).
"J'ai toujours déclaré que Messi était le meilleur joueur du monde. Il le sera tant qu'il souhaitera l'être, en marquant des buts, en délivrant des passes décisives", a poursuivi Luis Enrique, qui a aussi salué la performance du jeune Munir (18 ans), auteur d'un but pour son tout premier match de Liga.
"Munir brûle les étapes avec une vitesse difficile à gérer mais il nous offre beaucoup d'options. Il a de la personnalité et il nous aide, comme nous aideront d'autres joueurs de la réserve", a conclu le technicien barcelonais.
Real Madrid - 2-8 - record de buts a l'exterieur battu !!
Le Real Madrid, en net progrès après un début de saison poussif, s'est régalé samedi face au Deportivo La Corogne (8-2), avec un triplé de Cristiano Ronaldo et des doublés de Gareth Bale et "Chicharito" Hernandez pour la 4e journée du Championnat d'Espagne.
Le Real Madrid a effacé ses fausses notes de début de saison avec un récital offensif tonitruant à La Corogne (8-2) samedi lors de la 4e journée du Championnat d'Espagne, tandis que l'Atletico a été mis en sourdine par le Celta Vigo (2-2).
Lancé par un triplé de Cristiano Ronaldo (29, 41, 78), le Real s'est régalé face au Deportivo: les virtuoses James Rodriguez (37), Gareth Bale (66, 74) et "Chicharito" Hernandez (88, 90+2) lui ont permis d'égaler sa précédente meilleure performance à l'extérieur en Liga, un succès 7-1 à Saragosse en 1987.
Au classement, la "Maison blanche" se replace dans la première partie de tableau en revenant à deux longueurs de l'Atletico (8 points) et trois du FC Barcelone (9 points) en déplacement dimanche sur la pelouse de la lanterne rouge Levante (19h00 GMT).
Cette large victoire apaisera sans doute le club merengue après un début de saison catastrophique, marqué par deux défaites en trois journées. Surtout, son attaque semble monter en puissance après avoir déjà inscrit cinq buts contre Bâle mardi en Ligue des champions (5-1).
"Après nos deux défaites, avoir marqué 13 buts (en deux matches, NDLR) est la preuve que nous avons bien réagi", a jugé l'entraîneur Carlo Ancelotti en conférence de presse, tout en reconnaissant que son équipe devait encore "s'améliorer".
Offensivement en tout cas, les automatismes du Real commencent à payer. On a beaucoup vu combiner et permuter James, Benzema, Bale et Ronaldo, lequel est désormais meilleur buteur de Liga avec cinq buts.
Le Portugais, qui n'avait encore jamais marqué au Riazor, a frappé trois fois: ouverture du score de la tête (29), frappe dans le but vide après un bon travail de Benzema (41) et tir croisé à mi-hauteur (78).
Malgré les réductions du score successives de Medunjanin sur penalty (50) et de Toché de la tête (84), le Real s'est fait plaisir avec deux buts de Bale sur deux appels dans la surface (66, 74) et des frappes splendides de James Rodriguez (37) et "Chicharito" (88, 90+2), auteur de ses deux premiers buts sous le maillot merengue.
Si le Real est de retour, l'Atletico semble connaître à son tour un léger passage à vide: les "Colchoneros", vaincus par l'Olympiakos en C1 mardi (3-2), ont à nouveau péché en défense et n'ont pu faire mieux qu'un nul à domicile contre le Celta.
Malgré l'intense activité d'Antoine Griezmann, titulaire en attaque, l'"Atleti" s'est retrouvé mené au score après une curieuse reprise du talon à l'aveugle de Pedro Pablo Hernandez (19).
Le champion d'Espagne en titre, dont l'effectif a été très remanié à l'intersaison, a alors joué sur ses points forts habituels, avec deux buts sur phases arrêtées: un plat du pied de Joao Miranda après un coup franc (31) et une tête de Diego Godin sur corner (41).
Mais il a aussi montré une fébrilité défensive plus étonnante: Miranda a fait faute sur Carles Planas en début de seconde période, concédant le pénalty de l'égalisation à Nolito (53).
Et en l'absence du Croate Mario Mandzukic, opéré du nez, le Mexicain Raul Jimenez a manqué de réussite devant le but (62, 74). Signe qu'après les efforts consentis au Pirée en milieu de semaine, l'Atletico a peut-être été contaminé par le "virus C1".
En tout cas, cela a été le cas de l'Ahtletic Bilbao, qui, trois jours après avoir joué son premier match de phase de poules de Ligue des champions depuis 16 ans (0-0 contre Donetsk), a chuté dans son stade de San Mames face à Grenade (1-0), vainqueur sur un but du Colombien Jhon Cordoba (39).
Le Real Madrid a effacé ses fausses notes de début de saison avec un récital offensif tonitruant à La Corogne (8-2) samedi lors de la 4e journée du Championnat d'Espagne, tandis que l'Atletico a été mis en sourdine par le Celta Vigo (2-2).
Lancé par un triplé de Cristiano Ronaldo (29, 41, 78), le Real s'est régalé face au Deportivo: les virtuoses James Rodriguez (37), Gareth Bale (66, 74) et "Chicharito" Hernandez (88, 90+2) lui ont permis d'égaler sa précédente meilleure performance à l'extérieur en Liga, un succès 7-1 à Saragosse en 1987.
Au classement, la "Maison blanche" se replace dans la première partie de tableau en revenant à deux longueurs de l'Atletico (8 points) et trois du FC Barcelone (9 points) en déplacement dimanche sur la pelouse de la lanterne rouge Levante (19h00 GMT).
Cette large victoire apaisera sans doute le club merengue après un début de saison catastrophique, marqué par deux défaites en trois journées. Surtout, son attaque semble monter en puissance après avoir déjà inscrit cinq buts contre Bâle mardi en Ligue des champions (5-1).
"Après nos deux défaites, avoir marqué 13 buts (en deux matches, NDLR) est la preuve que nous avons bien réagi", a jugé l'entraîneur Carlo Ancelotti en conférence de presse, tout en reconnaissant que son équipe devait encore "s'améliorer".
Offensivement en tout cas, les automatismes du Real commencent à payer. On a beaucoup vu combiner et permuter James, Benzema, Bale et Ronaldo, lequel est désormais meilleur buteur de Liga avec cinq buts.
Le Portugais, qui n'avait encore jamais marqué au Riazor, a frappé trois fois: ouverture du score de la tête (29), frappe dans le but vide après un bon travail de Benzema (41) et tir croisé à mi-hauteur (78).
Malgré les réductions du score successives de Medunjanin sur penalty (50) et de Toché de la tête (84), le Real s'est fait plaisir avec deux buts de Bale sur deux appels dans la surface (66, 74) et des frappes splendides de James Rodriguez (37) et "Chicharito" (88, 90+2), auteur de ses deux premiers buts sous le maillot merengue.
Si le Real est de retour, l'Atletico semble connaître à son tour un léger passage à vide: les "Colchoneros", vaincus par l'Olympiakos en C1 mardi (3-2), ont à nouveau péché en défense et n'ont pu faire mieux qu'un nul à domicile contre le Celta.
Malgré l'intense activité d'Antoine Griezmann, titulaire en attaque, l'"Atleti" s'est retrouvé mené au score après une curieuse reprise du talon à l'aveugle de Pedro Pablo Hernandez (19).
Le champion d'Espagne en titre, dont l'effectif a été très remanié à l'intersaison, a alors joué sur ses points forts habituels, avec deux buts sur phases arrêtées: un plat du pied de Joao Miranda après un coup franc (31) et une tête de Diego Godin sur corner (41).
Mais il a aussi montré une fébrilité défensive plus étonnante: Miranda a fait faute sur Carles Planas en début de seconde période, concédant le pénalty de l'égalisation à Nolito (53).
Et en l'absence du Croate Mario Mandzukic, opéré du nez, le Mexicain Raul Jimenez a manqué de réussite devant le but (62, 74). Signe qu'après les efforts consentis au Pirée en milieu de semaine, l'Atletico a peut-être été contaminé par le "virus C1".
En tout cas, cela a été le cas de l'Ahtletic Bilbao, qui, trois jours après avoir joué son premier match de phase de poules de Ligue des champions depuis 16 ans (0-0 contre Donetsk), a chuté dans son stade de San Mames face à Grenade (1-0), vainqueur sur un but du Colombien Jhon Cordoba (39).
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Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
ici le but contre l'Atletico:
https://www.youtube.com/watch?v=snbsxZ9-Tjs&feature=player_embedded
Il faisait quoi le gardien au premier poteau ?? Ca manque de Courtois la-bas ... ;)
https://www.youtube.com/watch?v=snbsxZ9-Tjs&feature=player_embedded
Il faisait quoi le gardien au premier poteau ?? Ca manque de Courtois la-bas ... ;)
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Real - Barca - Le clasico a commencé
RTBF - Ronaldo critique la date du "clasico", Iniesta lui répond
Cristiano Ronaldo a vertement critiqué mercredi soir la date retenue pour le "clasico" de la Liga, qui laisse selon lui moins de repos au Real Madrid qu'au FC Barcelone, mais le Barcelonais Andres Iniesta a minimisé jeudi cette polémique naissante.
Le choc entre les deux grands rivaux du Championnat d'Espagne est prévu samedi en fin d'après-midi au stade Bernabeu, trois jours après le déplacement victorieux du Real à Liverpool (3-0) en Ligue des champions. Le Barça, lui, a joué en C1 mardi soir contre l'Ajax Amsterdam (3-1), soit un gain de 24 heures de repos, a jugé Ronaldo.
"Je ne comprends pas pourquoi le match est programmé pour samedi. C'est une rencontre difficile et tout footballeur sait qu'un jour de plus de repos est important", a dit le Portugais à la presse à Anfield.
"Un match comme le clasico devrait être regardé d'un autre oeil. Ce match aurait dû être dimanche", a poursuivi le double Ballon d'Or, qui a néanmoins assuré que ce calendrier ne serait "pas une excuse" pour le Real.
Interrogé jeudi en conférence de presse à Barcelone, le milieu Iniesta lui a répondu en expliquant que les choses étaient scellées de longue date.
"Le calendrier est ce qu'il est, a expliqué le N.8 du FC Barcelone. Je ne sais pas si à d'autres occasions le Barça ou le Real ont eu plus ou moins de temps de repos. Les tirages au sort ont été faits, les confrontations définies et chacun essaie de se préparer de la meilleure des manières".
Le "clasico" de samedi est l'opportunité pour le Barça, leader invaincu de la Liga (1er, 22 pts), de prendre en cas de succès sept points d'avance sur son rival (3e, 18 pts). Le Real, à l'inverse, a l'opportunité de recoller à une petite longueur s'il l'emporte.
Cristiano Ronaldo a vertement critiqué mercredi soir la date retenue pour le "clasico" de la Liga, qui laisse selon lui moins de repos au Real Madrid qu'au FC Barcelone, mais le Barcelonais Andres Iniesta a minimisé jeudi cette polémique naissante.
Le choc entre les deux grands rivaux du Championnat d'Espagne est prévu samedi en fin d'après-midi au stade Bernabeu, trois jours après le déplacement victorieux du Real à Liverpool (3-0) en Ligue des champions. Le Barça, lui, a joué en C1 mardi soir contre l'Ajax Amsterdam (3-1), soit un gain de 24 heures de repos, a jugé Ronaldo.
"Je ne comprends pas pourquoi le match est programmé pour samedi. C'est une rencontre difficile et tout footballeur sait qu'un jour de plus de repos est important", a dit le Portugais à la presse à Anfield.
"Un match comme le clasico devrait être regardé d'un autre oeil. Ce match aurait dû être dimanche", a poursuivi le double Ballon d'Or, qui a néanmoins assuré que ce calendrier ne serait "pas une excuse" pour le Real.
Interrogé jeudi en conférence de presse à Barcelone, le milieu Iniesta lui a répondu en expliquant que les choses étaient scellées de longue date.
"Le calendrier est ce qu'il est, a expliqué le N.8 du FC Barcelone. Je ne sais pas si à d'autres occasions le Barça ou le Real ont eu plus ou moins de temps de repos. Les tirages au sort ont été faits, les confrontations définies et chacun essaie de se préparer de la meilleure des manières".
Le "clasico" de samedi est l'opportunité pour le Barça, leader invaincu de la Liga (1er, 22 pts), de prendre en cas de succès sept points d'avance sur son rival (3e, 18 pts). Le Real, à l'inverse, a l'opportunité de recoller à une petite longueur s'il l'emporte.
Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
Ronaldo n'a pas tort ... entre un match à la maison le mardi soir et un match à Liverpool le mercredi soir, la récupération ne sera pas la même.
C'est même plus que 24h de différence. A quelle heure Iniesta était au lit mardi soir et à quelle heure Ronaldo y était ce jeudi matin?
C'est même plus que 24h de différence. A quelle heure Iniesta était au lit mardi soir et à quelle heure Ronaldo y était ce jeudi matin?
Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
oui en plus dimanche ca aurait evite la polemique sur la qualification de Suarez ;)
J'ai fait un tour sur les medias espagnols, et de fait ca parle deja beaucoup, avec des bilans historiques (les chiffres de Ronaldo, les debuts tardifs de Kruykk et Puskas comme celui de Suarez, etc ...)
J'ai fait un tour sur les medias espagnols, et de fait ca parle deja beaucoup, avec des bilans historiques (les chiffres de Ronaldo, les debuts tardifs de Kruykk et Puskas comme celui de Suarez, etc ...)
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Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
loc a écrit:oui en plus dimanche ca aurait evite la polemique sur la qualification de Suarez ;)
J'ai fait un tour sur les medias espagnols, et de fait ca parle deja beaucoup, avec des bilans historiques (les chiffres de Ronaldo, les debuts tardifs de Kruykk et Puskas comme celui de Suarez, etc ...)
Je vois le Real émerger (parce que je me doute que tu es derrière le Barca) ...
Liga - Real et Barça battus
DH - Liga: le Real et le Barça, deux de chute
Pour la première fois depuis près de quatre mois, le Real a mordu la poussière en compétition... La Real Sociedad a quant çà elle battu le Barça.
La série de 22 victoires consécutives du Real Madrid s'est achevée dimanche sur une défaite à Valence (2-1) lors de la 17e journée du Championnat d'Espagne, un coup de tonnerre qui n'a toutefois pas profité au FC Barcelone, tombé devant la Real Sociedad (1-0).
Panne d'efficacité pour la reprise: le Real comme le Barça ont eu des occasions en pagaille mais les deux grands d'Espagne ont péché dans la finition pour leur premier match de 2015, ce qui maintient le statu quo entre eux au classement. La "Maison blanche" reste en tête (39 pts, un match de moins) et le club catalan (38 pts), qui a raté l'opportunité de prendre la tête, voit revenir sur lui l'Atletico Madrid (38 pts), qui sera son adversaire en Liga le week-end prochain au Camp Nou.
A Valence, le Real a subi sa première défaite en compétition depuis mi-septembre et tout le mérite en revient aux Valenciens: menés après un penalty de Cristiano Ronaldo (14), ils ont renversé les Madrilènes grâce à Antonio Barragan d'une frappe détournée (52) et à une tête de Nicolas Otamendi sur corner (65). Dimanche soir, le Barça a chuté à son tour, s'inclinant contre la Real Sociedad de l'entraîneur écossais David Moyes. Mené en tout début de match sur un but contre son camp de Jordi Alba (2), les Catalans n'ont jamais réussi à égaliser malgré une pluie d'occasions, notamment de la part de Luis Suarez (85, 86).
Il faut dire que l'entraîneur Luis Enrique avait laissé sur le banc au coup d'envoi Lionel Messi et Neymar, rentrés de vacances seulement vendredi avec l'accord du club et sans doute à court de rythme. Sans ces deux atouts, les Barcelonais ont dominé stérilement et si l'entrée des deux Sud-Américains en seconde période a apporté un coup de fouet, cela n'a pas suffi, à l'image du coup franc expédié au-dessus du cadre par Messi (65).
Triplé de Messi: la guerre des étoiles continue ! (vidéo)
Les deux superstars, CR7 et Messi, se sont livrés un beau duel à distance ce dimanche. Ronaldo a inscrit un doublé et la "Puce" lui a répondu avec un triplé. Le Real a un point d'avance sur le Barça (mais un match en retard).
Le FC Barcelone s'est imposé 0-4 à La Corogne, dimanche soir. Les Catalans n'ont jamais été inquiétés et ont, semble-t-il, mis la crise interne derrière eux. Après la belle victoire sur l'Atletico (3-1) en Liga et la tranquille qualification en Coupe du Roi (5-0 ; 4-0 devant Elche), les voilà toujours dans la course au titre même si le grand rival madrilène pourrait creuser l'écart avec son match en retard face au FC Séville.Grâce à trois nouveaux buts, Messi totalise 19 unités à son compteur et reste plus que jamais le seul prétendant au titre de "pichichi" avec Ronaldo (27 buts cette saison après un doublé contre Getafe dimanche).
"Messi a joué à un niveau extraordinairement élevé toute la saison. Il n'a jamais faibli et est de classe mondiale", a souligné l'entraîneur Luis Enrique comme pour démentir tout problème avec sa star.
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Résumé du match du Barça ici: http://www.rtl.be/sport/football/football-etranger/triple-de-messi-la-guerre-des-etoiles-continue-video--692955.aspx
Quoi qu'on en dise, ils sont, pour moi, les deux meilleurs joueurs de l'histoire!
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Le Barça, mené deux fois, renverse Villarreal
Le FC Barcelone, mené deux fois au score, s'en est remis à ses détonateurs offensifs pour dynamiter Villarreal (3-2) dimanche pour la 21e journée du Championnat d'Espagne et garder en ligne de mire le Real Madrid, toujours leader.
Un but de Neymar (45), un autre de Rafinha (53) et un troisième de Lionel Messi (55) ont permis au Barça d'infliger au "sous-marin jaune" sa première défaite depuis trois mois toutes compétitions confondues. Villarreal avait pourtant pris l'avantage à deux reprises par Denis Cheryshev (30) et Luciano Vietto (51).
Au classement, les Catalans restent à la deuxième place (50 pts), à une longueur du Real Madrid (1er, 51 pts), tombeur de la Real Sociedad samedi (4-1).
Le leader merengue aura néanmoins une opportunité en or de prendre ses distances mercredi soir avec un match en retard à disputer à domicile contre Séville, qui l'a emporté dimanche contre l'Espanyol Barcelone (3-2) pour s'emparer de la quatrième place provisoire (42 pts).
Le Barça, lui, va avoir une semaine sans match intercalé, qu'il devrait vivre avec sérénité: depuis la défaite contre la Real Sociedad (1-0) début janvier, qui avait plongé le club dans la crise, Barcelone a remporté huit matches et affiché un niveau de jeu en net progrès.
Villarreal a pourtant bien failli enrayer la mécanique catalane, avec un plan très efficace: défendre avec application et se projeter vite en contre-attaque.
Une stratégie payante: à la demi-heure de jeu, le Russe Denis Cheryshev, prêté par le Real Madrid, s'est retrouvé sur la trajectoire d'une frappe puissante de Mario et il a détourné le ballon au fond avec un peu de chance (30).
Et en seconde période, après l'égalisation de Neymar (44),Giovani Dos Santos a profité d'une bourde de Gerard Piqué, pourtant impeccable jusque-là, pour filer au but et servir en retrait l'Argentin Luciano Vietto (51).
Ces deux buts n'ont pas facilité la tâche du Barça, pas plus que le manque d'efficacité persistant de Luis Suarez. L'Uruguayen a raté plusieurs occasions très franches: il a trop croisé son ballon (8), son tir brossé a été claqué par le gardien de Villarreal (13), et, seul au point de penalty, il a expédié sa frappe au ras du poteau (21), signe d'un attaquant en plein doute.
A son image, le Barça a eu des moments de flottement, vite balayés grâce à ses deux détonateurs, Lionel Messi et Neymar, parfaitement secondés par les milieux Rafinha et Andres Iniesta.
C'est Messi qui a amené l'égalisation catalane en servant dans la surface Rafinha, dont la frappe repoussée par le gardien a permis à Neymar, à l'affût, de marquer (45).
Et deux minutes seulement après le deuxième but de Villarreal, une passe en profondeur d'Iniesta a permis à Suarez de centrer pour Messi. La tête de l'Argentin a buté sur un défenseur mais Rafinha, très en vue dimanche soir, a marqué d'une reprise victorieuse (53).
La fin de match a été assez débridée, même si Suarez aurait pu abréger les débats en marquant de la tête seul face au but vide (65).
Heureusement pour l'Uruguayen, il avait fait auparavant ce qu'il fait de mieux depuis son arrivée en Catalogne cet été: délivrer des passes décisives. C'est ainsi qu'il a servi plein axe Messi, auteur du troisième but catalan d'une frappe du pied droit en lucarne (55).
Cela a suffi au FC Barcelone, qui a affiché de belles ressources mentales et lancé un avertissement à Villarreal. Les joueurs du "sous-marin jaune", qui retrouveront les Catalans en demi-finale aller de Coupe du Roi dans dix jours, sont prévenus: ce Barça-là ne se rend pas.
AFP
Un but de Neymar (45), un autre de Rafinha (53) et un troisième de Lionel Messi (55) ont permis au Barça d'infliger au "sous-marin jaune" sa première défaite depuis trois mois toutes compétitions confondues. Villarreal avait pourtant pris l'avantage à deux reprises par Denis Cheryshev (30) et Luciano Vietto (51).
Au classement, les Catalans restent à la deuxième place (50 pts), à une longueur du Real Madrid (1er, 51 pts), tombeur de la Real Sociedad samedi (4-1).
Le leader merengue aura néanmoins une opportunité en or de prendre ses distances mercredi soir avec un match en retard à disputer à domicile contre Séville, qui l'a emporté dimanche contre l'Espanyol Barcelone (3-2) pour s'emparer de la quatrième place provisoire (42 pts).
Le Barça, lui, va avoir une semaine sans match intercalé, qu'il devrait vivre avec sérénité: depuis la défaite contre la Real Sociedad (1-0) début janvier, qui avait plongé le club dans la crise, Barcelone a remporté huit matches et affiché un niveau de jeu en net progrès.
Villarreal a pourtant bien failli enrayer la mécanique catalane, avec un plan très efficace: défendre avec application et se projeter vite en contre-attaque.
Une stratégie payante: à la demi-heure de jeu, le Russe Denis Cheryshev, prêté par le Real Madrid, s'est retrouvé sur la trajectoire d'une frappe puissante de Mario et il a détourné le ballon au fond avec un peu de chance (30).
Et en seconde période, après l'égalisation de Neymar (44),Giovani Dos Santos a profité d'une bourde de Gerard Piqué, pourtant impeccable jusque-là, pour filer au but et servir en retrait l'Argentin Luciano Vietto (51).
Ces deux buts n'ont pas facilité la tâche du Barça, pas plus que le manque d'efficacité persistant de Luis Suarez. L'Uruguayen a raté plusieurs occasions très franches: il a trop croisé son ballon (8), son tir brossé a été claqué par le gardien de Villarreal (13), et, seul au point de penalty, il a expédié sa frappe au ras du poteau (21), signe d'un attaquant en plein doute.
A son image, le Barça a eu des moments de flottement, vite balayés grâce à ses deux détonateurs, Lionel Messi et Neymar, parfaitement secondés par les milieux Rafinha et Andres Iniesta.
C'est Messi qui a amené l'égalisation catalane en servant dans la surface Rafinha, dont la frappe repoussée par le gardien a permis à Neymar, à l'affût, de marquer (45).
Et deux minutes seulement après le deuxième but de Villarreal, une passe en profondeur d'Iniesta a permis à Suarez de centrer pour Messi. La tête de l'Argentin a buté sur un défenseur mais Rafinha, très en vue dimanche soir, a marqué d'une reprise victorieuse (53).
La fin de match a été assez débridée, même si Suarez aurait pu abréger les débats en marquant de la tête seul face au but vide (65).
Heureusement pour l'Uruguayen, il avait fait auparavant ce qu'il fait de mieux depuis son arrivée en Catalogne cet été: délivrer des passes décisives. C'est ainsi qu'il a servi plein axe Messi, auteur du troisième but catalan d'une frappe du pied droit en lucarne (55).
Cela a suffi au FC Barcelone, qui a affiché de belles ressources mentales et lancé un avertissement à Villarreal. Les joueurs du "sous-marin jaune", qui retrouveront les Catalans en demi-finale aller de Coupe du Roi dans dix jours, sont prévenus: ce Barça-là ne se rend pas.
AFP
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Analyse des rencontres
Un Atletico de gala contre un Real décimé : tout profit pour le ... Barça?
Si le Real s'impose ce samedi à l'Atletico, il aura sans doute franchi un pas décisif vers le titre en Espagne. Mais les Merengues vont devoir composer sans cinq de leurs joueurs clés. Et même si le noyau de la Casa Blanca est consistant, c'est en l'occurrence un sacré pépin.
L'Atletico, champion sortant, rencontre-t-il ce samedi au Calderon le prochain champion? Si les Colchoneros devaient perdre contre l'équipe de Carlo Ancelotti, ce serait fort probable. D'une part parce que l'Atletico serait largué à dix points de son rival madrilène, mais aussi parce que l'écart entre le Real de Madrid et le FC Barcelone ne se réduirait pas et resterait à quatre points, pour autant que les Blaugranas signent un sans faute dimanche à Bilbao. Ce qui pour les Catalans est loin d'être gagné d'avance. Reste que le Real de Madrid n'abordera pas le derby dans les meilleures dispositions. Pepe, Marcelo, Sergio Ramos, Modric et James suivront en effet la rencontre depuis la tribune d'honneur. Et si Cristiano Ronaldo revient aux affaires, Carlo Ancelotti craint particulièrement l'Atletico où la vivacité, la rapidité et l'efficacité d'un Antoine Griezmann pourrait faire très mal à son équipe. De plus, la façon de jouer des Rojiblancos a régulièrement posé ces derniers mois des problèmes considérables aux stars de la Casa Blanca. "L'Atletico est un rival qui travaille très bien. C'est défensivement l'une des meilleures équipes du monde. Il nous faudra trouver un moyen de déséquilibrer un peu plus son dispositif" a expliqué Carlo Ancelotti. Atletico-Real, c'est ce samedi en direct sur Proximus 11+ à partir de 15h55. (Dupk/Picture : Belga)
http://sphinx.skynet.be/football/liga-bbva/actu/article/1120229/un-atletico-de-gala-contre-un-real-decime-tout-profit-pour-le-barca
Dernière édition par Alexlerouche le Sam 14 Mar - 9:36, édité 4 fois
Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
Quel match de l'Atlético! Exceptionnel! 4-0 au revoir, merci d'être revenu, et pour avoir vu le résumé, ils auraient pu en mettre 5 ou 6! Merci à mon équipe espagnole préférée d'avoir mis la pattée à ces chauvins:aime:
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Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
Et evidemment un execrable CR7 ... comme par hasard juste après avoir obtenu le ballon d'or.
La gloire perso es un but en soi pour CR7, et ca passe avant les success collectifs. Ce type est une honte pour le foot. OK il est bon, mais il pervertit les valeurs de notre sport prefere.
Grosse polemique dans les journaux madilenes: après son non-match, il fete ses 30 ans aujourd'hui ... Ca peut se renverser, mais en attendant il y a du desamour dans l'air.
La gloire perso es un but en soi pour CR7, et ca passe avant les success collectifs. Ce type est une honte pour le foot. OK il est bon, mais il pervertit les valeurs de notre sport prefere.
Grosse polemique dans les journaux madilenes: après son non-match, il fete ses 30 ans aujourd'hui ... Ca peut se renverser, mais en attendant il y a du desamour dans l'air.
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Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
4-0 !!!! Ahahaha c'est bon ça !
Les 3 premiers réunis en 4 points .. Encore une fin de saison qui risque d'être épique en Liga , même si on en est encore loin ..
Les 3 premiers réunis en 4 points .. Encore une fin de saison qui risque d'être épique en Liga , même si on en est encore loin ..
Le Barça, solide grâce à l'axe Rakitic-Suarez, presse le Real
Le FC Barcelone s'est imposé avec fermeté à Grenade 3-1 samedi pour la 25e journée du Championnat d'Espagne grâce aux inspirations d'Ivan Rakitic et aux appels de Luis Suarez, ce qui replace provisoirement le club catalan à un point du Real Madrid, le leader.
Rakitic, buteur (25) et passeur, a été l'un des meilleurs Barcelonais au stade Nuevo Los Carmenes et sa capacité à trouver Suarez dans l'espace a assommé la défense andalouse: l'avant-centre uruguayen a marqué (48e) puis offert un but tout fait à Lionel Messi (70e). Fran Rico avait entretemps réduit le score sur penalty (53e).
Cette victoire replace le Barça (2e, 59 pts) à une longueur derrière le Real (1er, 60 pts), qui reçoit Villarreal dimanche soir (20h00 GMT). L'Atletico Madrid (3e, 53 pts) se déplace dimanche à Séville (5e, 45 pts) pour l'affiche du week-end.
A Grenade, où le Barça s'était incliné au printemps dernier (1-0), les Catalans avaient toutes les raisons de se méfier du club andalou, très difficile à manoeuvrer à domicile.
La puissance physique de Grenade a d'ailleurs beaucoup gêné le jeu blaugrana, qui n'a pas eu la même fluidité que mardi en Ligue des champions contre Manchester City (2-1). Reconduits en attaque, Messi et Neymar ont peut-être manqué de fraîcheur sur un terrain de piètre qualité.
Messi a péché dans la finition (36, 45+1, 87) mais a poussé au fond l'offrande de Suarez (70e), soit son 27e but en Liga cette saison, à deux longueurs de Cristiano Ronaldo (29 buts) au classement des buteurs. Neymar, lui, s'est surtout signalé par un carton jaune qui lui vaudra d'être suspendu pour la réception du Rayo Vallecano le week-end prochain.
En défense, en l'absence de Gerard Piqué suspendu, la charnière centrale était entièrement renouvelée avec le repositionnement de Javier Mascherano au milieu et la titularisation de Marc Bartra et Jérémy Mathieu. Le défenseur français a d'ailleurs livré un duel spectaculaire avec l'attaquant colombien Jhon Cordoba, signe que c'était un match pour costauds.
Dans ce registre-là, un joueur technique et résistant comme Ivan Rakitic a excellé dans la récupération du ballon, l'orientation du jeu, les frappes lointaines et les passes dans le dos de la défense.
C'est d'ailleurs le milieu croate qui a débloqué la situation pour le Barça: il a bien suivi l'action sur un débordement de Luis Suarez et il s'est retrouvé à l'affût aux six mètres pour pousser au fond le ballon cafouillé par un défenseur (25). Soit son tout premier but en 2015, qui confirme son retour en forme après plusieurs séjours sur le banc cet automne.
Rakitic s'est ensuite mué en passeur à deux reprises: d'abord sur un une-deux d'école avec Suarez, lequel a devancé la sortie du gardien pour inscrire son troisième but en quatre jours après un doublé contre City (48). Et ensuite sur une louche pour l'inévitable Suarez qui aurait pu conclure lui-même mais a préféré servir Messi (70)
Malgré ces trois buts, le match n'a pas forcément été de tout repos pour Barcelone, sauvé par son gardien Claudio Bravo (42, 48) avant que Bartra ne concède un penalty évitable sur un crochet de Lass Bangoura. Fran Rico a transformé (53), le public andalou s'est réveillé mais le Barça s'est mis à l'abri grâce à son axe Rakitic-Suarez.
Bref, les hommes de Luis Enrique peuvent se tourner sereinement vers leur déplacement à Villarreal mercredi en demi-finale retour de Coupe du Roi (victoire 3-1 à l'aller). Et ils peuvent aussi espérer du "sous-marin jaune" un petit coup de pouce face au Real Madrid dimanche soir au stade Bernabeu.
AFP
Rakitic, buteur (25) et passeur, a été l'un des meilleurs Barcelonais au stade Nuevo Los Carmenes et sa capacité à trouver Suarez dans l'espace a assommé la défense andalouse: l'avant-centre uruguayen a marqué (48e) puis offert un but tout fait à Lionel Messi (70e). Fran Rico avait entretemps réduit le score sur penalty (53e).
Cette victoire replace le Barça (2e, 59 pts) à une longueur derrière le Real (1er, 60 pts), qui reçoit Villarreal dimanche soir (20h00 GMT). L'Atletico Madrid (3e, 53 pts) se déplace dimanche à Séville (5e, 45 pts) pour l'affiche du week-end.
A Grenade, où le Barça s'était incliné au printemps dernier (1-0), les Catalans avaient toutes les raisons de se méfier du club andalou, très difficile à manoeuvrer à domicile.
La puissance physique de Grenade a d'ailleurs beaucoup gêné le jeu blaugrana, qui n'a pas eu la même fluidité que mardi en Ligue des champions contre Manchester City (2-1). Reconduits en attaque, Messi et Neymar ont peut-être manqué de fraîcheur sur un terrain de piètre qualité.
Messi a péché dans la finition (36, 45+1, 87) mais a poussé au fond l'offrande de Suarez (70e), soit son 27e but en Liga cette saison, à deux longueurs de Cristiano Ronaldo (29 buts) au classement des buteurs. Neymar, lui, s'est surtout signalé par un carton jaune qui lui vaudra d'être suspendu pour la réception du Rayo Vallecano le week-end prochain.
En défense, en l'absence de Gerard Piqué suspendu, la charnière centrale était entièrement renouvelée avec le repositionnement de Javier Mascherano au milieu et la titularisation de Marc Bartra et Jérémy Mathieu. Le défenseur français a d'ailleurs livré un duel spectaculaire avec l'attaquant colombien Jhon Cordoba, signe que c'était un match pour costauds.
Dans ce registre-là, un joueur technique et résistant comme Ivan Rakitic a excellé dans la récupération du ballon, l'orientation du jeu, les frappes lointaines et les passes dans le dos de la défense.
C'est d'ailleurs le milieu croate qui a débloqué la situation pour le Barça: il a bien suivi l'action sur un débordement de Luis Suarez et il s'est retrouvé à l'affût aux six mètres pour pousser au fond le ballon cafouillé par un défenseur (25). Soit son tout premier but en 2015, qui confirme son retour en forme après plusieurs séjours sur le banc cet automne.
Rakitic s'est ensuite mué en passeur à deux reprises: d'abord sur un une-deux d'école avec Suarez, lequel a devancé la sortie du gardien pour inscrire son troisième but en quatre jours après un doublé contre City (48). Et ensuite sur une louche pour l'inévitable Suarez qui aurait pu conclure lui-même mais a préféré servir Messi (70)
Malgré ces trois buts, le match n'a pas forcément été de tout repos pour Barcelone, sauvé par son gardien Claudio Bravo (42, 48) avant que Bartra ne concède un penalty évitable sur un crochet de Lass Bangoura. Fran Rico a transformé (53), le public andalou s'est réveillé mais le Barça s'est mis à l'abri grâce à son axe Rakitic-Suarez.
Bref, les hommes de Luis Enrique peuvent se tourner sereinement vers leur déplacement à Villarreal mercredi en demi-finale retour de Coupe du Roi (victoire 3-1 à l'aller). Et ils peuvent aussi espérer du "sous-marin jaune" un petit coup de pouce face au Real Madrid dimanche soir au stade Bernabeu.
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Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
RTBF a écrit:Real et Atletico trébuchent, tout profit pour le Barça
Le Real Madrid, bousculé par Villarreal, a trébuché (1-1) dimanche pour la 25e journée du Championnat d'Espagne, laissant le FC Barcelone revenir à deux points de la tête et ratant l'opportunité de creuser l'écart sur l'Atletico, freiné à Séville (0-0).
A trois semaines du clasico Barça-Real, l'inattendu règne en maître dans cette Liga: au stade Santiago-Bernabeu, le leader merengue est passé au travers, face à une épatante équipe bis du "sous-marin jaune", qui a égalisé par Gerard Moreno (64) après l'ouverture du score de Cristiano Ronaldo sur penalty (52), le 30e but du Portugais cette saison.
Au classement, le Real (1er, 61 pts) n'a plus que deux longueurs d'avance sur le Barça (2e, 59 pts), vainqueur de Grenade samedi (3-1) et qui peut désormais rêver d'une passation de pouvoir le 22 mars.
Quant à l'Atletico (3e, 54 pts), son nul sans but sur la pelouse de Séville (5e, 46 pts) est finalement un moindre mal, puisque le champion d'Espagne en titre maintient le statu quo avec le club andalou, rival pour le podium, comme avec le Real en tête.
Décidément, la "Maison blanche" peut s'en vouloir: les hommes de Carlo Ancelotti n'ont pas confirmé l'embellie affichée ces dernières semaines, à l'image d'un Cristiano Ronaldo très discret en première période et qui s'est révolté sans succès en seconde.
Villarreal avait pourtant remanié en profondeur son onze de départ par rapport à l'équipe qui s'est qualifiée jeudi à Salzbourg (3-1) pour les huitièmes de finale de l'Europa League.
Mais cette équipe B a fait mieux que résister en se créant plusieurs occasions franches. Et Gerard Moreno, à l'heure de jeu, a obtenu une égalisation méritée d'une frappe croisée du gauche à l'entrée de la surface (64).
Auparavant, le Real avait dû s'en remettre au penalty de Ronaldo pour ouvrir la marque (52), le Portugais ayant été ceinturé dans la surface par le défenseur ivoirien Eric Bailly.
Poussif dans le jeu, le Real a obtenu ses occasions les plus franches de la première période sur des corners (30, 34, 43) et sur un centre manqué de Gareth Bale, qui a rebondi sur la transversale (42).
Ronaldo, mis à part son penalty, s'est surtout signalé par son égoïsme et deux coups francs expédiés au-dessus du cadre (45+2 et 61). Certes, le triple Ballon d'Or portugais s'est réveillé après l'égalisation de Villarreal, mais il s'est heurté à l'excellent gardien Sergio Asenjo (69, 71).
Ce n'était vraiment pas la soirée du Real: quand le portier du "sous-marin jaune" a manqué une sortie aérienne, Jesé a expédié à côté sa frappe devant le but vide (84).
Résultat, un nul qui remet en selle le Barça et console l'Atletico, qui a été dominé à Séville mais a fait le dos rond avec un schéma ultradéfensif. Les hommes de Diego Simeone avaient surtout en tête de ne pas perdre après leur inquiétante défaite mercredi à Leverkusen en huitième de finale aller de la Ligue des champions (1-0).
"Nous avançons match après match. Evidemment c'est un bon point parce que nous affrontions un adversaire direct. Maintenant, il faut penser au prochain match", a résumé Simeone.
Le prochain match, ce sera dans une semaine et ce sera face à un autre adversaire direct pour le podium, Valence (4e, 53 pts), qui a battu la Real Sociedad (2-0) à la mi-journée.
Pour ce nouveau choc, Antoine Griezmann sera suspendu pour accumulation de cartons jaunes. L'attaquant français a été averti après une violente semelle et l'Atletico devra composer sans lui.
Mais malgré cette absence de taille, difficile de se risquer à un pronostic dans cette imprévisible Liga.
AFP
Re: Liga BBVA - Analyse des rencontres
Allez l'Atlé, on revient!
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