Les mauvaises nouvelles continuent : Crash d'un A320 dans les Alpes-de-Haute-Provence

La provence.fr a écrit:Un A320, s'est crashé entre Digne-les-Bains et Barcelonnette ce mardi en fin de matinée. Un avion de la compagnie Germanwings. A bord, il y a 152 passagers, deux pilotes et quatre hôtesses de l'air. Tous les secours sont mobilisés, gendarmes, secours en montagne et pompiers. La localisation de l’appareil est en cours.

Alexlerouche a écrit:Heu , loc , la rubrique bistrot est là pour ça .. Chacun est libre d'y poster ce qu'il veut .. Comme chacun est libre de participer ou pas à un sujet posté ...

Merci pour cette info , Vincent ..

RIP à toutes les victimes ..

bidulski a écrit:Chacun est libre de poster ce qu'il veut...
Chacun est libre de lire ce qu'il veut...
Règle d'or de tout forum.

loc a écrit:

bidulski a écrit:Chacun est libre de poster ce qu'il veut...
Chacun est libre de lire ce qu'il veut...
Règle d'or de tout forum.

Moi aussi j'ai le droit de dire que ca me desole de voir a quel point l'actualite est dominee par les faits d'hiver, de plus en plus, ce n'est probablement pas anodin, ca nous occupe ...

Remarquez, le foot ca occupe aussi ;)

Mais bon, j'ai juste reagi une fois sur un des sujets, il fallait que ca sorte ...

Sinon je rappelle par principe que la liberte n'est pas totale, chaque forum a ses regles ;)

RTL a écrit:

Crash d'un A320 de Germanwings : l'attentat, "une cause possible et crédible", dit un expert

INVITÉ RTL - Pour l'ancien commandant de bord, Jean Serrat, l'accident de l'Airbus est des plus suspects.

PAR PAUL GUYONNET PUBLIÉ LE 24/03/2015 À 21:31 MIS À JOUR LE 24/03/2015 À 23:03

Au terme d'une descente rapide mais régulière, un Airbus A320 de la compagnie allemande Germanwings s'est donc écrasé dans les Alpes-de-Haute-Provence. Un accident dramatique qui a causé la mort de 150 personnes, et intrigue spécialistes et enquêteurs. Parmi eux, l'ancien commandant de bord Jean Serrat n'hésite ainsi pas à parler d'un crash "extraordinaire" et terriblement suspect.

Et pour cause : selon lui, de nombreux aspects de la descente de l'appareil ne collent avec un scénario de dépressurisation, d'incendie dans la cabine ou d'accident classique. À partir du moment où l'avion commence à perdre de l'altitude, il ne change par exemple jamais de direction, un comportement contraire aux manœuvres élémentaires, comme l'explique Jean Serrat.

Aucune des hypothèses classiques d'accident ne tient

"Normalement, quand on descend subitement, on s’écarte à 90° vers la gauche ou la droite pour ne pas risquer de percuter un appareil qui se trouverait sur la même route aérienne." Deuxième problème majeur, un long silence radio de l'avion pendant les douze ou treize minutes qu'aura duré la chute. L'équipage dispose effectivement d'une radio, et encore plus simple, "d'un petit transpondeur qui permet, en tapant un simple code, "7700", d'envoyer un flash à tous les contrôleurs aériens pour les alerter."

En clair, aucune hypothèse traditionnelle ne correspond à la chute de l'appareil. "Même avec un feu à bord et un équipage inconscient, l'appareil en pilote automatique aurait conservé son altitude", insiste Jean Serrat. "Là il descend mais reste dans sa route, et surtout garde le silence. C’est extraordinaire !"

Jean Serrat, ancien commandant de bord a écrit:On est obligés de se dire qu’il y a quelque chose de bizarre

Autant d'éléments surtout, qui peuvent accréditer la thèse de l'attentat. “Malheureusement, on ne peut pas s’enlever l’idée que c’est une cause possible et crédible”, continue l'ancien commandant de bord, qui fait même d'une attaque sa piste privilégiée. "On est obligés de se dire qu’il y a quelque chose de bizarre", ajoute-t-il. "Je n’ai jamais vu un avion descendre, sans s’écarter de sa route et sans prévenir personne."

Il faudra maintenant attendre "au moins deux à trois jours" et l'écoute, devant un juge et des huissiers, des boîtes noires pour savoir ce qui a pu causer l'accident. Car si les membres d'équipages ont été forcés, pendant un attentat, de poursuivre leur route sans communiquer, les enregistreurs le diront aux autorités. Effectivement, l'une des boîtes est chargée d'enregistrer ce qui se dit dans le cockpit, "les conversations, bruits et alarmes", quand l'autre capture un ensemble de paramètres techniques de l'appareil. L'une des deux a déjà été retrouvée.

don_vitto a écrit:On est ici bien au - delà du fait divers qui relate la bobonne qui s’est fait mordre par le chat de la voisine. J'ai lu des choses sur ce forum bien moins intéressantes et bien plus casse pieds (sans viser personne) que cette info sur ce dramatique accident. 150 morts quand même.
Sur les faits eux - mêmes,  gageons que l'analyse de la première boîte noire retrouvée nous éclaircira sur toute une série d'interrogations qui, pour l’heure, reste sans réponse comme par exemple: pourquoi aucun signal de détresse n’a été envoyé par l'avion alors qu’il à perdu de l'altitude pendant 8 minutes avant de se crasher.
Je suis également impressionné par les moyens déployés par la France à tous les niveaux. Un vrai exemple à suivre.

Comme si les deux pilotes avaient ete simultanement sauter des hostesses sans prevenir personne ...

bidulski a écrit:

loc a écrit:

bidulski a écrit:Chacun est libre de poster ce qu'il veut...
Chacun est libre de lire ce qu'il veut...
Règle d'or de tout forum.

Moi aussi j'ai le droit de dire que ca me desole de voir a quel point l'actualite est dominee par les faits d'hiver, de plus en plus, ce n'est probablement pas anodin, ca nous occupe ...

Remarquez, le foot ca occupe aussi ;)

Mais bon, j'ai juste reagi une fois sur un des sujets, il fallait que ca sorte ...

Sinon je rappelle par principe que la liberte n'est pas totale, chaque forum a ses regles ;)

En plus, un fait d'hiver au printemps, c'est pas sérieux!
Sans rancune Loc...

Tubizeinforce a écrit:8 longues minutes de chute... ça doit être très long à attendre la mort...    

don_vitto a écrit:Hé loc, t'as mangé un truc périmé?

DH.be a écrit:Le procureur de la République de Marseille a livré de nombreuses informations inédites, ce jeudi midi, lors de sa conférence de presse. Un détail a son importance, et il risque de trotter dans les têtes des familles de victime pendant de nombreuses années.
Plusieurs éléments ont été officialisés par le procureur, après que les enquêteurs aient écoutés, durant la nuit de mercredi à jeudi, les enregistrements de la boite noire. Ces enregistrements révèlent donc que "les deux pilotes discutaient de manière normale et plaisantaient", avant que le commandant de bord n'indique à son copilote qu'il va lui laisser les commandes, "sans doute pour aller satisfaire un besoin naturel". C'est là que l'élément le plus perturbant de la conférence de presse fait son apparition: "une réponse laconique" du copilote à son commandant de bord quand celui-ci lui indique qu'il préparera ensuite le briefing d'atterrissage.
La suite des enregistrements ne dévoile plus le moindre son sortant de la bouche du copilote, Andreas Lubitz (28 ans). La descente est actionnée volontairement par ses soins et il n'ouvre pas la porte du cockpit au pilote, Patrick Sonderheimer, quand celui-ci lui demande de le laisser entrer à nouveau. Pis, le copilote n'actionnera même pas le code de détresse lorsque la tour de contrôle le lui demande après avoir relevé que l'Airbus rencontrait un problème.
Durant sa conférence de presse, le procureur semble plus sensible au moment d'évoquer cette absence de réaction du copilote. Il faut dire que la description de ce que révèle la boite noire a de quoi glacer le sang. S'agit-il d'un suicide, d'un attentat ou d'un simple malaise ? "Aucun élément ne milite en faveur d'un attentat terroriste" précise le procureur, après avoir répondu à une question d'une journaliste qui demandait si l'on connait la religion d'Andreas Lubitz, le copilote d'origine allemande. Quant au malaise, il semble lui aussi être écarté puisque l'on entend "une respiration normale" jusqu'au moment de l'impact.
Et le procureur de conclure: "Je ne parle pas de suicide car généralement quand on se suicide, on le fait seul. Quand on a la responsabilité de 150 personnes, on ne peut plus appeler ça un suicide".

bidulski a écrit:

DH.be a écrit:Le procureur de la République de Marseille a livré de nombreuses informations inédites, ce jeudi midi, lors de sa conférence de presse. Un détail a son importance, et il risque de trotter dans les têtes des familles de victime pendant de nombreuses années.
Plusieurs éléments ont été officialisés par le procureur, après que les enquêteurs aient écoutés, durant la nuit de mercredi à jeudi, les enregistrements de la boite noire. Ces enregistrements révèlent donc que "les deux pilotes discutaient de manière normale et plaisantaient", avant que le commandant de bord n'indique à son copilote qu'il va lui laisser les commandes, "sans doute pour aller satisfaire un besoin naturel". C'est là que l'élément le plus perturbant de la conférence de presse fait son apparition: "une réponse laconique" du copilote à son commandant de bord quand celui-ci lui indique qu'il préparera ensuite le briefing d'atterrissage.
La suite des enregistrements ne dévoile plus le moindre son sortant de la bouche du copilote, Andreas Lubitz (28 ans). La descente est actionnée volontairement par ses soins et il n'ouvre pas la porte du cockpit au pilote, Patrick Sonderheimer, quand celui-ci lui demande de le laisser entrer à nouveau. Pis, le copilote n'actionnera même pas le code de détresse lorsque la tour de contrôle le lui demande après avoir relevé que l'Airbus rencontrait un problème.
Durant sa conférence de presse, le procureur semble plus sensible au moment d'évoquer cette absence de réaction du copilote. Il faut dire que la description de ce que révèle la boite noire a de quoi glacer le sang. S'agit-il d'un suicide, d'un attentat ou d'un simple malaise ? "Aucun élément ne milite en faveur d'un attentat terroriste" précise le procureur, après avoir répondu à une question d'une journaliste qui demandait si l'on connait la religion d'Andreas Lubitz, le copilote d'origine allemande. Quant au malaise, il semble lui aussi être écarté puisque l'on entend "une respiration normale" jusqu'au moment de l'impact.
Et le procureur de conclure: "Je ne parle pas de suicide car généralement quand on se suicide, on le fait seul. Quand on a la responsabilité de 150 personnes, on ne peut plus appeler ça un suicide".

Se suicider avec plus de 140 personnes dans son dos, c'est pas un suicide, c'est 140 meurtres!!