Anderlecht • Information

Au vu du nombre de sélections, espérons que personne ne reviendra blessé

Trezeguet n'a pas l'air de rentrer dans les plans du tacticien Hasi, je l'avais oublié lui ..

Young Red a écrit:Trezeguet n'a pas l'air de rentrer dans les plans du tacticien Hasi, je l'avais oublié lui ..

Je crois qu'il aura besoin d'une assez longue période d'acclimatation ... Et puis qui peut-il remplacer? Déjà dimanche il s'est fait hier par le public parce qu'il a laisse Tielemans sur le banc ... Et puis n'oublions pas qu'Okaka lui-même à du attendre que Sylla soit indisponible pour être titulaire.

loc a écrit:Je crois qu'il aura besoin d'une assez longue période d'acclimatation

Et on fait quoi? On lève l'option d'achat ou pas?

don_vitto a écrit:

loc a écrit:Je crois qu'il aura besoin d'une assez longue période d'acclimatation

Et on fait quoi? On lève l'option d'achat ou pas?

Ah, tiens, j'avais pas pense a ca ... j'avais oublie qu'il etait juste prete ...
C'est jusque quand le pret?
Sinon ca peut tourner comme Seck, qui n'a pas vraiment eu sa chance, enfin si, mais on avait vite compris.

Suffisait que je le dise...

Hassan Trezeguet a subi une luxation de l'épaule à l'entraînement hier et est sorti de l'équipe.

On prévoit entre 6 et 8 semaines d'absence

AirMan le poissard, il ne sait transférer que des joueurs blessés OU qui vont se blesser...

bidulski a écrit:
AirMan le poissard, il ne sait transférer que des joueurs blessés OU qui vont se blesser...

Au moins on s'est debarrassee du docteur qui blesse nos joueurs, on l'a envoye a Bruges n'est-ce pas ?

Remrquez, on se dernouille sans avec lui aussi :)
En fevrier dernier, encore, meme hasi a fait des reflexions par rapport au corps medical du club ...

La trêve internationale aura sans doute fait du bien à certains joueurs qui avaient besoin de se sortir de la spirale négative qui a entouré Anderlecht lors des derniers matches, notamment Qarabag et Malines.


"Nous n’étions pas beaucoup la semaine passée, vu les convocations internationales. C’est l’occasion de travailler un peu plus spécifiquement, de recharger les batteries et de se changer les idées. On a connu deux matches assez difficiles et la pause a fait du bien. Nous n’avons pas bossés les penalties car c’est impossible de se mettre en situation de match face à son propre gardien" déclare le milieu mauve.

"Si nous n’avions rien montré face aux Malinwas, j’aurais compris leur réaction. Ok, les penalties manqués sont difficilement explicables mais, pour le reste, il n’y a pas grand-chose à nous reprocher. Je ne pense pas que nous ayons fait un match ridicule face à Malines, surtout après un déplacement européen qui nous a bien fatigués. On sait qu’Anderlecht est un club spécial, surtout lors des mauvaises passes. Je ne comprends pas trop cela. N’oublions pas ce que Proto, Deschacht et moi avons fait pour le club. Et n’oublions pas que nous sommes humains et que nous commettons des erreurs. Silvio n’était d’ailleurs pas énervé dans le vestiaire. Quand le match est fini, c’est le calme plat de son côté. On jettera peut-être moins vite la pierre aux jeunes qui ont moins d’expérience" ajoute-t-il.

"Le déplacement européen fut plus compliqué à encaisser car il met en péril une qualification pour le tour suivant. Sur les 3 derniers matches, nous avons eu 31 occasions de but et nous n’avons marqué qu’à deux reprises. On voit où le bât blesse. Maintenant, il faut se concentrer sur les prochaines échéances. De beaux duels européens sont à venir et il faudrait aussi, si possible, terminer l’année civile en tête avec du beau football. C’est toujours mieux de pouvoir évoluer plusieurs matches au même poste. Cela me permettra d’apporter davantage. J’essaie encore de trouver des automatismes. Nous pouvons encore faire mieux avec Andy Najar, mais on voit que les qualités sont là. On fait le switch naturellement. Je lui demande de revenir vite au back, il ne faut pas changer. Il ne sera pas plus compliqué de partir. J’ai la parole de Herman Van Holsbeeck et de Besnik Hasi. On prendra la meilleure décision pour les deux parties" poursuit-t-il.

"Je suis prêt à les tirer les penalties. J’étais d’ailleurs dans la liste face à Malines, mais je n’ai pas frappé. Dennis Praet se sentait bien sur le premier. Sur le second, Stefano Okaka a pris le ballon et je ne suis pas du style à aller au conflit. Je n’ai pas eu peur de lui mais vu sa forme actuelle, je me suis dit que ça lui ferait encore plus de bien s’il l’avait marqué. Il connaît désormais le syndrome des penalties à Anderlecht. Il y a énormément d’appelés chez les Diables Rouges à juste titre et la concurrence est rude. Ma place actuelle dans le jeu d’Anderlecht n’est pas une position à laquelle je peux apporter quelque chose aux Diables. Je dois rester réaliste. L’Euro est un rêve, comme l’était la Coupe du Monde. Je n’ai toujours pas été repris lors de cette campagne alors il faut espérer que ce soit l’inverse du Brésil pour lequel j’ai beaucoup joué en qualif pour finalement rater le train" conclut le joueur.

Rtbf sports a écrit:

La C1 a rapporté 15,6 millions à Anderlecht la saison dernière

Éliminé en phase de poule de l'édition 2014-2015 de la Ligue des Champions, Anderlecht a touché 15,629 millions d'euros de la part de l'UEFA pour son parcours, peut-on lire sur les documents mis en ligne par l'Union européenne de football, vendredi.

Les Anderlechtois ont obtenu 8,6 millions d'euros pour leur participation, 2,5 millions d'euros de bonus de performance et 4,529 millions d'euros pour leurs résultats (deux matches nuls et une victoire dans le groupe D, reversé ensuite en Europa League où Anderlecht a été éliminé en 16es de finale par le Dinamo Moscou).

L'UEFA a distribué au total 1.029.900 millions d'euros aux 32 clubs de la dernière Ligue des Champions.

Le FC Barcelone, vainqueur de la compétition, a reçu 61,02 millions d'euros0. Le club le mieux rémunéré par l'organisateur de la Ligue des Champions est la Juventus, avec 89,100 millions d'euros de revenus. Le Real Madrid, demi-finaliste de l'épreuve, a reçu 52,545 millions. Le Bayern Munich, l'autre club présent dans le dernier carré, n'a touché "que" 49,865 millions d'euros.

Belga

Pas mal!

Pour info, les chiffres complets

Mais d'ou sort tout cet argent??

Young Red a écrit:Mais d'ou sort tout cet argent??

De la publicité, des sponsors etc... Ce que coute 30 secondes de publicité pendant la CL est énorme et ce ne sont pas des petites sociétés, sans oublié les droits télés ( je connais certain club à qui ça ferait du bien mais bon pour ça il faut être champion, pas lanterne rouche )

C'est pour rire, pas frappé

Temps de jeu des anderlechtois. Seuls Proto et Deschacht ont tout joué en championnat. Pas mal Olivier pour un pépère.

C'est ça qu'il y a de bien chez les mauves, c'est que c'est presque les 11 mêmes à chaque fois, donc super pour les automatismes ..

Article de l'Echo
La "vieille garde" reste à la tête du RSC Anderlecht. Lors de la réunion annuelle des actionnaires qui s’est tenue jeudi soir au stade Constant Vanden Stock, le mandat du président et actionnaire principal Roger Vanden Stock (73 ans) a été prolongé de six ans.
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Idem pour les autres administrateurs. La seconde fille du président, Claire, siège désormais au conseil, aux côtés de sa sœur Julie. "Une vente d’actions ou une augmentation de capital n’est pas à l’ordre du jour", entend-on au sein du club bruxellois. Depuis que des rumeurs ont commencé à circuler en début d’année à ce sujet, le président martèle qu’il n’y a rien de spécial. "Je ne m’attends pas à ce que des actions soient vendues et que l’année 2015 soit une année charnière."

Les Mauve et Blanc sont une légende dans le football belge. Leur palmarès est le plus fourni et l’avenir sportif est prometteur. Lorsque le club a gagné le championnat en mai 2014, six joueurs formés au club étaient sur le terrain.

Côté financier par contre, le club fait de la corde raide. Entre 2007 et 2012, il a enregistré une perte cumulée de 11 millions d’euros, ce qui a entamé ses réserves. Les fonds propres sont désormais inférieurs à 20% du total bilantaire. En d’autres termes, le club bruxellois semble mûr pour un changement d’actionnariat. Un apport important de capitaux par des tiers est, d’après des insiders, nécessaire. Sinon, il pourrait s’éloigner davantage du top européen.

Le 11 février 2010 fut un moment clé. Ce jour-là, le club est devenu une société anonyme. Onze investisseurs amis sont entrés dans le capital. À deux conditions: personne n’était autorisé à vendre des actions jusqu’en février 2015, et en cas de vente après cette date, les actionnaires existants disposaient d’un droit de préemption.

Le RSC Anderlecht est un des derniers clubs de foot familiaux de division 1.

La question de la succession du président, Roger Vanden Stock (73 ans) revient sans cesse sur le tapis.

Actionnaire majoritaire, la famille Vanden Stock est entourée d’investisseurs issus du monde des affaires. Aucun ne semble prêt à quitter le navire.

En coulisses, d’aucuns soulignent l’influence grandissante d’Alexandre Van Damme (AB InBev), petit actionnaire mais grosse fortune.

Roger Vanden Stock, président depuis 1996, a compris la nécessité pour Anderlecht de disposer d’une structure d’entreprise moderne qui donne la parole aux actionnaires. Il a mis 4 millions d’euros sur la table pour 42% des actions – aujourd’hui répartis entre lui-même et ses deux filles – et son cousin Philippe Collin (69 ans) a injecté 2 millions pour obtenir 20% du capital, permettant à la famille de garder le contrôle.

Le solde de 4 millions et venu de businessmen proches du président. Ils constituent aujourd’hui le front des actionnaires qui doit protéger le club d’une intrusion indésirable par des tiers. Même aujourd’hui, alors que l’interdiction de vendre des actions est échue, aucun n’a encore songé à monnayer ses parts. "Je ne suis pas entré dans le capital pour en sortir après cinq ans, je ne suis pas un spéculateur", assure Michaël Verschueren, fils de l’ancien manager du club. Ce quadra, actif dans la communication et de l’immobilier, possède 10% des parts et est membre du comité de direction.

Etienne Davignon, qui détient avec son fils Vincent et son neveu Olivier 7,5%, du capital, ne voit pas de raison de vendre non plus. Selon le vicomte, le club n’a pas besoin de capitaux frais pour survivre. "Les fonds propres seront renforcés par les bénéfices générés par les activités sportives." Emmanuel van Innis (Engie), Pascal Minne (Petercam), Luc Van Caenegem (actif dans l’immobilier) et Paul Goossens (grossiste en fruits et légumes) ont le même avis. Chacun détient au moins 2,5%. "La valeur du club ne peut que grimper", ajoute Paul Goossens.


Mais Anderlecht n’est pas aussi stable qu’il y parait. En 2012, la famille de notaires Mourlon-Beernaert, qui avait acheté 150 actions (7,5%), a dû les revendre pour des raisons financières. Roger Vanden Stock a trouvé de l’aide auprès de Johan Beerlandt, patron du groupe de construction Besix, et supporter d’Anderlecht. Il a mis un demi-million d’euros sur la table pour obtenir 100 actions, et le président a racheté le solde.

L’attachement au club a certainement joué un rôle lors de cette opération, mais il y avait d’autres raisons. "Johan Beerlandt est le seul actionnaire avec une participation de 5% qui ne siège pas au conseil d’administration, relève un proche du dossier. C’était difficile, parce que cela aurait entraîné un conflit d’intérêts." En effet, le groupe Besix est impliqué depuis des années dans le projet d’agrandissement du stade Constant Vanden Stock.

Reste à savoir jusqu’où ces actionnaires amis sont prêts à aller si le Sporting doit renforcer ses fonds propres. Et quelle sera leur position si le club reçoit une offre de reprise alléchante.

Une autre incertitude plane: le rôle joué par Alexandre Van Damme. Lorsque la SA a été créée, ce riche actionnaire familial d’AB InBev a investi 250.000 euros, soit 2,5% des parts. Selon des sources bien informées, le magnat de la bière aurait entre-temps fait glisser la moitié de ses actions vers Jo Van Biesbroeck, ancien cadre d’AB InBev, nommé en septembre directeur commercial du club. L’autre moitié serait aux mains du directeur sportif Herman Van Holsbeeck. Objectif: s’assurer leur engagement à long terme.

Alexandre Van Damme, qui refuse tout mandat public et ne participe aux réunions du conseil qu’à titre d’observateur, aurait conclu avec Roger Vanden Stock un accord de portage, en d’autres mots, une option lui permettant à terme de récupérer ses actions. Cette information n’a pu être confirmée ou infirmée.

L’influence d’Alexandre Van Damme, le mystérieux supporter, n’est pas à sous-estimer. L’homme suit depuis des années les réunions du comité de direction. Il serait à la base d’un audit accablant, réalisé en 2013, qui a pointé des dépenses bien trop élevées. Entre 2007 et 2013, les coûts salariaux ont grimpé de 121% à 42 millions. Beaucoup trop alors que le budget annuel oscille entre 40 et 50 millions. Des millions ont aussi été dépensés dans des primes aux joueurs, des transferts, des commissions d’agents, etc. Le RSCA a pu faire face à ces dépenses élevées grâce à des revenus records: 71 millions ont été encaissés à l’issue de la saison 2013-2014, grâce surtout à la à la lucrative Champions League.

Mais pour contrer le risque de moins bons résultats sportifs, le club a souvent acheté des joueurs chers, ce qui a fait grimper les coûts. Sous l’impulsion d’Alexandre Van Damme, cette spirale négative a été stoppée. Dans les comptes 2013-2014, la masse salariale a baissé de plus de 8 millions d’euros. Et en investissant dans le centre d’entraînement de Neerpede, le focus s’est déplacé vers la formation des jeunes. La politique commence aujourd’hui à porter ses fruits.

Les initiés restent convaincus qu’un renforcement structurel du club bruxellois n’est possible qu’en injectant de l’argent frais. Le capital "joueurs" d’Anderlecht n’est pas une option pour l’avenir, mais bien le capital des actionnaires. La construction et la location d’un nouveau stade au Heysel, prévue pour 2019, n’y changera rien.

Mais cela fait une différence pour le président. C’est un secret de Polichinelle que Roger Vanden Stock veut être au premier rang lors de l’inauguration du nouveau stade. Ce serait une belle fin de carrière. Et le moment idéal pour le passage de relais: une vente des actions à Alexandre Van Damme. Même si personne ne confirme ce scénario. "Il est difficile de savoir comment Roger se sentira dans cinq ans, confie Paul Goossens. Mais je peux vous dire une chose avec certitude: il skie et joue encore au golf comme un dieu."

Dès le début de la deuxième mi-temps, on a vu un tout autre Anderlecht, qui a pris les Zèbres à la gorge.

Durée : 9 minutes exactement, montre en main.

don_vitto a écrit:

Dès le début de la deuxième mi-temps, on a vu un tout autre Anderlecht, qui a pris les Zèbres à la gorge.

Durée : 9 minutes exactement, montre en main.

Mais suffisant pour l'emporter ...

Thielemans est surcoté.

bidulski a écrit:Thielemans est surcoté.

par rapport a son rendement hebdomadaire, certainement, mais il est vraiment suivide pres par beaucoup de gros clubs, qui sont vraiment prets a mettre plus de 20 mio sur lui ...