URBSFA - Crise en vue?
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URBSFA - Crise en vue?
DH - Nouvelle réunion de crise à l’UB
Le président De Keersmaecker convoque le comité exécutif pour sauver la tête de Martens et Madou… et à terme la sienne.
L’opération de charme des Diables Rouges envers le public belge a été un grand succès. Le match de gala contre l’Australie a tenu ses promesses et le Family Day a attiré 30.000 supporters à Ostende. Les Diables Rouges n’ont jamais été aussi populaires qu’actuellement.
Pourtant, cela va mal au sein de la Fédération. Les bourdes se multiplient, comme les accusations internes, les fuites vers la presse et les licenciements. Le CEO Steven Martens - considéré comme surpayé - en prend plein la figure, comme son bras droit, Bob Madou.
Une semaine après l’assemblée extraordinaire, une nouvelle réunion de crise est organisée à l’Union belge. Cette fois-ci, c’est le président De Keersmaecker qui prend l’initiative. Cet après-midi (14 h), il convoque les membres du comité exécutif pour mettre les points sur les i.
Le but principal : mettre un terme à la chasse à l’homme dont Martens et (surtout) Madou sont les victimes. Il espère sauver leur tête, mais il semble que Madou aura du mal à rester à bord du navire. Les bonus empochés par les deux hommes en question font râler les autres membres de la Fédération.
En réunissant les membres du comité exécutif, De Keersmaecker souhaite aussi rétablir son autorité. Il en a marre de voir que malgré le succès de l’équipe nationale, sa Fédération soit traînée dans la boue par les médias, surtout à cause de fuites orchestrées.
En juin 2015, De Keersmaecker espère être réélu au poste de président. Il est boss de la Fédération depuis 2006, au moment où l’équipe nationale touchait le fond. À quatre reprises - en 2006, 2009, 2011 et 2013 -, il était le seul candidat à la présidence. Il veut garder les choses en main.
Vendredi , une autre réunion est programmée. Ce sera au tour de Steven Martens de se justifier envers le conseil d’administration par rapport aux dépenses réalisées pendant le Mondial. Pour rappel : la plus grosse gaffe a été la non-annulation de l’hôtel des femmes de joueurs. Même si la facture de 300.000 euros est contestée, le team manager Nicolas Cornu a été viré. Cornu, lui, envisage d’attaquer son ancien employeur en justice.
Le président De Keersmaecker convoque le comité exécutif pour sauver la tête de Martens et Madou… et à terme la sienne.
L’opération de charme des Diables Rouges envers le public belge a été un grand succès. Le match de gala contre l’Australie a tenu ses promesses et le Family Day a attiré 30.000 supporters à Ostende. Les Diables Rouges n’ont jamais été aussi populaires qu’actuellement.
Pourtant, cela va mal au sein de la Fédération. Les bourdes se multiplient, comme les accusations internes, les fuites vers la presse et les licenciements. Le CEO Steven Martens - considéré comme surpayé - en prend plein la figure, comme son bras droit, Bob Madou.
Une semaine après l’assemblée extraordinaire, une nouvelle réunion de crise est organisée à l’Union belge. Cette fois-ci, c’est le président De Keersmaecker qui prend l’initiative. Cet après-midi (14 h), il convoque les membres du comité exécutif pour mettre les points sur les i.
Le but principal : mettre un terme à la chasse à l’homme dont Martens et (surtout) Madou sont les victimes. Il espère sauver leur tête, mais il semble que Madou aura du mal à rester à bord du navire. Les bonus empochés par les deux hommes en question font râler les autres membres de la Fédération.
En réunissant les membres du comité exécutif, De Keersmaecker souhaite aussi rétablir son autorité. Il en a marre de voir que malgré le succès de l’équipe nationale, sa Fédération soit traînée dans la boue par les médias, surtout à cause de fuites orchestrées.
En juin 2015, De Keersmaecker espère être réélu au poste de président. Il est boss de la Fédération depuis 2006, au moment où l’équipe nationale touchait le fond. À quatre reprises - en 2006, 2009, 2011 et 2013 -, il était le seul candidat à la présidence. Il veut garder les choses en main.
Vendredi , une autre réunion est programmée. Ce sera au tour de Steven Martens de se justifier envers le conseil d’administration par rapport aux dépenses réalisées pendant le Mondial. Pour rappel : la plus grosse gaffe a été la non-annulation de l’hôtel des femmes de joueurs. Même si la facture de 300.000 euros est contestée, le team manager Nicolas Cornu a été viré. Cornu, lui, envisage d’attaquer son ancien employeur en justice.
Re: URBSFA - Crise en vue?
c assez dommage, tout se passe coome si cet afflux de notoriete attirait les requins alleches par la perspective d'affaires juteuses ... ou attirait les jalousies ...
loc- • Staff •
- Messages : 13664
Date d'inscription : 05/06/2014
Re: URBSFA - Crise en vue?
DH - Union belge: pas de réaction après la réunion de crise
Une réunion entre le président de l'Union belge de football (URBSFA) François De Keersmaeker et le comité exécutif a eu lieu mardi après-midi au siège de la fédération à Bruxelles. Aucun participant à la réunion n'a tenu à faire de commentaire à l'issue de cette réunion, si ce n'est le président du FC Malines Johan Timmermans, qui l'a qualifiée de "constructive".
"Etant donné qu'il s'agit d'une réunion interne, rien n'est communiqué", avance Pierre Cornez, le porte-parole ad interim de l'Union belge.
Selon plusieurs médias, François De Keersmaecker a convoqué les membres de son Comité exécutif afin de mettre certaines choses au point. Entre les accusations internes, les fuites dans la presse, le licenciement de Nicolas Cornu, le team manager des Diables Rouges, les rumeurs de dédommagements à hauteur de 250.000 euros de Roland Louf, l'ancien directeur marketing de l'Union belge, la mise sur la sellette de Steven Martens et de son bras droit, Bob Madou, François De Keersmaecker voulait clarifier la situation en interne.
Vendredi est prévue une réunion du Conseil d'administration, au cours de laquelle les membres se pencheront sur le dossier de Steven Martens, le directeur général de l'Union belge, et de Bob Madou, le directeur marketing.
"Il y aura peut-être une communication après la réunion de vendredi, nous verrons bien", a conclu Pierre Cornez.
Une réunion entre le président de l'Union belge de football (URBSFA) François De Keersmaeker et le comité exécutif a eu lieu mardi après-midi au siège de la fédération à Bruxelles. Aucun participant à la réunion n'a tenu à faire de commentaire à l'issue de cette réunion, si ce n'est le président du FC Malines Johan Timmermans, qui l'a qualifiée de "constructive".
"Etant donné qu'il s'agit d'une réunion interne, rien n'est communiqué", avance Pierre Cornez, le porte-parole ad interim de l'Union belge.
Selon plusieurs médias, François De Keersmaecker a convoqué les membres de son Comité exécutif afin de mettre certaines choses au point. Entre les accusations internes, les fuites dans la presse, le licenciement de Nicolas Cornu, le team manager des Diables Rouges, les rumeurs de dédommagements à hauteur de 250.000 euros de Roland Louf, l'ancien directeur marketing de l'Union belge, la mise sur la sellette de Steven Martens et de son bras droit, Bob Madou, François De Keersmaecker voulait clarifier la situation en interne.
Vendredi est prévue une réunion du Conseil d'administration, au cours de laquelle les membres se pencheront sur le dossier de Steven Martens, le directeur général de l'Union belge, et de Bob Madou, le directeur marketing.
"Il y aura peut-être une communication après la réunion de vendredi, nous verrons bien", a conclu Pierre Cornez.
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