Tubize veut et doit être dans le Top 4

par **Tubizeinforce** Jeu 23 Fév - 16:52

Les Tubiziens n’ont toutefois plus leur sort entre leurs mains.

La déception de dimanche était à la hauteur des espoirs des Tubiziens. Depuis le début de la saison, le club a annoncé la couleur en faisant de cette place dans le Top 4, une réelle ambition. Malgré un championnat mouvementé influencé par différents paramètres, les Sang et Or sont toujours restés dans la course, jusqu’à s’installer confortablement à cette quatrième place lors des dernières semaines.

Mais ce dimanche, Tubize s’est incliné dans le match qu’il ne fallait pas perdre et voit l’Union s’emparer de sa 4e place alors que l’AFC veut et doit jouer les playoffs 2.

Affronter les formations de D1A dans ces playoffs 2, c’est tout d’abord assurer son maintien et donc sa présence la saison prochaine en D1B. Mais c’est aussi offrir une visibilité au club et donc certainement plus de revenus aussi. C’est aussi un bon avant-goût de ce que pourrait être l’avenir du club puisqu’on le sait, les propriétaires coréens de l’AFC Tubize ont fait de la montée parmi l’élite, une ambition à court terme.

Il reste donc un match, 90 minutes, aux Tubiziens pour tenter de récupérer leur 4e place et atteindre les ambitions fixées. Pour cela, il faudra espérer un faux pas de l’Union à OHL. En cas de défaite des Saint-Gillois, Tubize n’aura besoin que d’un point face au Cercle. Si l’Union partage, Tubize devra l’emporter. "Rien n’est fini, il reste encore ce dernier match. Malheureusement, on n’a plus notre destin entre nos mains. Nous sommes tributaires du résultat de l’Union mais tant que cette dernière journée n’est pas jouée, tout reste possible", affirme Shean Garlito.

Un discours partagé par son capitaine, Mamadou Diallo. "On s’est mis dans une situation compliquée. On était devant l’Union, on avait toutes les cartes en main et 90 minutes plus tard, c’est la situation inverse. On est pratiquement dans l’obligation de l’emporter dimanche face au Cercle, tout en attendant le résultat de l’Union à OHL. Ce n’est jamais une situation évidente à gérer. Mais on n’a pas le choix, c’est notre boulot, on doit se remettre au travail."