URBSFA - Fin de crise en vue?
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URBSFA - Fin de crise en vue?
DH - Rififi à l'UB: Steven Martens en examen à 14h
Dès 14h ce vendredi, Steven Martens devra répondre aux critiques sur le très cher fonctionnement de l’Union belge depuis son intronisation comme CEO en mai 2011 face au conseil d’administration
Les contrats de travail de Marc Wilmots, de Bob Madou et de Steven Martens seront analysés à la loupe, tout comme la facture d’hôtel oubliée au Brésil, le contrat liant l’UB à la société de production de Vincent Kompany, la campagne de publicité pour les défis des Diables et la numérisation des feuilles de match.
Une réunion générale suivra à 16h avant une conférence de presse en soirée. Même si Martens devrait demander un vote de confiance, les chances de voir sa tête tomber sont peu élevées.
Dès 14h ce vendredi, Steven Martens devra répondre aux critiques sur le très cher fonctionnement de l’Union belge depuis son intronisation comme CEO en mai 2011 face au conseil d’administration
Les contrats de travail de Marc Wilmots, de Bob Madou et de Steven Martens seront analysés à la loupe, tout comme la facture d’hôtel oubliée au Brésil, le contrat liant l’UB à la société de production de Vincent Kompany, la campagne de publicité pour les défis des Diables et la numérisation des feuilles de match.
Une réunion générale suivra à 16h avant une conférence de presse en soirée. Même si Martens devrait demander un vote de confiance, les chances de voir sa tête tomber sont peu élevées.
Re: URBSFA - Fin de crise en vue?
DH - Union belge: Martens et Madou sauvent leur tête
François De Keersmaecker, président de l'Union belge de football, a promis un contrôle plus strict de son Conseil d'Administration sur la direction de l'Union belge, a-t-il expliqué à l'issue de la réunion de son Conseil d'Administration vendredi à Bruxelles. François De Keersmaecker a aussi reconnu que des fautes ont été commises, mais "nous avons renouvelé notre confiance dans les membres de la direction. Ce qui m'ennuie le plus, ce sont les fuites dans la presse", a-t-il ajouté.
Steven Martens, CEO de l'Union belge et son bras droit, Bob Madou, ont reçu donc la confiance du Conseil d'Administration de l'Union belge, mais ils seront plus sévèrement contrôlés. "Nous allons tenir des sessions stratégiques début octobre pour déterminer comment nous pouvons mieux avoir un contrôle sur la direction", a expliqué François De Keersmaecker.
"Des fautes ont été commises, mais ce qui me chagrine le plus, ce sont les fuites dans la presse", a ajouté François De Keersmaecker qui a souligné le fait que les 300.000 euros d'une facture à payer par l'Union belge ne concernait pas l'hôtel des femmes des joueurs au Brésil. "Ce n'est pas de cela qu'il s'agit comme ce fut écrit dans la presse. Je ne peux pas dire de quoi il retourne, cela reste interne. En outre, il se pourrait qu'une action en justice soit initiée par Nicolas Cornu (ndlr, le team manager et bras droit de Marc Wilmots, remercié suite à cette affaire). Il y a eu des fautes. Il ne faut plus que cela arrive, mais cela ne remet pas en question tout le positif généré autour des Diables ces dernières années."
Selon plusieurs médias, les contrats de Steven Martens, Bob Madou, ainsi que celui de Marc Wilmots, devaient être examinés. "Cela n'a fut pas le cas par manque de temps", a expliqué encore le président de l'Union belge. "Nous avions beaucoup de points à l'ordre du jour et l'examen des chiffres en ce qui les concerne sont reporté à une prochaine réunion".
Le Conseil d'Administration de l'Union belge s'est réuni 4 heures vendredi. "Tout le monde est très fatigué, mais aussi content, car toutes les parties ont pu donner leur version dans une respect mutuel. En ce compris Monsieur Martens."
François De Keersmaecker, président de l'Union belge de football, a promis un contrôle plus strict de son Conseil d'Administration sur la direction de l'Union belge, a-t-il expliqué à l'issue de la réunion de son Conseil d'Administration vendredi à Bruxelles. François De Keersmaecker a aussi reconnu que des fautes ont été commises, mais "nous avons renouvelé notre confiance dans les membres de la direction. Ce qui m'ennuie le plus, ce sont les fuites dans la presse", a-t-il ajouté.
Steven Martens, CEO de l'Union belge et son bras droit, Bob Madou, ont reçu donc la confiance du Conseil d'Administration de l'Union belge, mais ils seront plus sévèrement contrôlés. "Nous allons tenir des sessions stratégiques début octobre pour déterminer comment nous pouvons mieux avoir un contrôle sur la direction", a expliqué François De Keersmaecker.
"Des fautes ont été commises, mais ce qui me chagrine le plus, ce sont les fuites dans la presse", a ajouté François De Keersmaecker qui a souligné le fait que les 300.000 euros d'une facture à payer par l'Union belge ne concernait pas l'hôtel des femmes des joueurs au Brésil. "Ce n'est pas de cela qu'il s'agit comme ce fut écrit dans la presse. Je ne peux pas dire de quoi il retourne, cela reste interne. En outre, il se pourrait qu'une action en justice soit initiée par Nicolas Cornu (ndlr, le team manager et bras droit de Marc Wilmots, remercié suite à cette affaire). Il y a eu des fautes. Il ne faut plus que cela arrive, mais cela ne remet pas en question tout le positif généré autour des Diables ces dernières années."
Selon plusieurs médias, les contrats de Steven Martens, Bob Madou, ainsi que celui de Marc Wilmots, devaient être examinés. "Cela n'a fut pas le cas par manque de temps", a expliqué encore le président de l'Union belge. "Nous avions beaucoup de points à l'ordre du jour et l'examen des chiffres en ce qui les concerne sont reporté à une prochaine réunion".
Le Conseil d'Administration de l'Union belge s'est réuni 4 heures vendredi. "Tout le monde est très fatigué, mais aussi content, car toutes les parties ont pu donner leur version dans une respect mutuel. En ce compris Monsieur Martens."
Re: URBSFA - Fin de crise en vue?
... François De Keersmaecker qui a souligné le fait que les 300.000 euros d'une facture à payer par l'Union belge ne concernait pas l'hôtel des femmes des joueurs au Brésil. "Ce n'est pas de cela qu'il s'agit comme ce fut écrit dans la presse. Je ne peux pas dire de quoi il retourne, cela reste interne ...
C'est donc si secret qu'il ne peut pas dire à quoi a servi cet argent?
C'est donc si secret qu'il ne peut pas dire à quoi a servi cet argent?
Re: URBSFA - Fin de crise en vue?
En outre, il se pourrait qu'une action en justice soit initiée par Nicolas Cornu (ndlr, le team manager et bras droit de Marc Wilmots, remercié suite à cette affaire
Ben,Allo quoi? quand on veut faire payer une seule personne pour une communauté,faut assumer.
J'ai toujours dit que ce gars était le bouc émissaire.
Ben,Allo quoi? quand on veut faire payer une seule personne pour une communauté,faut assumer.
J'ai toujours dit que ce gars était le bouc émissaire.
cpaddy1- • Footmaniaque Soulier D'Or •
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Re: URBSFA - Fin de crise en vue?
DH - L'ex-team manager des Diables attaque l'UB en justice
Nicolas Cornu, l’ex-team manager des Diables Rouges, viré suite à la fameuse facture de 300.000 euros pour un service non-utilisé durant la Coupe du Monde au Brésil, a décidé d’attaquer l’Union belge en justice.
Il conteste son licenciement et va réclamer un dédommagement.
Nicolas Cornu, l’ex-team manager des Diables Rouges, viré suite à la fameuse facture de 300.000 euros pour un service non-utilisé durant la Coupe du Monde au Brésil, a décidé d’attaquer l’Union belge en justice.
Il conteste son licenciement et va réclamer un dédommagement.
Re: URBSFA - Fin de crise en vue?
DH - Une vingtaine de licenciements à l'Union belge
L'Union belge de football prévoit de licencier une vingtaine de personnes selon un communiqué. Cette décision a été rendue publique au Conseil d’entreprise ce mercredi après-midi.
"Un exercice d’efficacité approfondi, la vaste digitalisation de l’organisation des compétitions, la rationalisation d’une série de tâches et de processus ou encore la nouvelle manière de travailler sont à l’origine de cette décision", est-il écrit dans le communiqué.
"Nous ferons par ailleurs notre possible pour que toutes les personnes affectées retrouvent un travail aussi rapidement que possible, et ce, avec le soutien de l’URBSFA".
L'Union belge de football prévoit de licencier une vingtaine de personnes selon un communiqué. Cette décision a été rendue publique au Conseil d’entreprise ce mercredi après-midi.
"Un exercice d’efficacité approfondi, la vaste digitalisation de l’organisation des compétitions, la rationalisation d’une série de tâches et de processus ou encore la nouvelle manière de travailler sont à l’origine de cette décision", est-il écrit dans le communiqué.
"Nous ferons par ailleurs notre possible pour que toutes les personnes affectées retrouvent un travail aussi rapidement que possible, et ce, avec le soutien de l’URBSFA".
Re: URBSFA - Fin de crise en vue?
Ils ont mis le temps avant de bouger, ils ont d'abord remué mais maintenant, ils bougent ...
Re: URBSFA - Fin de crise en vue?
YAHOO - Marcel Javaux donne un carton rouge à l'Union Belge de Football!
L'annonce par l'Union Belge de Football d'une vingtaine de licenciements est loin de faire l'unanimité. Elle a même provoqué la colère du très médiatique Marcel Javaux, l'ancien arbitre qui y est allé d'une lettre au picrate adressée aux dirigeants de la Maison de Verre.
Marcel Javaux, on le connait. L'ancien arbitre est un habitué des plateaux de la Tribune où son franc-parler tantôt amuse, tantôt irrite, tantôt les deux de concert. Mais l'homme occupe également des responsabilités au niveau du football amateur, lui qui préside le Comité Provincial du Luxembourg. Il incarne quelque part ce football de base qui mobilise au quotidien de nombreuses énergies bénévoles, à mille lieues du strass et des paillettes des Diables Rouges. Ainsi, son sang n'a fait qu'un tour, à l'annonce de la charrette d'une vingtaine de licenciements envisagés par l'Union Belge de Football.
Javaux a pris sa plume et s'est fendu d'une brève missive adressée aux dirigeants de notre football. "Voilà que nos penseurs vont diminuer la qualité du service offert aux clubs amateurs en licenciant des membres du personnel. Des petites mains, comme certains les appellent. Et tout cela pour essayer de camoufler leurs graves erreurs de gestion financière. Pauvre fédération qui abandonne petit à petit les clubs de la base" écrit l'ancien sifflet luxembourgeois avant d'asséner le coup de griffe suivant. "Comment osent-ils encore se regarder le matin dans le miroir.
A votre place Messieurs les décideurs, je serais gêné ! Mais manifestement, vous ne l'êtes pas vous qui vous octroyez des privilèges et des revenus exorbitants; quand ce ne sont pas des bonus... Facile de prendre de telles décisions quand on s'octroie des émoluments supérieurs à ceux d'un premier Ministre". Bref, des propos trempés dans l'encre de la mauvaise humeur qui stigmatisent la restructuration, voire la professionnalisation, de l'organe suprême de notre football national qui, pour rappel, avait justifié sa décision en ces termes "Un exercice d?efficacité approfondi, la vaste digitalisation de l?organisation des compétitions, la rationalisation d?une série de tâches et de processus, la nouvelle manière de travailler, ? sont à l?origine de cette décision".
L'annonce par l'Union Belge de Football d'une vingtaine de licenciements est loin de faire l'unanimité. Elle a même provoqué la colère du très médiatique Marcel Javaux, l'ancien arbitre qui y est allé d'une lettre au picrate adressée aux dirigeants de la Maison de Verre.
Marcel Javaux, on le connait. L'ancien arbitre est un habitué des plateaux de la Tribune où son franc-parler tantôt amuse, tantôt irrite, tantôt les deux de concert. Mais l'homme occupe également des responsabilités au niveau du football amateur, lui qui préside le Comité Provincial du Luxembourg. Il incarne quelque part ce football de base qui mobilise au quotidien de nombreuses énergies bénévoles, à mille lieues du strass et des paillettes des Diables Rouges. Ainsi, son sang n'a fait qu'un tour, à l'annonce de la charrette d'une vingtaine de licenciements envisagés par l'Union Belge de Football.
Javaux a pris sa plume et s'est fendu d'une brève missive adressée aux dirigeants de notre football. "Voilà que nos penseurs vont diminuer la qualité du service offert aux clubs amateurs en licenciant des membres du personnel. Des petites mains, comme certains les appellent. Et tout cela pour essayer de camoufler leurs graves erreurs de gestion financière. Pauvre fédération qui abandonne petit à petit les clubs de la base" écrit l'ancien sifflet luxembourgeois avant d'asséner le coup de griffe suivant. "Comment osent-ils encore se regarder le matin dans le miroir.
A votre place Messieurs les décideurs, je serais gêné ! Mais manifestement, vous ne l'êtes pas vous qui vous octroyez des privilèges et des revenus exorbitants; quand ce ne sont pas des bonus... Facile de prendre de telles décisions quand on s'octroie des émoluments supérieurs à ceux d'un premier Ministre". Bref, des propos trempés dans l'encre de la mauvaise humeur qui stigmatisent la restructuration, voire la professionnalisation, de l'organe suprême de notre football national qui, pour rappel, avait justifié sa décision en ces termes "Un exercice d?efficacité approfondi, la vaste digitalisation de l?organisation des compétitions, la rationalisation d?une série de tâches et de processus, la nouvelle manière de travailler, ? sont à l?origine de cette décision".
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