J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
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J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Duel des "Sporting"
Dernière édition par NolanBruges le Dim 13 Aoû - 19:53, édité 4 fois
NolanBruges- • Staff •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Va t'on refaire le coup du match du titre ? Rien n'est moins sur, les carolos sont très bien en ce début de saison
Cale- • Footmaniaque Expert •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Cale a écrit:Va t'on refaire le coup du match du titre ? Rien n'est moins sur, les carolos sont très bien en ce début de saison
Oui mais j'ai l'impression qu'ils surjouent, ils n'ont pas perdu leur organisation mis ont eu beaucoup de reussite pour gagner les deux matches ... on verra.
loc- • Staff •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Je vois un doubler de Lukabkio .. on paris ? C'est toujours comme ça quant le sporting joue face à un de ses joueurs prêter .
el loco- • Footmaniaque Titulaire •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Une victoire pour offrir un cadeaux d'anniversaire à RVDS qui ne sera pas présent car il fête ses 75 ans en famille ce dimanche, voila ce qui serait bien
Cale- • Footmaniaque Expert •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Deux équipes solide défensivement, je ne crois pas qu'on verra beaucoup de buts en + de ca, Anderlecht a énormément de mal à marquer, je verrais bien un match nul.
Maestro- • Footmaniaque Titulaire •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Les confidences de Lukebakio: "Anderlecht a eu raison de me verser dans le noyau B
MAXIME JACQUES Publié le samedi 12 août 2017
CHARLEROI Excellent avec Charleroi, où il est prêté par Anderlecht, depuis le début de la saison, Dodi Lukebakio se frotte à son employeur ce dimanche soir, pour un match "forcément particulier"
Il est le nouveau chouchou du Sporting zébré. Dodi par-ci, Dodi par-là. Il n’y en a pratiquement que pour lui depuis deux semaines.
Auteur de deux buts et une passe décisive depuis son arrivée au Mambourg, Lukebakio n’a pas loupé ses débuts carolos. Ce dimanche, il retrouve déjà Anderlecht, son employeur, par qui il est prêté à Charleroi cette saison (avec option d’achat). Un match qui pourrait prendre des airs de revanche, pour un joueur formé au club, qui a passé une année galère à Toulouse, en prêt, la saison dernière, et qui a été versé dans le noyau C dès son retour à Neerpede, en juin dernier. Mais penser cela, ce serait mal connaître le garçon…
Dodi, voilà que vous retrouvez déjà Anderlecht sur votre route…
"Oui (sourire) . Jouer contre son club formateur, c’est forcément particulier. Mais c’est un match que j’appréhende de la même manière qu’un autre et pour lequel je vais me préparer à fond."
Quand on est versé dans le noyau C d’une équipe puis qu’on l’affronte quelques plus tard, il n’y a pas une envie supplémentaire de se montrer ?
"Il y a une certaine motivation, je ne vais pas le cacher. Mais ce n’est pas une revanche. Sur le terrain, je ne vais pas en faire plus que d’habitude parce que, en face, c’est Anderlecht. Travailler pour l’équipe et prendre les trois points, c’est tout ce qui m’intéresse."
Quand vous êtes revenu à Anderlecht, après votre prêt à Toulouse, vous avez parlé à Weiler de vos nouvelles ambitions ?
"Pas vraiment. Mais pour moi, c’était une sorte de remise à zéro. J’estimais avoir appris de mes erreurs et je voulais montrer ce que je valais réellement. Après, je trouve que vu ma situation, ils avaient raison de me verser dans le noyau B. Cela aurait été trop facile d’être repris directement après une année difficile, sur le plan sportif, à Toulouse. Le coach avait déjà son noyau et il a fait ses choix. Je crois qu’il a prouvé, la saison dernière, en étant champion, qu’il était un grand coach. Donc je l’ai respecté. Je n’étais pas en colère. Mais je voulais montrer que j’avais changé."
En marquant en amical face à Audenarde, le 30 juin, c’était une belle manière de joindre les actes à la parole.
"Mon objectif, à mon retour de Toulouse, était simple : je voulais tout exploser. J’avais l’objectif de travailler vraiment dur, même si j’étais dans le noyau B ou C, pour remonter dans le noyau A et prouver ma valeur. Mais rester une saison en réserve sans jouer n’était pas envisageable. Et je dis ça dans un esprit positif : je voulais jouer."
Et donc, vous avez atterri à Charleroi, quelques jours après ce but en amical. Pourquoi avoir choisi le projet carolo ?
"Je cherchais un club qui me donne confiance. J’estimais avoir appris de mes erreurs. J’ai eu des contacts avec plusieurs équipes et ici, à Charleroi, j’ai senti qu’on voulait vraiment me donner ma chance."
On peut dire que pour l’instant, vous l’avez bien saisie… Vous avez marqué deux buts depuis le début de la saison, soit plus que toute l’équipe d’Anderlecht réunie.
" (grand sourire) Oui, c’est vrai. Pour le moment, je suis content. On a tous des objectifs comme attaquant et je m’en suis fixé, même si pour moi, le plus important, c’est le collectif. Mais ce n’est que le début et je ne peux pas m’enflammer. Je suis bien parti mais il reste beaucoup de matchs à jouer. J’ai la confiance, pour le moment. Mais j’ai surtout des coéquipiers qui m’aident beaucoup."
À moyen terme, votre objectif est de retourner à Anderlecht et d’y réussir ?
"Aujourd’hui, je suis à Charleroi. Et je suis content d’être ici. Mais dans le football, on ne sait jamais ce qu’il peut se passer. Rien n’est impossible. Anderlecht, dans ma tête, cela reste positif. J’ai appris énormément là-bas et ce club restera gravé en moi. Vouloir y retourner et y percer serait donc normal."
Si vous marquez, dimanche, vous célébrerez votre but ?
"Non, bien sûr que non. Avec tout le respect que j’ai pour Anderlecht, je ne pourrais pas. Intérieurement, c’est clair que je serais très content. Mais pas question de l’extérioriser."
"Weiler me reprochait de ne pas défendre"
Le premier match de Dodi Lukebakio à Charleroi, face à Courtrai, avait séduit de nombreux observateurs. Mais en conférence de presse, après la rencontre, Felice Mazzù s’était montré très clair. "On sent qu’il n’aime pas défendre. Il va devoir apprendre pour garder sa place", avait déclaré le coach carolo.
Un discours qui va dans la lignée de celui de René Weiler. "Il me reprochait de ne pas défendre", indique Lukebakio. "C’est un point sur lequel j’avais des difficultés. Il y avait également des détails dans mon jeu qui ne correspondaient pas à sa méthode de travail."
Des détails qui semblent plaire à Felice Mazzù, avec qui le Belgo-Congolais se sent bien. "J’ai déjà pas mal progressé depuis mon arrivée. Vous pouvez demander au coach. Lors du premier amical, c’était un peu compliqué mais cela va déjà mieux. À Charleroi, je suis un médian, pas un ailier. Et je dois donc assumer ma part de travail défensif. Cela demande beaucoup de communication et j’essaie de faire un maximum d’efforts pour que ça se passe bien."
Et, pourquoi pas ?, montrer à Weiler qu’il sait bel et bien défendre…
"Je pensais être en tribune… mais non"
Au moment d’évoquer le premier match qu’il a disputé, en pro, sous la vareuse d’Anderlecht, les yeux de Dodi Lukebakio pétillent. "J’avais 18 ans et j’étais en réserve", se souvient-il. "Je m’entraînais avec le noyau 1 de temps à autre. Et du jour au lendemain, j’attends que je suis dans le noyau pour le match contre Bruges. C’était un choc. Je me disais que je serais sans doute en tribune, mais non. J’apprends, avant le match, que j’étais sur le banc et que j’allais même rentrer. C’était un moment merveilleux. Un rêve qui se réalise."
Entré en jeu à onze minutes du terme, ce 25 novembre 2015, Lukebakio fait forte impression. "Je m’étais préparé pour bien rentrer au jeu et j’ai juste essayé de prendre du plaisir. J’ai joué comme je jouais avec les jeunes et ça s’est bien passé."
À l’époque, le médian portait le numéro 46. Un numéro qu’il a choisi de prendre à Charleroi également. Preuve qu’il n’a pas encore tiré un trait sur son histoire en mauve et blanc…
"Je savais qu’il y avait un problème"
Depuis plusieurs mois, Dodi Lukebakio a changé d’encadrement. Il a pris conscience de ses qualités et est devenu un autre homme.
Manque de professionnalisme, retard lors des entraînements, tête en l’air… Il y a quelques mois encore, ces termes étaient associés à Dodi Lukebakio. Mais désormais, cela fait partie de son passé. Le médian a changé et n’est plus le garçon qui a eu quelques soucis disciplinaires à Anderlecht.
Cette transformation s’est amorcée à Toulouse, la saison dernière, où il a eu un véritable déclic. "Lorsque j’étais là-bas, cela me faisait mal de voir ce qu’il était écrit sur moi, en Belgique. Certains parlaient de moi comme d’un talent gâché et j’ai alors réalisé que je ne pouvais pas laisser passer ma chance comme ça. Je me suis dit que j’avais des choses à prouver. Cela m’a boosté."
S’il a changé à ce point, c’est aussi grâce à la foi ("je suis croyant") et grâce à son entourage : sa famille, StarFactory (la société de son agent, Didier Frenay) et la Godson Sport Management, avec qui il travaille au quotidien, depuis plusieurs mois.
"Ils sont là pour moi. Pour me dire la vérité", indique Lukebakio. "Je suis bien encadré, par des gens qui sont souvent à côté de moi, qui donnent des entraînements spécifiques quand il y en a besoin, qui font des analyses… Ils ne tournent pas autour du pot. Ils me disent ce qui va et ce qui ne va pas, sans prendre de pincettes. Au début, ce n’est pas facile à entendre, mais cela aide à grandir. Mais très vite, j’ai appris à prendre ces remarques positivement car je savais qu’il y avait un problème. Je savais qu’il manquait certaines choses autour de moi."
À Toulouse, un membre de la Godson a accompagné Dodi et il le… réveillait tous les matins afin qu’il soit à l’heure à l’entraînement. "Ils passent énormément de temps avec nous. Ils ont tous été footballeurs et ils savent comment se comporter avec nous. Ils insistent sur le plan disciplinaire. L’alimentation, le sommeil… Ils insistent beaucoup là-dessus. Ils sont derrière nous, si on le veut. Ils expliquent les choses clairement. Ils nous font comprendre que si on ne traite pas notre corps durement, ce sera très difficile. Car il faut beaucoup travailler pour arriver au top. Et grâce à eux, aujourd’hui, je suis une autre personne."
Dont la carrière ne fait que débuter…
De la génération Tielemans, Leya Iseka…
Né à Bruxelles, où il a grandi, avant de déménager à Asse, Dodi Lukebakio est arrivé à Anderlecht à l’âge de 15 ans. "Je jouais au FC Brussels et Anderlecht m’avait scouté", se remémore-t-il. "Mes parents ont été contactés et le club leur a expliqué qu’ils étaient intéressés par moi, comme d’autres formations. Mais j’ai pris la décision de rejoindre Anderlecht. Pour moi, c’était une fierté. Cela fait grave plaisir de se dire qu’on joue dans le plus grand club de Belgique. Et on apprend tous les jours, avec des jou eurs de qualité autour de soi."
Ces joueurs, ce sont Aaron Leya Iseka, Nathan de Medina, Olivier Sarkic, Frank Mikal et un certain… Youri Tielemans, dont la trajectoire donne forcément des idées à Lukebakio. "On est tous différents, donc chaque chose en son temps", tempère-t-il d’abord. "S’il a été dans le noyau A avant moi, c’est parce qu’il le méritait. Mais bien sûr, cela me motive de voir Youri saisir sa chance si jeune. Cela me booste encore plus, car je me dis que c’est possible d’être là en tant que jeune."
MAXIME JACQUES Publié le samedi 12 août 2017
CHARLEROI Excellent avec Charleroi, où il est prêté par Anderlecht, depuis le début de la saison, Dodi Lukebakio se frotte à son employeur ce dimanche soir, pour un match "forcément particulier"
Il est le nouveau chouchou du Sporting zébré. Dodi par-ci, Dodi par-là. Il n’y en a pratiquement que pour lui depuis deux semaines.
Auteur de deux buts et une passe décisive depuis son arrivée au Mambourg, Lukebakio n’a pas loupé ses débuts carolos. Ce dimanche, il retrouve déjà Anderlecht, son employeur, par qui il est prêté à Charleroi cette saison (avec option d’achat). Un match qui pourrait prendre des airs de revanche, pour un joueur formé au club, qui a passé une année galère à Toulouse, en prêt, la saison dernière, et qui a été versé dans le noyau C dès son retour à Neerpede, en juin dernier. Mais penser cela, ce serait mal connaître le garçon…
Dodi, voilà que vous retrouvez déjà Anderlecht sur votre route…
"Oui (sourire) . Jouer contre son club formateur, c’est forcément particulier. Mais c’est un match que j’appréhende de la même manière qu’un autre et pour lequel je vais me préparer à fond."
Quand on est versé dans le noyau C d’une équipe puis qu’on l’affronte quelques plus tard, il n’y a pas une envie supplémentaire de se montrer ?
"Il y a une certaine motivation, je ne vais pas le cacher. Mais ce n’est pas une revanche. Sur le terrain, je ne vais pas en faire plus que d’habitude parce que, en face, c’est Anderlecht. Travailler pour l’équipe et prendre les trois points, c’est tout ce qui m’intéresse."
Quand vous êtes revenu à Anderlecht, après votre prêt à Toulouse, vous avez parlé à Weiler de vos nouvelles ambitions ?
"Pas vraiment. Mais pour moi, c’était une sorte de remise à zéro. J’estimais avoir appris de mes erreurs et je voulais montrer ce que je valais réellement. Après, je trouve que vu ma situation, ils avaient raison de me verser dans le noyau B. Cela aurait été trop facile d’être repris directement après une année difficile, sur le plan sportif, à Toulouse. Le coach avait déjà son noyau et il a fait ses choix. Je crois qu’il a prouvé, la saison dernière, en étant champion, qu’il était un grand coach. Donc je l’ai respecté. Je n’étais pas en colère. Mais je voulais montrer que j’avais changé."
En marquant en amical face à Audenarde, le 30 juin, c’était une belle manière de joindre les actes à la parole.
"Mon objectif, à mon retour de Toulouse, était simple : je voulais tout exploser. J’avais l’objectif de travailler vraiment dur, même si j’étais dans le noyau B ou C, pour remonter dans le noyau A et prouver ma valeur. Mais rester une saison en réserve sans jouer n’était pas envisageable. Et je dis ça dans un esprit positif : je voulais jouer."
Et donc, vous avez atterri à Charleroi, quelques jours après ce but en amical. Pourquoi avoir choisi le projet carolo ?
"Je cherchais un club qui me donne confiance. J’estimais avoir appris de mes erreurs. J’ai eu des contacts avec plusieurs équipes et ici, à Charleroi, j’ai senti qu’on voulait vraiment me donner ma chance."
On peut dire que pour l’instant, vous l’avez bien saisie… Vous avez marqué deux buts depuis le début de la saison, soit plus que toute l’équipe d’Anderlecht réunie.
" (grand sourire) Oui, c’est vrai. Pour le moment, je suis content. On a tous des objectifs comme attaquant et je m’en suis fixé, même si pour moi, le plus important, c’est le collectif. Mais ce n’est que le début et je ne peux pas m’enflammer. Je suis bien parti mais il reste beaucoup de matchs à jouer. J’ai la confiance, pour le moment. Mais j’ai surtout des coéquipiers qui m’aident beaucoup."
À moyen terme, votre objectif est de retourner à Anderlecht et d’y réussir ?
"Aujourd’hui, je suis à Charleroi. Et je suis content d’être ici. Mais dans le football, on ne sait jamais ce qu’il peut se passer. Rien n’est impossible. Anderlecht, dans ma tête, cela reste positif. J’ai appris énormément là-bas et ce club restera gravé en moi. Vouloir y retourner et y percer serait donc normal."
Si vous marquez, dimanche, vous célébrerez votre but ?
"Non, bien sûr que non. Avec tout le respect que j’ai pour Anderlecht, je ne pourrais pas. Intérieurement, c’est clair que je serais très content. Mais pas question de l’extérioriser."
"Weiler me reprochait de ne pas défendre"
Le premier match de Dodi Lukebakio à Charleroi, face à Courtrai, avait séduit de nombreux observateurs. Mais en conférence de presse, après la rencontre, Felice Mazzù s’était montré très clair. "On sent qu’il n’aime pas défendre. Il va devoir apprendre pour garder sa place", avait déclaré le coach carolo.
Un discours qui va dans la lignée de celui de René Weiler. "Il me reprochait de ne pas défendre", indique Lukebakio. "C’est un point sur lequel j’avais des difficultés. Il y avait également des détails dans mon jeu qui ne correspondaient pas à sa méthode de travail."
Des détails qui semblent plaire à Felice Mazzù, avec qui le Belgo-Congolais se sent bien. "J’ai déjà pas mal progressé depuis mon arrivée. Vous pouvez demander au coach. Lors du premier amical, c’était un peu compliqué mais cela va déjà mieux. À Charleroi, je suis un médian, pas un ailier. Et je dois donc assumer ma part de travail défensif. Cela demande beaucoup de communication et j’essaie de faire un maximum d’efforts pour que ça se passe bien."
Et, pourquoi pas ?, montrer à Weiler qu’il sait bel et bien défendre…
"Je pensais être en tribune… mais non"
Au moment d’évoquer le premier match qu’il a disputé, en pro, sous la vareuse d’Anderlecht, les yeux de Dodi Lukebakio pétillent. "J’avais 18 ans et j’étais en réserve", se souvient-il. "Je m’entraînais avec le noyau 1 de temps à autre. Et du jour au lendemain, j’attends que je suis dans le noyau pour le match contre Bruges. C’était un choc. Je me disais que je serais sans doute en tribune, mais non. J’apprends, avant le match, que j’étais sur le banc et que j’allais même rentrer. C’était un moment merveilleux. Un rêve qui se réalise."
Entré en jeu à onze minutes du terme, ce 25 novembre 2015, Lukebakio fait forte impression. "Je m’étais préparé pour bien rentrer au jeu et j’ai juste essayé de prendre du plaisir. J’ai joué comme je jouais avec les jeunes et ça s’est bien passé."
À l’époque, le médian portait le numéro 46. Un numéro qu’il a choisi de prendre à Charleroi également. Preuve qu’il n’a pas encore tiré un trait sur son histoire en mauve et blanc…
"Je savais qu’il y avait un problème"
Depuis plusieurs mois, Dodi Lukebakio a changé d’encadrement. Il a pris conscience de ses qualités et est devenu un autre homme.
Manque de professionnalisme, retard lors des entraînements, tête en l’air… Il y a quelques mois encore, ces termes étaient associés à Dodi Lukebakio. Mais désormais, cela fait partie de son passé. Le médian a changé et n’est plus le garçon qui a eu quelques soucis disciplinaires à Anderlecht.
Cette transformation s’est amorcée à Toulouse, la saison dernière, où il a eu un véritable déclic. "Lorsque j’étais là-bas, cela me faisait mal de voir ce qu’il était écrit sur moi, en Belgique. Certains parlaient de moi comme d’un talent gâché et j’ai alors réalisé que je ne pouvais pas laisser passer ma chance comme ça. Je me suis dit que j’avais des choses à prouver. Cela m’a boosté."
S’il a changé à ce point, c’est aussi grâce à la foi ("je suis croyant") et grâce à son entourage : sa famille, StarFactory (la société de son agent, Didier Frenay) et la Godson Sport Management, avec qui il travaille au quotidien, depuis plusieurs mois.
"Ils sont là pour moi. Pour me dire la vérité", indique Lukebakio. "Je suis bien encadré, par des gens qui sont souvent à côté de moi, qui donnent des entraînements spécifiques quand il y en a besoin, qui font des analyses… Ils ne tournent pas autour du pot. Ils me disent ce qui va et ce qui ne va pas, sans prendre de pincettes. Au début, ce n’est pas facile à entendre, mais cela aide à grandir. Mais très vite, j’ai appris à prendre ces remarques positivement car je savais qu’il y avait un problème. Je savais qu’il manquait certaines choses autour de moi."
À Toulouse, un membre de la Godson a accompagné Dodi et il le… réveillait tous les matins afin qu’il soit à l’heure à l’entraînement. "Ils passent énormément de temps avec nous. Ils ont tous été footballeurs et ils savent comment se comporter avec nous. Ils insistent sur le plan disciplinaire. L’alimentation, le sommeil… Ils insistent beaucoup là-dessus. Ils sont derrière nous, si on le veut. Ils expliquent les choses clairement. Ils nous font comprendre que si on ne traite pas notre corps durement, ce sera très difficile. Car il faut beaucoup travailler pour arriver au top. Et grâce à eux, aujourd’hui, je suis une autre personne."
Dont la carrière ne fait que débuter…
De la génération Tielemans, Leya Iseka…
Né à Bruxelles, où il a grandi, avant de déménager à Asse, Dodi Lukebakio est arrivé à Anderlecht à l’âge de 15 ans. "Je jouais au FC Brussels et Anderlecht m’avait scouté", se remémore-t-il. "Mes parents ont été contactés et le club leur a expliqué qu’ils étaient intéressés par moi, comme d’autres formations. Mais j’ai pris la décision de rejoindre Anderlecht. Pour moi, c’était une fierté. Cela fait grave plaisir de se dire qu’on joue dans le plus grand club de Belgique. Et on apprend tous les jours, avec des jou eurs de qualité autour de soi."
Ces joueurs, ce sont Aaron Leya Iseka, Nathan de Medina, Olivier Sarkic, Frank Mikal et un certain… Youri Tielemans, dont la trajectoire donne forcément des idées à Lukebakio. "On est tous différents, donc chaque chose en son temps", tempère-t-il d’abord. "S’il a été dans le noyau A avant moi, c’est parce qu’il le méritait. Mais bien sûr, cela me motive de voir Youri saisir sa chance si jeune. Cela me booste encore plus, car je me dis que c’est possible d’être là en tant que jeune."
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Ahah bien vu NolanBruges !
Ce qui veut dire qu'aujourd'hui il devrait y en avoir au moins une...
Et pourtant je vois Genk gagné, les mauves ne pas perdre et le standard pareil...
Wait and see..
Ce qui veut dire qu'aujourd'hui il devrait y en avoir au moins une...
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Onyekuru sur le banc, Trebel reprend sa place dans le 11.
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Les propos de Delire sur la vidéo ? Il n'y va pas par quatre chemin et en plus Thans est d'accord avec lui, ils vont finir leurs jours ensemble ces deux la
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Une semelle, c'est pas rouge ???
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Et peut -être ( je dis bien peut-être ) un petit penalty sur Appiah ??? A revoir à la pause en tout cas...
Cale- • Footmaniaque Expert •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Et ça ??? c'est pas une seconde jaune, donc rouge ??? INCROYABLE
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Mais OUI, Anderlecht est avantagé, !!!!
Cale- • Footmaniaque Expert •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Qu'est ce que c'est mauvais, des deux côtés
Cale- • Footmaniaque Expert •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Boh Anderlecht gère et Charleroi joue fort bas. A domicile ça fait pitié haha.
Arnaudlvr- • Footmaniaque Espoir •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Bon, René, je t'aime bien, tu nous as apporté le titre, mais LA, IL FAUT NOUS MONTER AUTRE CHOSE, T'ES A ANDERLECHT PUTAIN
Cale- • Footmaniaque Expert •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Arnaudlvr a écrit:Boh Anderlecht gère et Charleroi joue fort bas. A domicile ça fait pitié haha.
Mais c'est pas nouveau, ça fait des années qu'on joue comme ça contre nous, avant on savait dominé ces équipe la, aujourd'hui plus, on ne joue pas assez vite, personne ne se démarque, nos joueur ne demande pas le ballon, c'est trop flagrant, Weiler dot changer sa façon de faire, il nous ramener le titre, ok c'est bien, maintenant place au FOOTBALL, tu crois pas ???
Cale- • Footmaniaque Expert •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Mais allez quoi ??? Quel, pousser sur Chipciu, il faut quoi pour q'il siffle penalty ???
Cale- • Footmaniaque Expert •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Mais allez quoi, C'EST CA LES CHAMPIONS ???? MAIS ON EST NULLE PART
Cale- • Footmaniaque Expert •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Charleroi est à 10 minutes du 9/9,l'année dernière, je pense qu'il en avait fait aussi un au début de saison .
NolanBruges- • Staff •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Je regarde les matchs d'anderlecht d'un coin de l'oeil , une simple question, Sels est-il aussi bon qu'il était à la Gantoise ?
NolanBruges- • Staff •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
Quel but de Benavente ! 2-0
NolanBruges- • Staff •
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Re: J.3 : Charleroi - Anderlecht (2-0)
J'adore tes pronosticsMaestro a écrit:Deux équipes solide défensivement, je ne crois pas qu'on verra beaucoup de buts en + de ca, Anderlecht a énormément de mal à marquer, je verrais bien un match nul.
NolanBruges- • Staff •
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