Transferts : Valence furieux : son ex-Blauw en Zwart a refusé un transfert à Anderlecht!

Proximus 11 a écrit:
Mat Ryan, désormais troisième gardien  Valence, a refusé un prêt au RSC Anderlecht. La direction des Ches is not amused.

Mathew Ryan était perçu par le RSC Anderlecht comme une éventuelle solution pour résoudre son problème de gardiens. Tout comme Salvatore Sirigu d'ailleurs qui fait actuellement banquette au FC Séville. Mais l'international australien, par ailleurs ex-Club de Bruges, a poliment décliné la proposition d'un retour en Belgique, entamant ainsi une espèce de bras de fer avec la direction du club de Mestalla. Du côté de la Maison Mauve, on a rapidement trouvé une autre solution en Espagne avec le recrutement de Ruben Martinez, le troisième gardien du Depor.




Reste que du côté de la direction des Ches, on n'apprécie guère le refus de Ryan. Le quotidien Marca n'hésite pas à parler de guère froide entre les deux parties. Et le quotidien sportif espagnol de signaler que l'Aussie ne doit désormais s'attendre à aucun cadeau de la part de son employeur. Ainsi, il ne doit pas compter sur un transfert (ou un prêt) dans un des clubs de la Liga intéressés par ses services. En effet, Leganés, Osasuna et Grenade ont contacté Valence au sujet de Ryan mais ont buté sur un refus catégorique des Blanquinegros qui voient ces trois clubs comme des concurrents directs dans la lutte pour le maintien.




Enfin, en Belgique, le refus de Ryan de rejoindre Anderlecht fera néanmoins certainement plaisir aux supporters du Club de Bruges qui avaient lancé une pétition à la mi-janvier pour supplier leur ancien portier de ne surtout pas rejoindre le Parc Astrid.

NolanBruges a écrit:

Proximus 11 a écrit:
Mat Ryan, désormais troisième gardien  Valence, a refusé un prêt au RSC Anderlecht. La direction des Ches is not amused.

Mathew Ryan était perçu par le RSC Anderlecht comme une éventuelle solution pour résoudre son problème de gardiens. Tout comme Salvatore Sirigu d'ailleurs qui fait actuellement banquette au FC Séville. Mais l'international australien, par ailleurs ex-Club de Bruges, a poliment décliné la proposition d'un retour en Belgique, entamant ainsi une espèce de bras de fer avec la direction du club de Mestalla. Du côté de la Maison Mauve, on a rapidement trouvé une autre solution en Espagne avec le recrutement de Ruben Martinez, le troisième gardien du Depor.




Reste que du côté de la direction des Ches, on n'apprécie guère le refus de Ryan. Le quotidien Marca n'hésite pas à parler de guère froide entre les deux parties. Et le quotidien sportif espagnol de signaler que l'Aussie ne doit désormais s'attendre à aucun cadeau de la part de son employeur. Ainsi, il ne doit pas compter sur un transfert (ou un prêt) dans un des clubs de la Liga intéressés par ses services. En effet, Leganés, Osasuna et Grenade ont contacté Valence au sujet de Ryan mais ont buté sur un refus catégorique des Blanquinegros qui voient ces trois clubs comme des concurrents directs dans la lutte pour le maintien.




Enfin, en Belgique, le refus de Ryan de rejoindre Anderlecht fera néanmoins certainement plaisir aux supporters du Club de Bruges qui avaient lancé une pétition à la mi-janvier pour supplier leur ancien portier de ne surtout pas rejoindre le Parc Astrid.

deceelle a écrit:
La mentalité des supporters m'étonnera toujours. Comme si un joueur appartenait à un club. l'esclavagisme a été aboli il y a longtemps en Belgique.

loc a écrit:

deceelle a écrit:
La mentalité des supporters m'étonnera toujours. Comme si un joueur appartenait à un club. l'esclavagisme a été aboli il y a longtemps en Belgique.

Ca ne m'aurait pas choque qu'il vienne et "trahisse" son ancien club, mais je trouve ca humainement sain qu'il cede a la pression de ses anciens supporters.

D'un autre cote, je comprends les supporters B&Z, qui n'auraient pas ete ravis qu'un ancien joueur de leur club aille preter main forte au rival historique.

Mais, @deceelle, ce n'est pas parce qu'on tolere davantage ces "trahisons" qu'il faut en faire la norme et commencer a critiquer a ceux qui ne veulent pas "trahir" par principe ...

deceelle a écrit:

je n'ai pas critiqué Ryan, loin de là. et je suis le premier à regretter que les footballeurs soient devenus des mercenaires.
Mais je me demande combien, parmi les supporters, seraient prêts à refuser une offre d'emploi bien mieux payée chez le concurrent de leur société actuelle, sous prétexte que c'est le concurrent.
Est ce que ce lien avec le maillot n'existe qu'en foot?

loc a écrit:

deceelle a écrit:

je n'ai pas critiqué Ryan, loin de là. et je suis le premier à regretter que les footballeurs soient devenus des mercenaires.
Mais je me demande combien, parmi les supporters, seraient prêts à refuser une offre d'emploi bien mieux payée chez le concurrent de leur société actuelle, sous prétexte que c'est le concurrent.
Est ce que ce lien avec le maillot n'existe qu'en foot?

Donc en fait tu trouves toujours a redire ...

Par rapport a ton comme taire, il faut un peu en finir avec les analogies avec le monde du travail!!
1) le conrrat d'un joueur de foot c'est plus comparable a celui d'un PDG recrute par le CA que d'un ouvrier.
2) excuse les salaries si on est pas aussi fan de notre entreprise que d'un club de foot qu'on supporte depuis notre enfance ... Mais ca fait 30 ans qu'on nous explique que le travail est un produit soumis a la loi de l'offre et de la demande, un marche quoi, qu'on veut le plus flexible possible, donc exuse nous de pas nous attacher ... perso entre reprises, faillites, changements de nom, j'ai eu 5 ou 6 employeurs differents en moins de 20 ans sans changer de boulot au quotidien (je suis sous-traitant). Donc maintenant, tant que le salaire tombe a la fin du mois ...

deceelle a écrit:

Non, j'essaie de comprendre. et c'est vrai que par mail, cela prend plus de temps que dans une discussion.
Je me suis posé la question de savoir si ce problème d'"appartenance" existait dans d'autres domaines ou d'autres sports. et je n'en ai pas trouvé directement.
dans le secteur privé, il est clair que certains contrats interdisent à l'employé de travailler chez la concurrence. Mais c'est pour des raisons différentes.