Lampiris en vente
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Lampiris en vente
D'après l'Echo, lampiris serait en vente.
Depuis des mois, Lampiris, le plus grand acteur indépendant sur le marché du gaz et de l’électricité en Belgique, mène une réflexion stratégique. Si officiellement, l’entreprise privilégie la piste d’une acquisition d’un plus petit concurrent ou d’une fusion, la vente à un plus gros acteur fait aussi partie des pistes explorées. Une fusion entre la filiale belge d’un de ces grosses pointures et Lamipris figure aussi au rang des possibilités.
"Nous avons effectivement entamé une consultation du marché."
Ces dernières semaines, des contacts ont été pris par la banque d’affaires Leonardo avec de grands joueurs du secteur de l’énergie aux Pays-Bas, en France ou en Allemagne, nous confirme-t-on à plusieurs sources. "Les actionnaires et l’entreprise ont décidé d’engager des discussions, et s’y préparent", ajoute un proche du dossier. "Nous avons effectivement entamé une consultation du marché, et nous avons confié à la banque Leonardo un mandat assez large, réagit Tom Van de Cruys, CEO de Lampiris. Mais il n’y a aucune urgence, et rien de concret pour l’instant."
Marges sous pression
Le secteur vient de vivre des années difficiles, avec des marges qui se sont fortement contractées. Lampiris fait partie des fournisseurs d’énergie qui ont réussi à garder la tête hors de l’eau. Ses bénéfices ont été quasi symboliques en 2014, année pour laquelle il n’a pas déposé de comptes, ayant décidé de clôturer désormais son année financière au 30 septembre, pour éviter les effets perturbateurs de la météo sur les chiffres. "Nous nous alignons désormais sur l’année gazière, en clôturant juste avant le début de l’hiver, explique le CEO. Les chiffres 2014-2015 n’ont pas encore été audités, mais ils s’annoncent bien meilleurs pour cette année étendue, l’hiver dernier ayant été moins doux que le précédent."
"Les chiffres 2014-2015 n’ont pas encore été audités, mais ils s’annoncent bien meilleurs pour cette année étendue, l’hiver dernier ayant été moins doux que le précédent."
Lampiris affiche avec une belle croissance sur le marché français et ses activités annexes, comme l’isolation ou la vente de pellets, ont le vent en poupe. Mais les conditions sont rudes sur le marché de la fourniture d’énergie, et Lampiris arrive doucement à un plafond dans la conquête de nouveaux clients. Et dans le secteur, beaucoup tablent sur une consolidation.
La SRIW et Gimv GIMB 2,29% , qui détiennent chacune 16,6% du capital, auraient des sensibilités différentes vis-à-vis des scénarios possibles. "Lampiris a les moyens de racheter un tout petit joueur, mais s’il s’agit de faire une acquisition plus importante, une recapitalisation de l’entreprise pourrait être nécessaire, explique un proche du dossier. Et là, si certains sont prêts à y aller, d’autres se tâtent".
Alors que la société publique wallonne semble bien décidée à accompagner l’entreprise dans ses développements, la société d’investissement flamande aimerait avoir une idée plus précise de la valorisation de l’entreprise avant de s’engager. Et l’occasion peut faire le larron…
Bruno Venanzi est aussi moins présent dans l’entreprise depuis qu’il a racheté le Standard, ce qui amène certains à imaginer qu’il vendrait plus facilement que son compère Bruno Vanderschueren. Ensemble, les deux fondateurs détiennent toujours la majorité du capital de l’entreprise.
"Tous les actionnaires sont bien alignés. Il n’y a personne qui veut absolument vendre pour le moment."
Tom Van der Cruys CEO de Lampiris
"Tous les actionnaires sont bien alignés. Il n’y a personne qui veut absolument vendre pour le moment", affirme Tom Van der Cruys. Une déclaration nuancée par une autre partie prenante aux dossiers. "Toutes les options sont à l’étude, et si elles sont réalisables, je pense que tous les actionnaires seront preneurs. Mais il n’est pas exclu que cela conduise à une recomposition du capital."
Depuis des mois, Lampiris, le plus grand acteur indépendant sur le marché du gaz et de l’électricité en Belgique, mène une réflexion stratégique. Si officiellement, l’entreprise privilégie la piste d’une acquisition d’un plus petit concurrent ou d’une fusion, la vente à un plus gros acteur fait aussi partie des pistes explorées. Une fusion entre la filiale belge d’un de ces grosses pointures et Lamipris figure aussi au rang des possibilités.
"Nous avons effectivement entamé une consultation du marché."
Ces dernières semaines, des contacts ont été pris par la banque d’affaires Leonardo avec de grands joueurs du secteur de l’énergie aux Pays-Bas, en France ou en Allemagne, nous confirme-t-on à plusieurs sources. "Les actionnaires et l’entreprise ont décidé d’engager des discussions, et s’y préparent", ajoute un proche du dossier. "Nous avons effectivement entamé une consultation du marché, et nous avons confié à la banque Leonardo un mandat assez large, réagit Tom Van de Cruys, CEO de Lampiris. Mais il n’y a aucune urgence, et rien de concret pour l’instant."
Marges sous pression
Le secteur vient de vivre des années difficiles, avec des marges qui se sont fortement contractées. Lampiris fait partie des fournisseurs d’énergie qui ont réussi à garder la tête hors de l’eau. Ses bénéfices ont été quasi symboliques en 2014, année pour laquelle il n’a pas déposé de comptes, ayant décidé de clôturer désormais son année financière au 30 septembre, pour éviter les effets perturbateurs de la météo sur les chiffres. "Nous nous alignons désormais sur l’année gazière, en clôturant juste avant le début de l’hiver, explique le CEO. Les chiffres 2014-2015 n’ont pas encore été audités, mais ils s’annoncent bien meilleurs pour cette année étendue, l’hiver dernier ayant été moins doux que le précédent."
"Les chiffres 2014-2015 n’ont pas encore été audités, mais ils s’annoncent bien meilleurs pour cette année étendue, l’hiver dernier ayant été moins doux que le précédent."
Lampiris affiche avec une belle croissance sur le marché français et ses activités annexes, comme l’isolation ou la vente de pellets, ont le vent en poupe. Mais les conditions sont rudes sur le marché de la fourniture d’énergie, et Lampiris arrive doucement à un plafond dans la conquête de nouveaux clients. Et dans le secteur, beaucoup tablent sur une consolidation.
La SRIW et Gimv GIMB 2,29% , qui détiennent chacune 16,6% du capital, auraient des sensibilités différentes vis-à-vis des scénarios possibles. "Lampiris a les moyens de racheter un tout petit joueur, mais s’il s’agit de faire une acquisition plus importante, une recapitalisation de l’entreprise pourrait être nécessaire, explique un proche du dossier. Et là, si certains sont prêts à y aller, d’autres se tâtent".
Alors que la société publique wallonne semble bien décidée à accompagner l’entreprise dans ses développements, la société d’investissement flamande aimerait avoir une idée plus précise de la valorisation de l’entreprise avant de s’engager. Et l’occasion peut faire le larron…
Bruno Venanzi est aussi moins présent dans l’entreprise depuis qu’il a racheté le Standard, ce qui amène certains à imaginer qu’il vendrait plus facilement que son compère Bruno Vanderschueren. Ensemble, les deux fondateurs détiennent toujours la majorité du capital de l’entreprise.
"Tous les actionnaires sont bien alignés. Il n’y a personne qui veut absolument vendre pour le moment."
Tom Van der Cruys CEO de Lampiris
"Tous les actionnaires sont bien alignés. Il n’y a personne qui veut absolument vendre pour le moment", affirme Tom Van der Cruys. Une déclaration nuancée par une autre partie prenante aux dossiers. "Toutes les options sont à l’étude, et si elles sont réalisables, je pense que tous les actionnaires seront preneurs. Mais il n’est pas exclu que cela conduise à une recomposition du capital."
deceelle- • Footmaniaque Soulier D'Or •
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Date d'inscription : 18/07/2014
Age : 65
Localisation : Brabant wallon
Re: Lampiris en vente
Avant les augmentations de capital de sa societe en bours, c'etait pour realiser des investissements internes, augmenter l'activite, engager du personnel ... maintenant c'est pour racheter une autre societe.
Quand ils ont trop de fric, c'est ca qu'ils font les entrepreneurs modernes, ils achetent d'autres boites ... Ils ont tellement de fric qu'ils savent pas quoi en faire ...
C'est sur que comme ca on va pas s'en sortir ...
Quand ils ont trop de fric, c'est ca qu'ils font les entrepreneurs modernes, ils achetent d'autres boites ... Ils ont tellement de fric qu'ils savent pas quoi en faire ...
C'est sur que comme ca on va pas s'en sortir ...
loc- • Staff •
- Messages : 13664
Date d'inscription : 05/06/2014
Re: Lampiris en vente
Is veulent vendre parce que ce n'est plus rentable. ils ont prolongé l'année fiscale de 6 mois pour espérer montrer des bénéfices. ce n'est pas Venanzi qui pourra investir dans le Standard pour couvrir les pertes.
deceelle- • Footmaniaque Soulier D'Or •
- Messages : 2871
Date d'inscription : 18/07/2014
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Localisation : Brabant wallon
Re: Lampiris en vente
Au moins, même si il n'est pas bon, Venanzi se met à 100% pour le club, LUI
Young Red- • Staff •
- Messages : 9994
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Localisation : Liège
Re: Lampiris en vente
Mais cela veut dire que le Standard doit lui payer un salaire. En plus du rendement de l'argent investi.
deceelle- • Footmaniaque Soulier D'Or •
- Messages : 2871
Date d'inscription : 18/07/2014
Age : 65
Localisation : Brabant wallon
Re: Lampiris en vente
Selon Sportwereld, Santini essaiera de quitter le Standard en janvier sur base d'un prêt. Son salaire annuel dépasserait le million.
Man van twee miljoen op weg naar uitgang
STANDARD Standard zit in zijn maag met Ivan Santini. De 26-jarige Santini kwam de voorbije zomer nochtans met hoge verwachtingen naar Luik maar Yannick Ferrera ziet het niet echt in de Kroatische spits en de club zou hem stilaan richting de uitgang duwen op Sclessin. “We hebben volgende week een gesprek gepland met Axel Lawarée en Bruno Venanzi”, zegt begeleider Dragan Siljanoski. “Een uitleenbeurt kan zeker.”
“Begrijp wel goed: Ivan wil niet weg bij Standard. Hij heeft een goed contract dat nog vier jaar doorloopt.” Niet gelogen. De Kroaat strijkt naar verluidt jaarlijks meer dan een miljoen euro op bij de Rouches. “We moeten eerlijk zijn: welke club gaat nu twee miljoen euro betalen voor een spits die niet speelt? Dat zie ik niet gebeuren. En als Ivan Standard verlaat, zal hij zeker niet naar een minder goede club gaan en voor minder geld gaan spelen.” (bfa)
Man van twee miljoen op weg naar uitgang
STANDARD Standard zit in zijn maag met Ivan Santini. De 26-jarige Santini kwam de voorbije zomer nochtans met hoge verwachtingen naar Luik maar Yannick Ferrera ziet het niet echt in de Kroatische spits en de club zou hem stilaan richting de uitgang duwen op Sclessin. “We hebben volgende week een gesprek gepland met Axel Lawarée en Bruno Venanzi”, zegt begeleider Dragan Siljanoski. “Een uitleenbeurt kan zeker.”
“Begrijp wel goed: Ivan wil niet weg bij Standard. Hij heeft een goed contract dat nog vier jaar doorloopt.” Niet gelogen. De Kroaat strijkt naar verluidt jaarlijks meer dan een miljoen euro op bij de Rouches. “We moeten eerlijk zijn: welke club gaat nu twee miljoen euro betalen voor een spits die niet speelt? Dat zie ik niet gebeuren. En als Ivan Standard verlaat, zal hij zeker niet naar een minder goede club gaan en voor minder geld gaan spelen.” (bfa)
deceelle- • Footmaniaque Soulier D'Or •
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