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Real Madrid, autopsie d’une saison sans titre

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Real Madrid, autopsie d’une saison sans titre Empty Real Madrid, autopsie d’une saison sans titre

Message par loc Mar 19 Mai - 13:00

(cahiersdufootball.net)

Gagner de l’argent ou des matches? Les deux si possible. Sauf que le Real Madrid, qui finira la saison sans trophée, veut d’abord le premier. Une stratégie présidentielle qui n’empêche pas le club d’être compétitif sportivement mais possède de sérieuses limites.

La Liga est bicéphale. Ses deux entités majeures, le Real et le Barça, sont en position de force pour ramener des trophées chaque année, à l’échelle nationale mais aussi européenne. Et pourtant, depuis douze ans, plus d’une saison sur deux s’est terminée sans rien pour les Madrilènes. Trois Ligas, deux Copa et une Ligue des champions, soit un palmarès moins fourni que celui de Marc Bartra. Provocation mise à part, cela reste très inférieur au potentiel d’un club qui cumule palmarès, pouvoir d’attraction et grands joueurs. Parmi ces titres, deux Ligas ont été remportées sous la présidence de Ramon Calderon, qui n’a duré que trois ans. Six des sept saisons terminées les mains vides l’ont été avec Florentino Perez aux commandes. Pas forcément un hasard.

Le choix du clinquant

Inutile de revenir sur l’époque des Galactiques, avec ses succès et ses échecs, mais qui laisse un goût de trop peu compte tenu des joueurs de l’époque. En revenant aux affaires en 2009, Perez n’a pas vraiment changé sa ligne directrice, qui avait au moins eu du succès au niveau commercial et médiatique. Plutôt que de prendre une star par saison, il a beaucoup dépensé selon les opportunités. Kaka, Xabi Alonso, Benzema et Cristiano Ronaldo d’abord. Özil et Di Maria l’année suivante. Puis, plus récemment, Modric, Bale, Isco, Kroos et James, pour citer les plus connus. Tous de bons joueurs, mais pas forcément des hommes répondant aux besoins du moment. Des stars établies ou en devenir qui ont un point commun: hormis Xabi, ce ne sont que des joueurs offensifs, meneurs, ailiers ou attaquants de formation. Même Coentrao, comparé à ses débuts à Luis Figo, est un ailier reconverti. Quand on joue à onze, ça fait beaucoup de garçons à mettre sur le terrain en même temps.

Les entraîneurs étaient-ils forcés de faire jouer les recrues les plus chères? Même sans remarques directes de la part de la hiérarchie, on imagine bien qu’il est assez compliqué de mettre un transfert à plus de cinquante millions d’euros sur le banc. Plus que le prix, des joueurs au profil plus défensif ayant également été achetés depuis six ans, c’est toutefois le côté bankable qui peut faire hésiter au moment de composer l’équipe. Au moins autant vis-à-vis de joueur que du président, qui a déjà prouvé qu’il n’hésitait pas à se débarrasser des coaches qui ne lui convenaient pas. Et comme, au-delà du prestige, la plupart des arrivants ont de vraies qualités, essayer de les associer n’est pas forcément un mauvais calcul. Cela a même rapporté une Ligue des champions l’an dernier, avec un onze pourtant pas franchement équilibré sur le papier mais finalement fonctionnel.

Le guide et son relais

C’est que le capitaine du bâteau sait y faire. Carlo Ancelotti n’est pas ce que l’on peut appeler un entraîneur exigeant. Il gagne, ne se plaint pas particulièrement en conférence de presse, ne cherche pas à imposer un style de jeu particulier à ses équipes et sait gérer des stars, même celles dont il n’a pas réclamé la venue. Le profil parfait pour entraîner ce Real-là, et un changement bienvenu après le passage chaotique de José Mourinho. L’air de rien, le technicien italien a ainsi pu faire passer l’idée d’alternance des gardiens – avec Iker Casillas remplaçant en championnat la saison dernière – sans qu’il n’y ait de drame, et trouvé une formule qui marchait sur le terrain.

À l’image de Vicente Del Bosque, l’homme qui avait remporté les trophées de l’ère galactique, Ancelotti incarne la force tranquille. Il est l’un des entraîneurs les plus titrés du football mondial et probablement le seul regroupant toutes les qualités requises. Ce qui ne veut pas dire qu’il a tout réussi lors de ses deux années en Espagne. Les expérimentations à la pointe basse de son 4-3-3 – qui se mue en 4-4-2 en phase défensive – se sont soldées par des échecs: Sergio Ramos perdu, Asier Illarramendi trop tendre, Sami Khedira blessé et jamais dans son élément et enfin Toni Kroos, au volume de jeu insuffisant, n’ont jamais comblé le vide laissé par Luka Modric, victime de plusieurs blessures. Un seul élément absent et tout l’équilibre est menacé. Paradoxal vu l’effectif.

L’équilibre du milieu

C’est pourtant ce qui arrive à un Real qui joue régulièrement avec deux latéraux de débordement et six éléments offensifs, dont trois doivent s’insérer dans un milieu cohérent. Le modèle barcelonais a prouvé que l’on pouvait faire fonctionner un 4-3-3 avec des relayeurs-créateurs (Xavi/Iniesta) en les associant à une sentinelle. Yaya Touré moyen tactiquement et trop porté vers l’avant, c’est Busquets qui est sorti de la réserve pour stabiliser l’ensemble. Aujourd’hui, avec un trio meilleur offensivement mais moins travailleur que du temps de Pedro, par exemple, il faut renforcer la récupération et la construction. D’où le rôle de Rakitic, l’autre Croate, recrue pas sexy sur le papier et pas spécialement sur le terrain, pourtant essentielle au niveau collectif.

Au Real, Luka Modric peut être la pointe basse du triangle à condition que James et Isco remplissent leur part pour récupérer rapidement le ballon. Presque personne ne pouvant lutter avec cette équipe, on arrive alors généralement dans une configuration d’attaque-défense où il suffit de marquer sur l’une des nombreuses occasions, provoquées mécaniquement par l’avantage technique et physique.

Comme Toni Kroos, Modric est un meneur de jeu qui a appris à jouer plus bas. Avec Carlo Ancelotti, l’homme qui a façonné Andrea Pirlo, ils ont un bon professeur. Mais Kroos a un an d’apprentissage de moins et, peut-être, tout simplement moins de qualités pour occuper le poste. Et c’est là que l’on en revient au recrutement, ou plutôt au renouvellement de l’effectif l’été dernier. Si le groupe d’alors était déjà très tourné vers l’attaque, Florentino Perez n’a pas jugé utile de garder Xabi Alonso, le meilleur récupérateur du club, et surtout Angel Di Maria. L’Argentin, qui a ajouté à ses qualités offensive un énorme volume de jeu au milieu, était le joueur le plus important de la saison dernière. C’est lui qui a, directement ou indirectement, fait la majorité des différences dans la capitale. Lui, aussi, qui a transcendé une Argentine plutôt morne au Mondial. L’offre de Manchester United et son potentiel marketing limité l’ont poussé bien plus au nord, dans une équipe qui ne sait pas l’utiliser, tandis qu’Isco n’arrive pas encore à épouser toutes les facettes du rôle. Qualités et opportunités...

Bêtes noires et détails

En demi-finale européenne, il n’y a pas eu beaucoup de jeu. Des occasions, certes, mais principalement sur coups de pieds arrêtés, tirs lointains et actions individuelles. La Juventus, contrairement à beaucoup d’équipes espagnoles, sait refuser le jeu, évoluer en contre et garder sa solidité en évoluant regroupée. Privés d’espaces, Bale et Ronaldo n’ont jamais pu prendre la profondeur. Comme souvent face à l’Atlético Madrid, éliminé en Ligue des champions après deux derbys faute d’avoir su reproduire l’étouffant pressing mis en place lors de la victoire 4-0 en février, en Liga. Une bête noire plus tactique que psychologique ces dernières saisons, pour une formation merengue dont beaucoup de qualités sont celles d’une spécialiste du contre, mais qui n’a pas le loisir de souvent le pratiquer. D’où un amusement plus prononcé l’an dernier face au Bayern que contre cette Juve.

Pourquoi le Real Madrid n’a rien gagné cette saison? Pour les mêmes raisons qu’il était à deux minutes de faire chou blanc l’an dernier: une forte concurrence sur le plan national, un effectif déséquilibré et un jeu dépendant de quelques joueurs. L’entraîneur a sa part de responsabilité, tout comme les stars. Mais personne ne découvre aujourd’hui que Bale est principalement un joueur rapide avec une bonne frappe, ni que Ronaldo est un buteur délocalisé sur le côté. Ils n’impulsent pas, ils sont le bout de la chaîne.

Vu le talent de l’ensemble – qui aurait très bien pu gagner un ou deux trophées cette saison, tant le football se joue parfois à peu de choses – il suffirait peut-être simplement d’un travailleur de plus et de quelques alternatives sur le banc (Hernandez, le deuxième attaquant, était derrière Falcao, Rooney et Van Persie à Manchester, club d’un niveau actuellement bien moindre) pour être encore plus fort. Verratti ou Krychowiak? Un attaquant comme Gameiro? "Cela ne sert à rien s’ils ne jouent pas", pourrait souffler le champion du monde Sami Khedira. Pareil pour Alvaro Morata...
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